06/08/2013
Joseph KABILA et les membres du Gouvernement MATATA
« Au Pays de Lumumba, le Président règne mais ne gouverne pas », des sources sûres au sein de la Majorité Présidentielle « en perte de vitesse », nous apprenons que J. Kabila aurait renvoyé à Kigali une bonne partie de ses gardes.
Le vendredi 2 aout 2013 sur la place royal dans la commune de la Gombe, il a ordonné au secrétaire du gouvernement de saisir les passeports des membres du gouvernement Matata.
« Vous m’avez trompé, vous m’avez induit en erreur, remettez vos passeports et cartes roses de vos véhicules… » a ordonné l’autorité morale de la MP, sous les tentes. Interdits de sortie, convoqués pour un conseil des ministres aux contours flous, les ministres ont refusé d’aller à Kingakati où à la cité de l’OUA.
Ils ont exigé que la mystérieuse messe se tienne dans un lieu public, c’est qui expliquerait sans doute cette grande rencontre gouvernementale autour d’une pierre au quartier royal dans la commune de la Gombe. Une astuce pour tromper l’opinion pendant qu’on signait l’acte de divorce institutionnel.
C’est fini, le pouvoir de J. Kabila n’est qu’apparent, un œil averti peut lire dans les visages. La peur a changé de camp, J. Kabila en réalité vit l’enfer. Il a compris le double jeu de ses collaborateurs, il s’est rendu compte qu’il était seul et que la plupart de ses ministres sont en intelligence avec Limete.
La bataille pour l’impérium se jouerait-elle à Goma ?
Faut-il croire au théorème d’Yves Kongolo : le départ du M23 à l’Est de la RDC signe la fin du régime de Kigali à Kinshasa ?
En effet, il se raconte dans les milieux des services d’intelligence qu’un plan a été bien conçu pour la chute de ce jeune dictateur. La RDC serait devenue un danger pour la planète, d’après un rapport des experts de la NASA.
L’avenir du monde serait menacé par 3 choses : bouleversement climatique, pandémies et guerre nucléaire.
D’après ces experts, la RDC serait à la fois une solution à ces problèmes mais aussi la cause. Laisser la RDC entre les mains des voyous, c’est accepter que l’uranium nécessaire à la fabrication d’une bombe nucléaire se retrouve entre les mains des terroristes d’El shebabs.
Cependant, pour éviter que le groupe multinational amoureux de l’argent s’oppose au projet du changement en RDC. Sachant aussi qu’aucune résolution formelle et crédible ne viendra de la Monusco, CIRGL, SADEC, OUA, les concepteurs des opérations du changement en RDC avaient imaginé des scenarios semblables à des films-fictions.
Les commandos congolais ont été formés et largués à l’Est de la RDC, les oreilles électroniques puissantes, radars ont été placés afin de suivre tous les mouvements dans la cour de J. Kabila.
« Bringing down a young dictator », la chute de J. Kabila est conçu dans les laboratoires, montée par des grands cinéastes. Les acteurs se retrouvent dans le milieu politique, économique, social, militaire et chacun joue sa partition.
Dans ces mises en scènes aux conséquences réelles, on retrouve 3 groupes de personnages : Les mauvais, les inconscients et les conscients. La première étape consistait à séparer le groupe des mauvais (Les Rwandais) des congolais (Conscients et inconscients).
La deuxième étape, manipuler les inconscients par une spirale des mauvaises décisions afin de précipiter la chute du jeune dictateur par ses positions non potables et contre le Peuple.
La dernière étape, regrouper les groupes des conscients et inconscients contre le Raïs. J. Kabila compris en retard, que tous les congolais, ceux qui sont dans les institutions ou en dehors veulent tous la même chose : « le changement ».
___________
[Yves Kongolo]
© KongoTimes
Joseph KABILA et les membres du Gouvernement MATATA
« Au Pays de Lumumba, le Président règne mais ne gouverne pas », des sources sûres au sein de la Majorité Présidentielle « en perte de vitesse », nous apprenons que J. Kabila aurait renvoyé à Kigali une bonne partie de ses gardes.
Le vendredi 2 aout 2013 sur la place royal dans la commune de la Gombe, il a ordonné au secrétaire du gouvernement de saisir les passeports des membres du gouvernement Matata.
« Vous m’avez trompé, vous m’avez induit en erreur, remettez vos passeports et cartes roses de vos véhicules… » a ordonné l’autorité morale de la MP, sous les tentes. Interdits de sortie, convoqués pour un conseil des ministres aux contours flous, les ministres ont refusé d’aller à Kingakati où à la cité de l’OUA.
Ils ont exigé que la mystérieuse messe se tienne dans un lieu public, c’est qui expliquerait sans doute cette grande rencontre gouvernementale autour d’une pierre au quartier royal dans la commune de la Gombe. Une astuce pour tromper l’opinion pendant qu’on signait l’acte de divorce institutionnel.
C’est fini, le pouvoir de J. Kabila n’est qu’apparent, un œil averti peut lire dans les visages. La peur a changé de camp, J. Kabila en réalité vit l’enfer. Il a compris le double jeu de ses collaborateurs, il s’est rendu compte qu’il était seul et que la plupart de ses ministres sont en intelligence avec Limete.
La bataille pour l’impérium se jouerait-elle à Goma ?
Faut-il croire au théorème d’Yves Kongolo : le départ du M23 à l’Est de la RDC signe la fin du régime de Kigali à Kinshasa ?
En effet, il se raconte dans les milieux des services d’intelligence qu’un plan a été bien conçu pour la chute de ce jeune dictateur. La RDC serait devenue un danger pour la planète, d’après un rapport des experts de la NASA.
L’avenir du monde serait menacé par 3 choses : bouleversement climatique, pandémies et guerre nucléaire.
D’après ces experts, la RDC serait à la fois une solution à ces problèmes mais aussi la cause. Laisser la RDC entre les mains des voyous, c’est accepter que l’uranium nécessaire à la fabrication d’une bombe nucléaire se retrouve entre les mains des terroristes d’El shebabs.
Cependant, pour éviter que le groupe multinational amoureux de l’argent s’oppose au projet du changement en RDC. Sachant aussi qu’aucune résolution formelle et crédible ne viendra de la Monusco, CIRGL, SADEC, OUA, les concepteurs des opérations du changement en RDC avaient imaginé des scenarios semblables à des films-fictions.
Les commandos congolais ont été formés et largués à l’Est de la RDC, les oreilles électroniques puissantes, radars ont été placés afin de suivre tous les mouvements dans la cour de J. Kabila.
« Bringing down a young dictator », la chute de J. Kabila est conçu dans les laboratoires, montée par des grands cinéastes. Les acteurs se retrouvent dans le milieu politique, économique, social, militaire et chacun joue sa partition.
Dans ces mises en scènes aux conséquences réelles, on retrouve 3 groupes de personnages : Les mauvais, les inconscients et les conscients. La première étape consistait à séparer le groupe des mauvais (Les Rwandais) des congolais (Conscients et inconscients).
La deuxième étape, manipuler les inconscients par une spirale des mauvaises décisions afin de précipiter la chute du jeune dictateur par ses positions non potables et contre le Peuple.
La dernière étape, regrouper les groupes des conscients et inconscients contre le Raïs. J. Kabila compris en retard, que tous les congolais, ceux qui sont dans les institutions ou en dehors veulent tous la même chose : « le changement ».
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[Yves Kongolo]
© KongoTimes
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