Ce document de cinq pages est adressé à Albert II, le roi des Belges, afin que son pays amène l’Union européenne à s’impliquer dans la recherche d’une solution durable pour mettre fin aux crises à répétition à l’est de la République démocratique du Congo (RDC).
« La communauté internationale met le paquet pour résoudre la situation au Congo, concède la députée congolaise, Eve Bazaïba. Mais elle ne fait que gérer les conséquences, sans s’attaquer aux causes réelles profondes. Et les causes réelles profondes, c’est l’exploitation illicite des ressources minières du Congo. C’est la prolifération des armes, donc, le commerce des armes en République démocratique du Congo. Les armes qui crépitent en RDC ne sont pas fabriquées dans la région des Grands Lacs ».
« Toute ingérence d’un pays étranger – en l’occurrence le Rwanda – dans les affaires intérieures du Congo, doit être condamnée fermement », a déclaré l’ambassadeur de Belgique. « Mais, a ajouté le diplomate, le Congo doit rétablir dans son armée, dans sa police, dans sa justice, une bonne gouvernance sérieuse ».
« On constate en effet, a indiqué l’ambassadeur Dominique Struye, qu’il y a de temps en temps du côté congolais, quelques complicités dans les transactions qui se font. Toute forme de complicité de la part de Congolais, dans un certain nombre de trafics, doit être condamnée et interdite ».
« La communauté internationale met le paquet pour résoudre la situation au Congo, concède la députée congolaise, Eve Bazaïba. Mais elle ne fait que gérer les conséquences, sans s’attaquer aux causes réelles profondes. Et les causes réelles profondes, c’est l’exploitation illicite des ressources minières du Congo. C’est la prolifération des armes, donc, le commerce des armes en République démocratique du Congo. Les armes qui crépitent en RDC ne sont pas fabriquées dans la région des Grands Lacs ».
« Toute ingérence d’un pays étranger – en l’occurrence le Rwanda – dans les affaires intérieures du Congo, doit être condamnée fermement », a déclaré l’ambassadeur de Belgique. « Mais, a ajouté le diplomate, le Congo doit rétablir dans son armée, dans sa police, dans sa justice, une bonne gouvernance sérieuse ».
« On constate en effet, a indiqué l’ambassadeur Dominique Struye, qu’il y a de temps en temps du côté congolais, quelques complicités dans les transactions qui se font. Toute forme de complicité de la part de Congolais, dans un certain nombre de trafics, doit être condamnée et interdite ».
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