03/09/2013
Prisonniers au CPRK
Plus de mille détenus de plusieurs prisons du pays ont bénéficié d’une libération conditionnelle à la suite de l’arrêté du ministre de la Justice et des Droits humains du 31 août dernier.
Environ 700 détenus de la prison de Makala à Kinshasa sont concernés par cette mesure.
Pendant que les prisonniers politiques, Diomi Ndongala, Chalupa, Muhindo, Kuthino, croupissent dans la prison, Joseph Kabila accorde des libérations aux prisonniers condamnés pour des délits de droits communs, « des Kuluna » des personnes condamnées pour escroquerie, vol simple et homicide involontaire.
L’objectif est de diluer l’esprit de révolte chez les citoyens, l’Etat est en guerre contre son Peuple. Ils ne manquent pas d’imagination ces Rwandais qui nous dirigent.
Après plusieurs réunions secrètes tenues au 18 niveau de l’hôtel Fleuve Congo et l’hôtel venus, par Azarias Ruberwa, Oleko charles, Inspecteur provincial de la Police – Chef d’Etat Major spécial FARDC de J. Kabila, Kalev Mutomb de l’ANR et leurs acolyte, le PGR Kabange Numbi.
Ils sont fous, ces hommes qui nous dirigent.
Evasion spectaculaire de 300 détenus à Beni, tentative d’évasion à Goma et Bandundu, attaque de la prison de Kasapa à Lubumbashi, attaque-commando et tueries à la prison centrale de Makala à Kinshasa par le commandant bataillon PM Colonel Kadidja résidant au camp kokolo sur l’avenue Lingbanga.
Les experts congolais en cybernétique après analyse de toutes les situations, sont d’avis que les responsables politiques congolais veulent créer une atmosphère de terreur dans les grandes villes sous tension ces derniers jours.
La manette du contrôle a échappé à son gouvernement, le pouvoir est dans la rue, il faut diminuer l’intensité de la révolte en multipliant les affronts et attaques émotionnelles au moyen d’un barrage constant de violence, Kuluna, guerres, Boissons alcoolisée (supu na tolo), musiques tout en leurs privant de ce dont ils ont réellement besoin, l’accès à l’information.
Tout ceci donne l’atmosphère de fin de règne, n’abdiquons pas, il est temps « de se lever et dire c’est assez ».
En relâchant plus de 700 Kulunas dans la ville de Kinshasa, le gouvernement utilise les armes silencieuses, ces armes biologiques font des dégâts plus que la bombe de Nagazaki.
____________
Yves Kongolo
© KongoTimes
Prisonniers au CPRK
Plus de mille détenus de plusieurs prisons du pays ont bénéficié d’une libération conditionnelle à la suite de l’arrêté du ministre de la Justice et des Droits humains du 31 août dernier.
Environ 700 détenus de la prison de Makala à Kinshasa sont concernés par cette mesure.
Pendant que les prisonniers politiques, Diomi Ndongala, Chalupa, Muhindo, Kuthino, croupissent dans la prison, Joseph Kabila accorde des libérations aux prisonniers condamnés pour des délits de droits communs, « des Kuluna » des personnes condamnées pour escroquerie, vol simple et homicide involontaire.
L’objectif est de diluer l’esprit de révolte chez les citoyens, l’Etat est en guerre contre son Peuple. Ils ne manquent pas d’imagination ces Rwandais qui nous dirigent.
Après plusieurs réunions secrètes tenues au 18 niveau de l’hôtel Fleuve Congo et l’hôtel venus, par Azarias Ruberwa, Oleko charles, Inspecteur provincial de la Police – Chef d’Etat Major spécial FARDC de J. Kabila, Kalev Mutomb de l’ANR et leurs acolyte, le PGR Kabange Numbi.
Ils sont fous, ces hommes qui nous dirigent.
Evasion spectaculaire de 300 détenus à Beni, tentative d’évasion à Goma et Bandundu, attaque de la prison de Kasapa à Lubumbashi, attaque-commando et tueries à la prison centrale de Makala à Kinshasa par le commandant bataillon PM Colonel Kadidja résidant au camp kokolo sur l’avenue Lingbanga.
Les experts congolais en cybernétique après analyse de toutes les situations, sont d’avis que les responsables politiques congolais veulent créer une atmosphère de terreur dans les grandes villes sous tension ces derniers jours.
La manette du contrôle a échappé à son gouvernement, le pouvoir est dans la rue, il faut diminuer l’intensité de la révolte en multipliant les affronts et attaques émotionnelles au moyen d’un barrage constant de violence, Kuluna, guerres, Boissons alcoolisée (supu na tolo), musiques tout en leurs privant de ce dont ils ont réellement besoin, l’accès à l’information.
Tout ceci donne l’atmosphère de fin de règne, n’abdiquons pas, il est temps « de se lever et dire c’est assez ».
En relâchant plus de 700 Kulunas dans la ville de Kinshasa, le gouvernement utilise les armes silencieuses, ces armes biologiques font des dégâts plus que la bombe de Nagazaki.
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Yves Kongolo
© KongoTimes
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