Pour Reed Brody, porte-parole de Human Rights Watch, la communauté internationale doit maintenant identifier les responsables des atrocités relevées par l’ONU en RD Congo pour les traduire en justice.
Par FRANCE 24 (texte)
Le porte-parole de Human Rights Watch est lui-même l’un des co-auteurs d’un précédent rapport onusien. "Malheureusement, le Conseil de sécurité a enterré ce rapport, et toutes les milices gouvernementales, les seigneurs de guerre, ont pu interpréter ça comme un feu vert pour poursuivre les violences. Les viols massifs et les massacres que l’on voit aujourd’hui sont, quelque part, le fruit de l’impunité dont jouissent les auteurs des mêmes massacres", explique-t-il.

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