le vendredi 18 avril 2014
Ce n'est un secret pour personne: le chômage est la grosse épine dans le pied de François Hollande pour sa législature. Celui-ci avait déjà promis de réduire le nombre de chômeurs pour 2014 mais il a dû s'avouer vaincu et admettre une nouvelle croissance.
Le taux de chômage bat encore des records chez nos voisins et le gouvernement Hollande en a été lourdement sanctionné lors des municipales, qui ont contraint Jean-Marc Ayrault à prendre la porte (remplacé par Manuel Valls).
Ce vendredi, le président français a une nouvelle fois évoqué son "combat", en prenant toutefois quelques risques. Il a ainsi affirmé, rapporte France TV Info, qu'il n'avait "aucune raison d'être candidat à la présidentielle en 2017, si le chômage ne baissait pas d'ici là".
Voilà qui est clair. S'il veut briguer un second mandat, François Hollande devra faire ses preuves.
Ce n'est un secret pour personne: le chômage est la grosse épine dans le pied de François Hollande pour sa législature. Celui-ci avait déjà promis de réduire le nombre de chômeurs pour 2014 mais il a dû s'avouer vaincu et admettre une nouvelle croissance.
Le taux de chômage bat encore des records chez nos voisins et le gouvernement Hollande en a été lourdement sanctionné lors des municipales, qui ont contraint Jean-Marc Ayrault à prendre la porte (remplacé par Manuel Valls).
Ce vendredi, le président français a une nouvelle fois évoqué son "combat", en prenant toutefois quelques risques. Il a ainsi affirmé, rapporte France TV Info, qu'il n'avait "aucune raison d'être candidat à la présidentielle en 2017, si le chômage ne baissait pas d'ici là".
Voilà qui est clair. S'il veut briguer un second mandat, François Hollande devra faire ses preuves.
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