07 Novembre 2012

La classe politique anglaise est en ébullition. L'opinion publique veut voir clair dans le dossier lié au rétablissement de l'aide britannique au Rwanda.
En effet, il vous souviendra qu'en son temps, Londres avait suspendu toute aide bilatérale au Rwanda à cause de son implication dans l'instabilité sévissant à l'Est de la RDC.
L'Angleterre emboîtait ainsi le pas à plusieurs autres Nations occidentales qui avaient jugé indiqué d'infliger ce genre de sanction au régime de Paul Kagame.
Tout le monde, même les USA, maintenait ainsi la pression, lorsque Londres a fait défection du Secrétaire international honoraire au développement, Andrew Mitchell, la décision fut prise de rétablir l'aide au développement en faveur du Rwanda.
A hauteur de 16 millions de livres sterlings, cette aide restaurée fut une véritable bouffée d'oxygène pour le régime de Kagame qui étouffait déjà sous le poids des sanctions économiques.
Aujourd'hui, en Grande Bretagne, on a décidé d'obtenir toutes les explications sur ce rétablissement cavalier.
L'auteur de la décision, le très controversé et fantasque Andrew Mitchell est appelé à témoigner le 08 novembre au comité de développement international.
Cette dernière enquête sur la décision prise par le Département au Développement international.
On estime que la décision d'Andrew Mitchell fut prise dans des conditions peu claires, floues et suspectes à la limite.
Car, au moment de la fameuse décision, le Rwanda continuait de ployer sous le coup d'accusation avérée de complicité avec le M23.
Rien de solide ou formel ne permettait à la couronne britannique de revenir sur sa décision de suspension d'aide.
Le Royaume Uni reste le plus grand donateur bilatéral du Rwanda. Le geste qu'il a posé s'est donc révélé comme une haute trahison de la clause de solidarité internationale.
Il s'ensuit que Londres se trouve en ce moment sous forte pression de la part des autres partenaires occidentaux.
Réplique
En effet, il vous souviendra qu'en son temps, Londres avait suspendu toute aide bilatérale au Rwanda à cause de son implication dans l'instabilité sévissant à l'Est de la RDC.
L'Angleterre emboîtait ainsi le pas à plusieurs autres Nations occidentales qui avaient jugé indiqué d'infliger ce genre de sanction au régime de Paul Kagame.
Tout le monde, même les USA, maintenait ainsi la pression, lorsque Londres a fait défection du Secrétaire international honoraire au développement, Andrew Mitchell, la décision fut prise de rétablir l'aide au développement en faveur du Rwanda.
A hauteur de 16 millions de livres sterlings, cette aide restaurée fut une véritable bouffée d'oxygène pour le régime de Kagame qui étouffait déjà sous le poids des sanctions économiques.
Aujourd'hui, en Grande Bretagne, on a décidé d'obtenir toutes les explications sur ce rétablissement cavalier.
L'auteur de la décision, le très controversé et fantasque Andrew Mitchell est appelé à témoigner le 08 novembre au comité de développement international.
Cette dernière enquête sur la décision prise par le Département au Développement international.
On estime que la décision d'Andrew Mitchell fut prise dans des conditions peu claires, floues et suspectes à la limite.
Car, au moment de la fameuse décision, le Rwanda continuait de ployer sous le coup d'accusation avérée de complicité avec le M23.
Rien de solide ou formel ne permettait à la couronne britannique de revenir sur sa décision de suspension d'aide.
Le Royaume Uni reste le plus grand donateur bilatéral du Rwanda. Le geste qu'il a posé s'est donc révélé comme une haute trahison de la clause de solidarité internationale.
Il s'ensuit que Londres se trouve en ce moment sous forte pression de la part des autres partenaires occidentaux.
Réplique
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