Voilà l’info qui a fait le tour de monde de ce début de week end concernant la RD Congo notre pays. Le contraire aurait, bien entendu, étonné car la machine broyeuse du Kabilisme avait bien fait les choses pour contourner la volonté du peuple congolais.
La fameuse communauté internationale, engluée dans une situation économique catastrophique, a reconnu l’élection de notre naïf Satrape pour les prochaines 5 années. C’est surtout la déclaration de la mutuelle dictatoriale des Chefs d’Etat des pays de la région des Grands Lacs, en villégiature à Kampala, qui a frappé les consciences par sa rapidité et sa clarté dans l’énoncé : "Le sommet (...) félicite le président de la RDC pour sa réélection et appelle ceux qui ne sont pas satisfaits du résultat de l'élection à l'accepter et à travailler à reconstruire le pays", indique la déclaration, signée par l'Ouganda, le Kenya, la Tanzanie, la Zambie, le Burundi et la République centrafricaine.
Cette hypocrisie internationale, dans toute son horreur, ne sera pas avalée simplement par le peuple congolais qui se sent enfermé dans une seringue par une clique d’adeptes de Madoff. L’éditorialiste JB Placa de RFI a récemment bien décrit cette fumisterie électorale en des termes suffisamment clairs : « C’est de légitimité que l’on vous parle ! Le vote ne peut être une formalité que l’on expédie vite, dans une impréparation visible à l’œil nu, juste pour renouveler son bail à la tête d’un Etat, pour perdurer au pouvoir.
Dans l’Afrique d’aujourd’hui, les élections approximatives, avec des irrégularités que l’on minimise, comportent plus de risques que d’avantages. La meilleure assurance contre une fin humiliante ou même tragique est de s’assurer que l’on tient sa légitimité de la majorité de son peuple, et que l’on gouverne bien. L’Histoire est en marche ! En lettres de feu et de sang, Mohamed Bouazizi en a écrit les premières lignes.
Les peuples arabes et africains savent, à présent, que ce sont eux qui auront le dernier mot. Ils ont beau être écrasés par les tyrans, abusés par les despotes ou floués par les margoulins, l’heure a sonné pour chaque peuple de s’écrier : « nous n’avons plus peur ! Nous ne nous laisserons plus faire ! ».
Décidés de gommer les miasmes du Kabilisme en RD Congo, des filles et fils du pays ont décidé de se battre contre le régime tyrannique du Béotien Kabila afin d’assurer l’avenir de nos enfants. Nous avons eu l’honneur de nous entretenir avec l’un des nos compatriotes qui a juré de combattre le régime minable de notre désopilant petit despote. Il s’agit du Colonel Beiza Bamuhiga Richard qui nous a fait comprendre que le désespoir ne devrait pas gagner le cœur de notre population dont on a vu l’enthousiasme qui l’a caractérisé lors des récentes élections. En effet, elle voulait à tout prix mettre fin au système dégradant du fripon dictateur Kabila.
Ci-dessous le texte de ce message
Chers compatriotes,
Je vous salue et vous transmets la chaleur et l’amour de tous les combattants congolais qui sont réunis autour de l’idéal suprême : remettre l’avenir de notre grand et beau pays entre les mains de vrais leaders congolais capables d’assurer une heureuse destinée à la progéniture.
Je suis le Colonel Beiza Richard, Inspecteur principal de la Police nationale congolaise, matricule 38029/F, qui avait fuit le pays pour échapper aux tentatives d’assassinat après avoir pris connaissance d’un dossier mafio-terroriste dans lequel l’entourage proche du rigolo Kabila était directement impliqué.
J’avais également accordé une interview au site www.lemillenaireinfoplus.com en avril 2011 dans laquelle je dénonçais l’implication directe de Kabila dans les massacres de Bogoro et Nyankunde en 2002 et je déclarais être disposé à aller à la CPI pour y témoigner.
Cela aura suffi pour mettre ce dictateur en colère et ma mise à mort programmé. C’est donc en homme libre et responsable de la tâche qui attend tous les combattants de la liberté que je vous envoie ce message d’espoir car je suis convaincu et j’ai même des assurances que le faussaire-usurpateur Kabila sera éjecté dans peu de temps par la détermination du peuple congolais.
L’écrivain américain Tom Stoppard dans son livre Les Acrobates disait :"La démocratie n’est pas dans le vote, elle est dans le comptage des voix".
A tous ces Occidentaux qui, pour des intérêts économiques, semblent oublier qu’ils nous ont imposé cette démocratie comme panacée à nos malheurs, nous leur disons que la situation va changer grâce à la détermination et la volonté de tout un peuple.
La fripouille nous imposée comme président entouré de quelques paillassons congolais doivent laisser la place à M. Tshisekedi qui a effectivement gagné les élections en RD Congo. Cher compatriotes, Notre volonté et notre détermination à faire changer les choses dans notre pays constitue la seule arme réellement efficace et rien ne pourra y résister.
Et comme a dit Salman Rushdie, l’une des particularités les plus extraordinaires qui caractérisent les évènements humains, c’est que l’impensable devient pensable. Le califat dictatorial des tyrans africains devrait revoir l’appui à son agent catapulté à Kinshasa car la situation va bientôt basculer pour le bonheur du peuple congolais.
Les assurances données par Kabila à certains pays comme l’Angola de continuer à pomper le pétrole congolais, au trio Kigali-Kampala-Bujumbura de gérer l’Est du pays, au régime Zuma de contrôler les mines du Nord-Est et le pétrole du Graben, et bien, toute cette foire sera arrêtée par la résistance de tout un peuple, debout, pour réclamer ses droits à ce capitalisme sauvage en perte de vitesse.
Je viens de m’investir corps et âme dans cette lutte contre les voleurs de voix et je dois vous assurer que la résistance sera farouche dans la région de l’Ituri d’où je suis natif. Le pétrole, les minerais, le bois, le café, qui devraient profiter d’abord au Ituriens, font régulièrement objet de pillage à travers des contrats léonins signés par le rigolo nous imposé.
J’ai réuni un groupe important de jeunes combattants rompus dans la guérilla et qui sont positionnés dans toute cette région de l’Ituri pour des actions de sabotage à l’endroit des sociétés pétrolières et minières en activité. Nos combattants les contraindront à plier bagages si elles ne veulent pas obtempérer aux ordres de notre nouveau président Tshisekedi.
Je demande solennellement aux nombreux compatriotes-résistants à faire de même dans toutes les provinces du pays car c’est le seul langage que les détenteurs de capitaux comprennent facilement. L’entêtement collectif ayant souvent des conséquences politiques profondes, faisons Nôtre cette réflexion de l’opposante birmane Aung Sann Suu Kyi: « Parmi toutes les libertés fondamentales auxquelles les hommes aspirent pour vivre une existence pleinement digne, la libération de la peur est unique ; elle est à la fois un moyen et une fin… ».
Il faut que les congolais eux-mêmes luttent pour recouvrer leurs droits et liberté et ce n’est qu’à ce prix que la communauté internationale pourrait intervenir. Regardons les révoltes au Malgreb et en Syrie menées par des populations à mains nues, la détermination du peuple birman derrière leur icône Aung Sann Suu Kyi libérée récemment après plus de 10ans passés en prison, tout ceci devrait inspirer notre patriotisme à canaliser l’énergie de nos populations vers un idéal d’un vrai changement. Je suis parmi ceux qui sont en train de s’investir pour réaliser cet idéal.
A ce sujet, je promets, dans la mesure de mes moyens et de mes capacités, de mettre tout en œuvre afin que le régime démoniaque de Kabila soit balayé rapidement par la détermination du peuple congolais uni autour de notre nouveau président Etienne Tshisekedi wa Mulumba. Pour cela, je compte sur tous les combattants-résistants partout en RD Congo et à l’étranger afin de mettre fin à plusieurs années de misère pour instaurer une ère nouvelle de dignité et de prospérité nationale. Aux combattants-résistants, soyons prêts pour le combat final afin que notre sang soit la semence d’une terre nouvelle.
Vive la résistance congolaise
Que Dieu vous bénisse.
Je vous remercie
Colonel Beiza Richard
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