28/06/2013
L'ancien sénateur Russ Feingold en 2010. © AFP
L'ancien sénateur, Russ Feingold, est le nouveau conseiller spécial du département d'État américain pour la région des Grands Lacs.
Alors que Barack Obama entame sa première visite en Afrique depuis 2009, son administration paraît résolue à jouer un rôle accru dans les Grands Lacs.
« Conseiller spécial » du département d'État pour cette région, Barrie Walkley (un diplomate fort discret) a été remplacé le 18 juin par un « envoyé spécial », l'ancien sénateur Russ Feingold.
Démocrate très à gauche (il était opposé à la guerre en Irak), c'est un bon connaisseur de l'Afrique (il a présidé le sous-comité spécialisé du Sénat) et un proche de John Kerry, le secrétaire d'État. Sa stature est telle qu'il pourrait bénéficier d'un accès direct à la Maison Blanche.
« En tant que sénateur, il a eu de nombreux contacts avec les ONG et lobbys travaillant aux États-Unis, estime un bon connaisseur du dossier. Or depuis plusieurs années ces groupes sont de plus en plus hostiles au régime rwandais. »
En le nommant, Kerry a d'ailleurs appelé au « désarmement et à la démobilisation » de la rébellion du M23 dans l'est de la RDC.
jeune_afrique
L'ancien sénateur Russ Feingold en 2010. © AFP
L'ancien sénateur, Russ Feingold, est le nouveau conseiller spécial du département d'État américain pour la région des Grands Lacs.
Alors que Barack Obama entame sa première visite en Afrique depuis 2009, son administration paraît résolue à jouer un rôle accru dans les Grands Lacs.
« Conseiller spécial » du département d'État pour cette région, Barrie Walkley (un diplomate fort discret) a été remplacé le 18 juin par un « envoyé spécial », l'ancien sénateur Russ Feingold.
Démocrate très à gauche (il était opposé à la guerre en Irak), c'est un bon connaisseur de l'Afrique (il a présidé le sous-comité spécialisé du Sénat) et un proche de John Kerry, le secrétaire d'État. Sa stature est telle qu'il pourrait bénéficier d'un accès direct à la Maison Blanche.
« En tant que sénateur, il a eu de nombreux contacts avec les ONG et lobbys travaillant aux États-Unis, estime un bon connaisseur du dossier. Or depuis plusieurs années ces groupes sont de plus en plus hostiles au régime rwandais. »
En le nommant, Kerry a d'ailleurs appelé au « désarmement et à la démobilisation » de la rébellion du M23 dans l'est de la RDC.
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