26/12/2014
Des personnels de la Croix-Rouge près d'une fosse après le massacre de 22 personnes. © AFP
Des "présumés" membres de la rébellion ougandaise de l'ADF, les Forces démocratiques alliées, ont attaqué jeudi une localité du nord-est de la RDC, tuant six personnes et en blessant cinq autres.
L'attaque "a été perpétrée dans la nuit du 25 décembre dans le village de Ndalya, situé à 15 km au nord de Eringeti", a déclaré le lieutenant-colonel Félix Basse, porte-parole de la Monusco, la mission de l'ONU. Il a attribué ces violences à de "présumés" membres de l'ADF, les Forces démocratiques alliées.
Les cinq rescapés, tous blessés "par arme" à feu, "ont été évacués au centre de santé de Eringeti", et la Monusco a "immédiatement déployé une patrouille du contingent népalais" pour éclaircir les circonstances de l'attaque, a précisé le porte-parole militaire.
>> Lire aussi : Opération conjointe de l'armée et de la Monusco contre les rebelles de l'ADF
Le 19 décembre, le Haut-commissariat aux réfugiés de l'ONU (HCR) s'inquiétait que "la violence" enregistrée en territoire de Beni "s'est aussi propagée vers le nord, en Province Orientale, où sept personnes ont été tuées et leur village (. . . ) incendié dans la nuit du 16 au 17 décembre".
Monulphe Bosso, porte-parole du gouverneur de la Province Orientale, Jean Bamanisa, a pour sa part souligné que, "jusqu'à présent", la province n'avait "pas eu d'attaque" du même genre que celles du territoire de Beni.
Depuis janvier, l'ADF a perdu ses importants bastions en raison d'attaques de l'armée congolaise et des Casques bleus de l'ONU. Mais profitant d'un relâchement des opérations depuis août, elle a repris l'initiative. Le 13 décembre, l'armée a annoncé une reprise musclée de l'offensive conjointe.
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Jeune Afrique
(Avec AFP)
Des personnels de la Croix-Rouge près d'une fosse après le massacre de 22 personnes. © AFP
Des "présumés" membres de la rébellion ougandaise de l'ADF, les Forces démocratiques alliées, ont attaqué jeudi une localité du nord-est de la RDC, tuant six personnes et en blessant cinq autres.
L'attaque "a été perpétrée dans la nuit du 25 décembre dans le village de Ndalya, situé à 15 km au nord de Eringeti", a déclaré le lieutenant-colonel Félix Basse, porte-parole de la Monusco, la mission de l'ONU. Il a attribué ces violences à de "présumés" membres de l'ADF, les Forces démocratiques alliées.
Les cinq rescapés, tous blessés "par arme" à feu, "ont été évacués au centre de santé de Eringeti", et la Monusco a "immédiatement déployé une patrouille du contingent népalais" pour éclaircir les circonstances de l'attaque, a précisé le porte-parole militaire.
>> Lire aussi : Opération conjointe de l'armée et de la Monusco contre les rebelles de l'ADF
Le 19 décembre, le Haut-commissariat aux réfugiés de l'ONU (HCR) s'inquiétait que "la violence" enregistrée en territoire de Beni "s'est aussi propagée vers le nord, en Province Orientale, où sept personnes ont été tuées et leur village (. . . ) incendié dans la nuit du 16 au 17 décembre".
Monulphe Bosso, porte-parole du gouverneur de la Province Orientale, Jean Bamanisa, a pour sa part souligné que, "jusqu'à présent", la province n'avait "pas eu d'attaque" du même genre que celles du territoire de Beni.
Depuis janvier, l'ADF a perdu ses importants bastions en raison d'attaques de l'armée congolaise et des Casques bleus de l'ONU. Mais profitant d'un relâchement des opérations depuis août, elle a repris l'initiative. Le 13 décembre, l'armée a annoncé une reprise musclée de l'offensive conjointe.
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Jeune Afrique
(Avec AFP)
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