Mercredi 21 novembre 2012
Avec Madame Candide OKEKE
(Directrice de Cabinet du Président national de l’APARECO)
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"La Communauté internationale par ses atermoiements accorde un permis de tuer au M23 et au Rwanda,(...) le peuple congolais doit s'assumer"
"Le 1er agresseur (rwandais) que les congolais doivent chasser de la RDC se trouve à Kinshasa"
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Version Audio cliquez ici : http://www.audiobendele.com
Version écrite , voir ci-dessous
AFRICA N°1 : « Quand vous entendez toutes ces informations qui nous arrivent de Goma, cette ville qui est aujourd’hui entre les mains des rebelles du M23, quelle est votre réaction ? »
Candide OKEKE :« Il se passe malheureusement ce que l’APARECO a toujours dénoncé depuis sa création à savoir le processus d’occupation des terres congolaises par différents mouvements « rebelles » créés par le Rwanda.
Aujourd’hui on parle du mouvement terroriste du M23 mais avant il s’appelait « CNDP » ou encore « RCD Goma ». L’ONU et la Communauté internationale savent exactement ce qui se passe réellement en RDC.
L’APARECO déplore aujourd’hui que la Communauté internationale par ses atermoiements accorde un véritable permis de tuer au M23 ou plutôt au Rwanda puisque le M23 n’est autre que le Rwanda.
La Communauté internationale doit prendre conscience du fait qu’elle est en train ( par cette attitude) de semer les germes de la haine et de la violence non seulement dans le Kivu mais aussi dans toute la RDC et voir même dans toute cette région d’Afrique où les gens savent maintenant ce qui se passe réellement à l’Est de la RDC, ils sont révoltés et dégoûtés.
Or ce n’est pas de cette manière que l’on pourra construire la Paix dans la région des Grands Lacs !
Nous de l’APARECO en tant que congolais nous prenons acte de tout ceci et c’est pour cela que nous appelons tous nos compatriotes congolais aujourd’hui à s’assumer.
Tout le monde sait que ce qui se passe en RDC aujourd’hui est une véritable agression extérieure. Mais le premier de nos agresseurs (rwandais) ne se trouve pas à Goma, il se trouve à Kinshasa et s’appelle Kabila.
Malgré les comédies qu’il joue régulièrement aux congolais sur des prétendues décisions qu’il serait en train de prendre pour assurer la sécurité de la population congolaise, Joseph Kabila n’est pas là pour protéger les congolais, c’est un cheval de Troie du Rwanda.
C’est un ancien membre du FPR et tout ce qu’il fait chez nous s’inscrit dans le cadre de sa mission en tant que Cheval de Troie introduit en RDC par le Rwanda.
Donc aujourd’hui sachant que notre premier agresseur se trouve à Kinshasa les congolais doivent savoir que c’est par là qu’il faut commencer. Il faut mettre un terme à l’action de ce cheval de Troie d’abord.
Tant que Mr Kabila assumera sa fonction à Kinshasa les congolais ne réussiront pas à résoudre le problème de l’Est. D’ailleurs on nous parle aujourd’hui de nos militaires qui ne se seraient pas battus à l’Est…
Mais en réalité ce qui se passe c’est que Joseph Kabila sabote notre armée depuis des années. Et concernant les opérations qui viennent de se dérouler au Kivu l’APARECO a recueilli les témoignages d’officiers congolais qui nous ont expliqué comment ils ont eu régulièrement des contre ordres qui les ont empêchés de se battre comme il l’aurait fallu. »
Avec Madame Candide OKEKE
(Directrice de Cabinet du Président national de l’APARECO)
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"La Communauté internationale par ses atermoiements accorde un permis de tuer au M23 et au Rwanda,(...) le peuple congolais doit s'assumer"
"Le 1er agresseur (rwandais) que les congolais doivent chasser de la RDC se trouve à Kinshasa"
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Version écrite , voir ci-dessous
AFRICA N°1 : « Quand vous entendez toutes ces informations qui nous arrivent de Goma, cette ville qui est aujourd’hui entre les mains des rebelles du M23, quelle est votre réaction ? »
Candide OKEKE :« Il se passe malheureusement ce que l’APARECO a toujours dénoncé depuis sa création à savoir le processus d’occupation des terres congolaises par différents mouvements « rebelles » créés par le Rwanda.
Aujourd’hui on parle du mouvement terroriste du M23 mais avant il s’appelait « CNDP » ou encore « RCD Goma ». L’ONU et la Communauté internationale savent exactement ce qui se passe réellement en RDC.
L’APARECO déplore aujourd’hui que la Communauté internationale par ses atermoiements accorde un véritable permis de tuer au M23 ou plutôt au Rwanda puisque le M23 n’est autre que le Rwanda.
La Communauté internationale doit prendre conscience du fait qu’elle est en train ( par cette attitude) de semer les germes de la haine et de la violence non seulement dans le Kivu mais aussi dans toute la RDC et voir même dans toute cette région d’Afrique où les gens savent maintenant ce qui se passe réellement à l’Est de la RDC, ils sont révoltés et dégoûtés.
Or ce n’est pas de cette manière que l’on pourra construire la Paix dans la région des Grands Lacs !
Nous de l’APARECO en tant que congolais nous prenons acte de tout ceci et c’est pour cela que nous appelons tous nos compatriotes congolais aujourd’hui à s’assumer.
Tout le monde sait que ce qui se passe en RDC aujourd’hui est une véritable agression extérieure. Mais le premier de nos agresseurs (rwandais) ne se trouve pas à Goma, il se trouve à Kinshasa et s’appelle Kabila.
Malgré les comédies qu’il joue régulièrement aux congolais sur des prétendues décisions qu’il serait en train de prendre pour assurer la sécurité de la population congolaise, Joseph Kabila n’est pas là pour protéger les congolais, c’est un cheval de Troie du Rwanda.
C’est un ancien membre du FPR et tout ce qu’il fait chez nous s’inscrit dans le cadre de sa mission en tant que Cheval de Troie introduit en RDC par le Rwanda.
Donc aujourd’hui sachant que notre premier agresseur se trouve à Kinshasa les congolais doivent savoir que c’est par là qu’il faut commencer. Il faut mettre un terme à l’action de ce cheval de Troie d’abord.
Tant que Mr Kabila assumera sa fonction à Kinshasa les congolais ne réussiront pas à résoudre le problème de l’Est. D’ailleurs on nous parle aujourd’hui de nos militaires qui ne se seraient pas battus à l’Est…
Mais en réalité ce qui se passe c’est que Joseph Kabila sabote notre armée depuis des années. Et concernant les opérations qui viennent de se dérouler au Kivu l’APARECO a recueilli les témoignages d’officiers congolais qui nous ont expliqué comment ils ont eu régulièrement des contre ordres qui les ont empêchés de se battre comme il l’aurait fallu. »
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