Ces images témoignent d'un fait : il s'est agi, dans la nuit du 5 au 6 août 2012, d'un assaut-surprise, et qui a réussi à prendre les FRCI de court. Mais certaines questions demeurent.
Quel était le nombre des assaillants pour qu'ils puissent pénétrer le camp et frapper aussi "facilement", prendre en otage un certain nombre d'éléments et défoncer la poudrière si l'on en croit le reporter de RFI ?
Un pays où trois attaques meurtrières viennent surprendre le régime en un week-end - juste avant la fête nationale - peut-il être considéré comme "sécurisé" ?
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