dimanche 10 mai 2015

RDC : Général RAUS en fuite vers Kinshasa après le massacre de 300 militaires rwandais à Moanda

08/05/2015

 

Raus CHALWE

La population congolaise de Moanda a massacré plus de 300 militaires rwandais, après les viols de masse sur plus de 80 femmes congolaises tout âge confondu. Selon le rapport secret établi par les services spéciaux congolais, le bilan des événements est de 122 femmes congolaises violées par les militaires rwandais. 


Les jeunes de la ville de Moanda se sont soulevés comme un seul homme avec des machettes et des flèches et se sont rués sur leurs assaillants qui ne s’attendaient pas à cette réaction virulente des jeunes gens qui ne reculaient pas devant leurs fusils. 

Dans un élan de légitime défense, ils ont massacré à l’arme blanche plus de 300 militaires rwandais. Débordés par le mouvement de colère des jeunes de Moanda et de Matadi qui les cherchaient partout, le Général Raus, commandant de la Police, et le Commandant de la Région militaire se sont tous les deux enfuis vers Kinshasa. 

Les tutsis rwandais peuvent rentrer tous au grand congo mais ils ne sortirons pas tous vivant lors de notre révolution imminente.

Le matin du 23 Avril 2015, on se souviendra, L’œil du Patriote avait alerté l’opinion nationale et internationale sur la révolte de la population de Moanda qui se battait avec des armes blanches depuis 9heures contre un bataillon de militaires rwandais qui venait de procéder au viol de masse sur plus de 80 femmes congolaises tout âge confondu. 


Malgré l’omerta décrété par « Joseph Kabila » sur cette pratique barbare que les Rwandais viennent d’étendre à l’Ouest de la RD-Congo après l’avoir utilisée abondamment durant près de 20 ans à l’Est du pays comme arme de guerre, 

L’œil du Patriote a tenu cependant à respecter la promesse qu’il avait faite d’informer correctement le peuple congolais sur les dessous des cartes de cette sale et ténébreuse affaire.

En effet, d’après le rapport secret établi par les services spéciaux congolais, le bilan des événements est de 122 femmes congolaises violées cette nuit-là par les militaires rwandais qui se sont abattus comme des vautours sur la paisible population de la ville de Moanda. 


Surpris d’abord, et révoltés ensuite par l’ampleur de cette provocation humiliante, les jeunes de la ville de Moanda se sont soulevés comme un seul homme avec des machettes et des flèches et se sont rués sur leurs assaillants qui ne s’attendaient pas à cette réaction virulente des jeunes gens qui ne reculaient pas devant leurs fusils. 

Dans un élan de légitime défense, ils ont massacré à l’arme blanche plus de300 militaires rwandais. 

Débordés par le mouvement de colère des jeunes de Moanda et de Matadi qui les cherchaient partout, le Général Raus, commandant de la Police, et le Commandant de la Région militaire se sont tous les deux enfuis vers Kinshasa. 

Il a fallu l’intervention du Gouverneur de Province qui avait sollicité et obtenu le soutien des Chefs coutumiers qui ont réussi à apaiser les jeunes en leur promettant fermement que tous les Rwandais allaient rentrer chez eux au Rwanda. N’eut été cette intervention énergique des chefs coutumiers, plusieurs témoins affirment que cette révolte aurait surement gagné Matadi. 

Toutefois, la situation reste très tendue dans la région. Dans les localités de Nvuadu, Bela Thiola et Matamba, plus de 80 % de la population ont déserté leurs villages pour se réfugier au-delà de la frontière nationale au Cabinda (en Angola). 

Les Congolais ne peuvent pas compter sur la protection de policiers congolais des unités de la Police des frontières face aux militaires rwandais lourdement armés.En effet, sur ordre de la «Hiérarchie», on a ravi les armes aux policiers congolais qui gardent, pour toute la frontière de Lindu, une seule arme AK M pour toute une compagnie. 

Par contre, les troupes rwandaises en uniforme des FARDC occupent tous les postes frontaliers et stratégiques avec l’Angola. A titre d’illustration, un officier congolais nous précise que dans la localité de Thiamfumu au bord de l’Océan, les militaires rwandais parlant exclusivement le kinyarwanda ont établi de force leur état-major dans une grande parcelle qu’ils ont réquisitionnée à cet effet !

Cependant, devant l’ampleur de la réaction très virulente de la jeunesse de Moanda, Hyppolite Kanambe et l’état-major du Tusti-power à Kinshasa ont été littéralement désemparés. 


Car l’expédition de Moanda du bataillon rwandais avait été sciemment planifiée dans le cadre du déclenchement de l’opération- provocation pour permettre au pouvoir tutsi à Kinshasa de sévir pour semer la peur et servir d’exemple pour mâter psychologiquement toute velléité de révolte chez les Congolais. 

Mais compte tenu de la surveillance accrue des Etats-Unis et du reste de la Communauté internationale suite à l’affaire de la « fosse commune », et pour ne pas prendre du retard sur leur calendrier, les experts du Tutsi-power avaient décidé de déporter l’opération initialement prévue pour Kinshasa à Moanda. 

Malheureusement pour eux, ils n’avaient pas prévu la virulence de la réaction des jeunes de Moanda. Et devant l’ampleur des dégâts infligés aux troupes rwandaises, «Joseph Kabila» et ses experts tutsis ont décidé d’empêcher le relais de toute information relative à cette débâcle auprès de la presse nationale et internationale. 

Ils ont surtout peur que les jeunes kinois et lushois s’inspirent de l’exemple de leurs frères de Moanda pour allumer le feu de la résistance contre l’occupant rwandais !

En effet, ce qu’il est convenu d’appeler désormais « les affaires des fosses communes » de Kinshasa (à Maluku) et de Lubumbashi (à Kibembe) font trembler Hyppolite Kanambe et toute sa clique du Tutsi-power à Kinshasa. 


Ces derniers jours, il a envoyé son «sapeur-pompier», Olive Lembe, à Lubumbashi, avec des «dons» (ndlr : c’est l’euphémisme en RDC pour parler de corruption) pour tenter d’empêcher l’éruption du volcan qui couve! 

Les Katangais veulent en effet des explications sur le charnier découvert à Kibembe. Faute de quoi, ils menacent de rejeter publiquement Kanambe et de le déclarer «imposteur». Autrement dit, non originaire du Katanga ! 

Par ailleurs, des bruits de bottes des ex-gendarmes katangais se feraient déjà entendre dans les alentours de Lubumbashi, chuchotent des hommes autour du «raïs» qui aurait perdu la notion du sommeil depuis des semaines. 

Son frère Zoé et sa sœur Jaynet lui ont proposé dernièrement de filer à l’anglaise et de disparaître vers une direction inconnue. Mais il a rejeté fermement cette hypothèse, car il est persuadé que les réseaux de l’APARECO et ceux des américains finiront par les dénicher et les rattraper. 

La meilleure solution, dit-il à ses frangins, c’est de rester en RDC et de se battre jusqu’au bout ! 

Le dernier article de L’œil du Patriote révélant la mission de l’AG de la DGM Beya au Maroc a fini par faire craquer les Kanambe qui avaient mis leur dernier espoir dans cette mission de la dernière chance. 

Mais dès la parution de l’article de L’oeil du Patriote, Zoé excédé a immédiatement envoyé un message à François Beya lui sommant de se débrouiller pour « stopper Honoré Ngbanda ou Candide Okeke comme promis, à défaut l’un de ses proches dont notamment Lukika, Bokulu ou Ilunga ». Autrement, qu’il s’apprête à rembourser l’argent reçu pour cette mission! 

Depuis vendredi 1ermai, après l’échec des recherches au Maroc, et suite à l’article de L’œil du patriote dénonçant leur cavalcade clandestine à travers le Maroc, François Beya et son commando ont vidé les lieux précipitamment sur la pointe des pieds pour l’Europe, deuxième étape de leur expédition. Nous leur souhaitons bien du courage !

L’œil du Patriote félicite chaleureusement le courage et le patriotisme des jeunes congolais de Moanda et invite toute la jeunesse congolaise, particulièrement celle de Kinshasa, Lubumbashi, Kisangani, Goma et Bukavu, à s’inspirer de l’exemple des jeunes de Moanda qui viennent de prouver que devant la détermination d’un peuple, aucune armée du monde, si puissante soit-elle, ne peut résister ! 


Il invite toute la jeunesse congolaise (civile et miliaire) de l’intérieur du pays et de la diaspora à s’unir comme un seul homme pour stopper les agresseurs de notre pays et les bouter tous hors des terres de nos ancêtres afin que notre postérité vive à jamais dans la dignité et la paix retrouvée !
________________
Paris, le 06 Mai 2015
Candide OKEKE

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire