LUNDI, 15 AOÛT 2011
La RDC depuis 1996 fait face à diverses guerres à répétition de la part de forces négatives qui se livrent à des persécutions du peuple bantou qu'elles entendraient chasser de leurs terres comme cela s'était une fois produit en Egypte où les bantous avaient été chassés par des Nilotiques. Les enjeux contemporains révèlent qu'à la suite de ses incommensurables ressources naturelles dont les forêts et l'eau de son fleuve, la RDC est la convoitise non seulement de voisins, mais bien plus des étrangers des quatre coins de la planète.
Cela étant, l'avenir du monde entier se joue, du point de vue géologique, dans le bassin du Congo en général et particulièrement en RDC. Car, en ces temps du changement climatique, ce pays est doté de la forêt équatoriale (encore vierge) ainsi que de son intarissable et pure fleuve qui restent le seul rempart du monde entier quant à la production de l'oxygène ainsi que de l'hydrogène. De ce fait, une guerre de l'eau est programmée dans 20 ans en RDC à cause de son eau. La déclaration de Herman Cohen selon laquelle «...pour le Département américain, le Kivu appartient au Rwanda...» faite au cours de son interview, en dit plus.
Une catastrophe climatique s'annonce déjà à l'horizon à la suite du changement climatique qui, à ce jour, provoque la disparition des cours d'eau ainsi que la montée d'eau en décimant certains coins du monde faisant d'innombrables sinistrés climatiques qui sont en quête de terres d'asile. Et les 20 années qui viennent seront plus catastrophiques. Or, avec ses forêts et cours d'eau (fleuve), la RDC est le lieu indiqué pour accueillir ces sinistrés et subir toutes les conséquences environnementales et sanitaires y relatives, indique le Professeur Vanshok Ekoko qui conseille de mettre en place des mécanismes nécessaires pour désamorcer cette bombe qui est déjà en action.
Pour le Professeur Ekoko, «Si nous n 'arrivons pas à cerner les enjeux, nous allons certainement perdre le contrôle de notre fleuve et de nos forêts. Il est donc impérieux d'initier d 'intenses et minutieuses études afin de pouvoir mieux contrôler ces ressources naturelles qui pourront générer au pays d'énormes dividendes de l'ordre d'au moins 40.000 USD/seconde pour l'eau. Et cela, sans compter ce qui pourra provenir du courant que nous allons fournir au monde dans son ensemble. Alors que nos forêts pourraient produire plus de 200 milliards USD avec la seule exploitation du carbone. Il est à dire donc que la RDC est pris dans la geôle du lobbing juif caractérisé de toutes sortes de mensonges autour de nos richesses qui ont les causes même d incessantes guerres d'agression dont notre pays est victime depuis des années ».
Et ce Professeur de poursuivre, «la RDC peut devenir la première puissance du monde si vraiment nous prenons conscience de l'immensité de nos ressources naturelles. Il est tout simplement question d'avoir un leadership responsable à même de capitaliser ces ressources, d'orienter la politique du gouvernement dans la bonne voie et de faire un lobbing de la RDC au niveau international».
La déclaration de Herman Cohen selon laquelle «… pour les Etats-Unis, le Kivu appartient au Rwanda», entre bel et bien dans la perspective de chasser les bantous de leurs terres afin d'y installer les sinistrés climatiques en quête de terre d'asile.
«Les guerres à répétition que connaît la RDC à l'Est ont pour raison plausible y chasser tout simplement les bantous pour céder la place aux sinistrés climatiques», a renseigné le Professeur assistant Jackson Liele, Expert en mouvements migratoires.
«Comme du temps de l'Egypte antique où les Nilotiques venus d'autres cieux ont réussi à infiltrer le pouvoir égyptien jusqu'à s'imposer, et ont chassé les bantous qui ont fui pour s'installer en Afrique centrale et particulièrement en RDC, tel est le sort réservé aux bantous de la RDC et particulièrement ceux de l'Est (Kivu) si l'on n'y prend pas garde. La même aventure se reproduit aujourd'hui avec les guerres d'agression qui se répètent à l'Est du pays», indique l'assistant Liele.
A en croire des indicateurs disponibles, la guerre de l'eau guette la RDC d'ici 20 ans. Cette assertion se vérifie par la déclaration de la FAO relayée par le ministère belge de l'Agriculture qui soutienne que la RDC, grâce à l'eau de son fleuve, est capable de nourrir plus de 24 milliards de personnes. Cependant, les Congolais meurent eux- mêmes de faim.
La RDC, par voie de la représentation nationale, est appelée à mettre en place des mécanismes appropriés en vue de désamorcer cette bombe et tirer profit de l'eau de son fleuve long de 4.700 Km avec un bassin de 3.800.000 Km2 pourtant deuxième du monde après l'Amazone.
Il est pourtant dommage de constater que la Société nationale d'électricité (SNEL) se plaint pour l'étiolement du fleuve Congo qui ne permet pas à ses turbines de tourner comme il se doit et produire du courant nécessaire aux abonnés.
Cependant, la Régie des voies maritimes (RVM) déplore le manque criant de matériel nécessaire au dragage des cours d'eau. Il se lit de ce fait, l'absence de politique appropriée à même de capitaliser des ressources naturelles de la RDC devant .générer de colossales sommes pour le développement réel et évident du pays qui a des aptitudes voulues pour devenir en un clin d'oeil, la première puissance du monde au lieu d'être programmé à faire face à la guerre de l'eau.
Daudet Luzayamo
La RDC depuis 1996 fait face à diverses guerres à répétition de la part de forces négatives qui se livrent à des persécutions du peuple bantou qu'elles entendraient chasser de leurs terres comme cela s'était une fois produit en Egypte où les bantous avaient été chassés par des Nilotiques. Les enjeux contemporains révèlent qu'à la suite de ses incommensurables ressources naturelles dont les forêts et l'eau de son fleuve, la RDC est la convoitise non seulement de voisins, mais bien plus des étrangers des quatre coins de la planète.
Cela étant, l'avenir du monde entier se joue, du point de vue géologique, dans le bassin du Congo en général et particulièrement en RDC. Car, en ces temps du changement climatique, ce pays est doté de la forêt équatoriale (encore vierge) ainsi que de son intarissable et pure fleuve qui restent le seul rempart du monde entier quant à la production de l'oxygène ainsi que de l'hydrogène. De ce fait, une guerre de l'eau est programmée dans 20 ans en RDC à cause de son eau. La déclaration de Herman Cohen selon laquelle «...pour le Département américain, le Kivu appartient au Rwanda...» faite au cours de son interview, en dit plus.
Une catastrophe climatique s'annonce déjà à l'horizon à la suite du changement climatique qui, à ce jour, provoque la disparition des cours d'eau ainsi que la montée d'eau en décimant certains coins du monde faisant d'innombrables sinistrés climatiques qui sont en quête de terres d'asile. Et les 20 années qui viennent seront plus catastrophiques. Or, avec ses forêts et cours d'eau (fleuve), la RDC est le lieu indiqué pour accueillir ces sinistrés et subir toutes les conséquences environnementales et sanitaires y relatives, indique le Professeur Vanshok Ekoko qui conseille de mettre en place des mécanismes nécessaires pour désamorcer cette bombe qui est déjà en action.
Pour le Professeur Ekoko, «Si nous n 'arrivons pas à cerner les enjeux, nous allons certainement perdre le contrôle de notre fleuve et de nos forêts. Il est donc impérieux d'initier d 'intenses et minutieuses études afin de pouvoir mieux contrôler ces ressources naturelles qui pourront générer au pays d'énormes dividendes de l'ordre d'au moins 40.000 USD/seconde pour l'eau. Et cela, sans compter ce qui pourra provenir du courant que nous allons fournir au monde dans son ensemble. Alors que nos forêts pourraient produire plus de 200 milliards USD avec la seule exploitation du carbone. Il est à dire donc que la RDC est pris dans la geôle du lobbing juif caractérisé de toutes sortes de mensonges autour de nos richesses qui ont les causes même d incessantes guerres d'agression dont notre pays est victime depuis des années ».
Et ce Professeur de poursuivre, «la RDC peut devenir la première puissance du monde si vraiment nous prenons conscience de l'immensité de nos ressources naturelles. Il est tout simplement question d'avoir un leadership responsable à même de capitaliser ces ressources, d'orienter la politique du gouvernement dans la bonne voie et de faire un lobbing de la RDC au niveau international».
La déclaration de Herman Cohen selon laquelle «… pour les Etats-Unis, le Kivu appartient au Rwanda», entre bel et bien dans la perspective de chasser les bantous de leurs terres afin d'y installer les sinistrés climatiques en quête de terre d'asile.
«Les guerres à répétition que connaît la RDC à l'Est ont pour raison plausible y chasser tout simplement les bantous pour céder la place aux sinistrés climatiques», a renseigné le Professeur assistant Jackson Liele, Expert en mouvements migratoires.
«Comme du temps de l'Egypte antique où les Nilotiques venus d'autres cieux ont réussi à infiltrer le pouvoir égyptien jusqu'à s'imposer, et ont chassé les bantous qui ont fui pour s'installer en Afrique centrale et particulièrement en RDC, tel est le sort réservé aux bantous de la RDC et particulièrement ceux de l'Est (Kivu) si l'on n'y prend pas garde. La même aventure se reproduit aujourd'hui avec les guerres d'agression qui se répètent à l'Est du pays», indique l'assistant Liele.
A en croire des indicateurs disponibles, la guerre de l'eau guette la RDC d'ici 20 ans. Cette assertion se vérifie par la déclaration de la FAO relayée par le ministère belge de l'Agriculture qui soutienne que la RDC, grâce à l'eau de son fleuve, est capable de nourrir plus de 24 milliards de personnes. Cependant, les Congolais meurent eux- mêmes de faim.
La RDC, par voie de la représentation nationale, est appelée à mettre en place des mécanismes appropriés en vue de désamorcer cette bombe et tirer profit de l'eau de son fleuve long de 4.700 Km avec un bassin de 3.800.000 Km2 pourtant deuxième du monde après l'Amazone.
Il est pourtant dommage de constater que la Société nationale d'électricité (SNEL) se plaint pour l'étiolement du fleuve Congo qui ne permet pas à ses turbines de tourner comme il se doit et produire du courant nécessaire aux abonnés.
Cependant, la Régie des voies maritimes (RVM) déplore le manque criant de matériel nécessaire au dragage des cours d'eau. Il se lit de ce fait, l'absence de politique appropriée à même de capitaliser des ressources naturelles de la RDC devant .générer de colossales sommes pour le développement réel et évident du pays qui a des aptitudes voulues pour devenir en un clin d'oeil, la première puissance du monde au lieu d'être programmé à faire face à la guerre de l'eau.
Daudet Luzayamo
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