Réunis en symposium à Kinshasa pendant deux jours, les cadres
du Mouvement de libération du Congo (MLC) de Jean-Pierre Bemba Gombo se
sont prononcés sur la concertation nationale initiée par le président
Kabila. Une concertation qu'ils rejettent dans sa forme actuelle, lui
préférant un « dialogue républicain ».
« Seul un dialogue républicain peut conduire à la cohésion et à l’unité nationales ».
Cette déclaration des cadres du MLC, réunis en symposium à Kinshasa,
rejoint la position des autres partis de l’opposition sur les concertations nationales initiées par le président Joseph Kabila.
Les fidèles de Jean-Pierre Bemba Gombo proposent la mise en place d’un « comité préparatoire paritaire » majorité-opposition-société civile, ce qui, selon les membres du MLC, pourra aider à résorber la méfiance réciproque au sein de la classe politique.
Pas de révision de la Constitution
La libération des prisonniers politiques et la réouverture des médias privés suspendus pour des raisons politiques seraient aussi des actes susceptibles de conduire à la décrispation de l’environnement politique.
Pour le MLC, le dialogue national ne doit pas viser le partage du pouvoir. Il doit plutôt s’articuler autour des intérêts vitaux du pays.
« Pas de subterfuge pour réviser la Constitution », indique aussi la déclaration finale du MLC. Ce parti prévient que, dans le cas contraire, il n’hésitera pas à inviter le peuple congolais à prendre ses responsabilités.
Les fidèles de Jean-Pierre Bemba Gombo proposent la mise en place d’un « comité préparatoire paritaire » majorité-opposition-société civile, ce qui, selon les membres du MLC, pourra aider à résorber la méfiance réciproque au sein de la classe politique.
La libération des prisonniers politiques et la réouverture des médias privés suspendus pour des raisons politiques seraient aussi des actes susceptibles de conduire à la décrispation de l’environnement politique.
Pour le MLC, le dialogue national ne doit pas viser le partage du pouvoir. Il doit plutôt s’articuler autour des intérêts vitaux du pays.
« Pas de subterfuge pour réviser la Constitution », indique aussi la déclaration finale du MLC. Ce parti prévient que, dans le cas contraire, il n’hésitera pas à inviter le peuple congolais à prendre ses responsabilités.
Pas de dialogue sans liberation des prisonniers politiques
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