15/05/2014
Ce titre évocateur n’est pas de moi, l’auteur est connu ; c’est Honore Ngbanda, ancien conseiller spécial du Marechal Mobutu.
Dans ce livre il raconte dans un chapitre, l’histoire de la chute de l'ancien chef de l'Etat zaïrois. Il raconte que Bill Richardson, ancien ambassadeur des Etats-Unis d'Amérique aux Nations Unies, envoyé spécial du président Bill Clinton a Kinshasa en 1997, qui est venu demander directement a Mobutu de quitter le pouvoir.
C’était le début de l’application de l’Opération « NO PAPER ZAIRE », opération préparée des 1992 par la CIA et le Pentagone pour balkaniser le Congo. (Ceux qui le souhaiteraient, je leur ferai parvenir par mail le document sur cette opération meurtrière pour le Congo)
Aujourd’hui, 17 ans après, l’histoire se répète : Les Etats-Unis envoient le Secrétaire d’Etat John Kerry pour demander à Kabila de quitter le pouvoir.
L’envoyé spécial du Président Obama, Russ Feingold a aussi repris ce même refrain, sans oublier Herman Cohen, qui l'avait pourtant soutenu en 2011 a ajouté une couche en disant que "Kabila is going nowhere", ça veut dire que Kabila n'irait nulle part.
Il s’ensuivra par la suite tous les suivistes belges notamment, le Ministre belge de la coopération ainsi que le Président de la Chambre, M. André Flahaut pour prier Kabile de respecter la constitution alors qu’ils se sont tus lorsque celui-ci la viole constamment, notamment pour ce qui concerne la sécurité des biens et des personnes et surtout au sujet des violations massives des droits de l’homme ainsi que sur des multiples tricheries électorales.
I. COMMENT EN AIT-T-ON ARRIVE LA ?
1. Un pays sous occupation rwandaise ;
2. Bavures et tricherie électorale (2006 et 2011) ;
3. Mauvaise gouvernance ;
4. violations massives des droits de l’homme ;
5. Echec des concertations nationales et de la mise en place du fameux « gouvernement de cohésion nationale » ;
6. Echec du dialogue gouvernement diaspora à Bruxelles ;
7. Les massacres des jeunes de Kinshasa le 30 décembre 2013, planifies au cours d’une réunion secrète au Grand Hôtel fin aout 2013. Le gouvernement prétendit qu’il s’agissait d’une tentative de coup d’Etat. (Nous nous réservons de publier les noms des participants à cette messe noire qui était présidée par Kabila lui-même) ;
8. Les expulsions et massacres des Congolais de la RDC, expulsions demandées par le gouvernement d’occupation de Kinshasa et dont on mesure aujourd’hui les conséquences. A l’époque du Marechal Mobutu, il ne serait même pas venu à l’idée au président Sassou d’envisager même d’expulser un moustique congolais de la RDC.
9. Une diplomatie en panne, ou le gouvernement, sans imperium, n’arrive pas et ne sait prendre les mesures conservatoires et diplomatiques d’usage contre le Congo-Brazzaville. Jamais du temps des Bomboko, Nguz, Kamanda wa Kamanda Bagbeni Adeito Nzengeya, Ramazani Baya, le Zaïre aurait réagi avec fermeté et réciprocité allant même à la suspension des relations avec diplomatiques avec le Rwanda, l’Ouganda, le Burundi, le Congo-Brazzaville et de même que avec l’Angola.
10. Un gouvernement incapable de mettre fin aux massacres perpétrés par des tueurs-tutsis-rwandais du CNDP et du M23. Je vais m’arrêter ici quelques instant pour révéler a l’opinion ce que Raymond Tshibanda, alors Ministre de la Coopération Régionale, qui avait caché aux Congolais concernant les observations du général Obasandjo après la signature de l’accord de paix entre la RDC et le CNDP. En effet, le Pasteur Isaac Shengezi de retour à Londres après la « déconfiture » du M23 dévoile les secrets de son aventure criminel au sein du CNDP d’abord : Il dit que Obasanjo avait posé 19 fois la question a Raymond Tshibanda, lorsqu’il a lu le contenu de cet accord : « are sure that could be like this ? ». Traduction « Etes-vous sûr que ça peut être ça ? » et Raymond Tshibanda de lui repondre : « Yes, this is it ». Traduction « Oui, c’est ça ». En fait, Obasanjo, ancien Président du Nigeria avait décelé des inepties et des énormités ou un gouvernement céder tout aux « rebelles » !!! Normalement, Raymond Tshibanda devait signer cet accord Nkundabatware, mais à la signature, on lui présentera un certain Désiré Kamanzi comme le nouveau président du CNDP. Et ça s’appelle la fourberie tutsie.
11. Apres la déconfiture du M23, Le Pasteur Isaac Shengezi dévoile que tous les membres de la délégation officielle du gouvernement congolais étaient corrompus : François Mwamba, Raymond Tshibanda et Ntumba Lwamba secrétaire exécutif du CIPGL auraient reçu chacun 1.500. 000 US$ chacun et ce sommes leur étaient versées via la Barclays Bank de Kampala. Et c’est Jean-Marie Runiga qui était charge de la transaction. Allez-y comprendre quelque chose ! Et le Pasteur Isaac d’ajouter, mis à part les gros poissons de la délégation congolaise, les Congolais, traitres ayant fait partie du M23, ont été paye en monnaie de singe, une des raisons pour lesquelles il a quitté le mouvement.
11. A Nairobi, après plusieurs virées inutiles à Kampala, alors que le texte était déjà prêt en Novembre 2013, Le chef de la délégation congolaise, Raymond Tshibanda devait normalement signer l’accord avec Jean-Marie Runiga Rugerero, on lui présentera un certain René Abandi comme chef de délégation du M23. Là encore, la perfidie tutsie a fonctionné. Maintenant ; que sont devenus les Nkundabatware, Désiré Kamanzi, René Abandi, Jean-Marie Runiga Rugero, tous des sujets rwandais que l’on a fait passer pour des Congolais et que les membres de la délégation congolaises les ont considérés comme tels ! Toute cette racaille s’est volatilisée dans la nature alors qu’ils aient déjà bénéficié d’une amnistie ? Comment l’expliquer ? C’est une amnistie factice que les députés et sénateurs congolais ont voté moyennant corruption, crachant ainsi sur la mémoire de plus de 8.000.000 de leurs compatriotes massacres par la racaille criminelle tutsie. C’est de la haute trahison de la part de ceux des parlementaires qui ont pris cette lourde responsabilité. Ils en répondront devant le Tribunal du Peuple qui sera institué à cet effet.
12. Echec de la mise en exécution sélective et mensongère de la loi d’amnistie inique et cynique ; encore une loi, on y perçoit la perfidie tutsie. Cette loi n’était pas faite pour les Bantous Congolais, mais pour dédouaner la racaille criminelle tutsie-rwandaise de crimes contre l’humanité, de crimes de guerre et de crimes de génocide.
II. ETANT UN PRODUIT DE L’INVASION RWANDAISE, VOICI LES CRIMES DONT KABILA ET SES COMPLICES DEVRONT REPONDRE DEVANT UN TRIBUNAL POPULAIRE
Joseph Kabila a réussi l’une des missions qui lui furent confiées par la communauté occidentale, l’ONU ainsi que les multinationales anglo-saxonnes ; à savoir, faire du Congo et des Congolais des proies faciles, sans défense ni sécurité, face au Rwanda; tout en pérennisant l’occupation de l’Est de la république démocratique du Congo.
Dans le même temps, Joseph Kabila a réalisé un autre objectif à la faveur de l’assujettissement de tout le Congo au profit de ses parrains rwandais, ougandais et autres.
Auteur de fraudes électorales massives et grossières durant le scrutin présidentiel du 28 novembre 2011, ayant en outre mis son rival, pourtant vainqueur de l’élection, sous le régime de résidence surveillée ; Joseph Kabila se présente désormais aux yeux du monde comme l’un des plus grands criminels de l’histoire de l’humanité.
Depuis janvier 2001, il s’est d’abord imposé au peuple congolais par imposture, avant d’assurer ensuite le maintien et l’aggravation de sa férule en s’emparant du pouvoir par le truchement d’une lamentable escroquerie et d’une mascarade électorale avérée.
Par conséquent, sa seule et véritable place ne devrait pas être à l’air libre et encore moins au sommet de l’Etat congolais ; mais dans une maison d’arrêt où il devrait finir ses jours sur cette planète, non sans avoir été au préalable traduit devant le Tribunal pénal international pour imposture, esclavagisme, dictature, crime de génocide, viols et violences sexuelles, corruption, trafic illicite d’armes, commerce dangereux d’uranium, blanchiment d’argent sale, violations massives et systématiques des libertés et des droits fondamentaux de l’homme, tortures, pillage délibéré et inconsidéré des richesses naturelles de la république démocratique du Congo.
Depuis janvier 2001, date de son accession, par duplicité, à coups d’intrigues, de machinations à la magistrature suprême, Joseph Kabila n’a pas cessé d’infliger aux Congolais les traitements et que les sévices réservés naguère aux esclaves.
C’est ainsi qu’au Congo, sous sa présidence, ont été remis à l’honneur la pratique des mutilations sexuelles, le supplice de la flagellation, mais aussi les traitements cruels, inhumains et dégradants ; sans oublier les massacres à large échelle, la création et l’entretien des conflits armés, les alliances avec les génocidaires, les crimes de guerre et les crimes contre l’humanité.
Joseph Kabila devra être inculpé pour haute trahison de par sa complicité et du fait qu’il est d’intelligence avec les ennemis du Peuple Congolais et de la République Démocratique du Congo.
Nous l’accusons également de crimes de guerre, crimes contre l’humanité et de crimes de génocide et de crimes économiques.
Il en sera de même pour les membres des gouvernements qui se sont succédés en République Démocratique du Congo : de Gizenga, Muzito et Matata Mpoyon de : Haute trahison pour avoir fait voter une loi d’amnistie en faveur des criminels tueurs-tutsi-rwandais, du CNDP, aujourd’hui M23 leur accordant ainsi l’impunité et le droit de tuer les bantous du CONGO.
D’avoir signé un accord avec le CNDP qui oblige le gouvernement congolais à verser des indemnités de l’ordre de 7 millions de dollars américains par mois, fruit du contribuable congolais aux membres et aux familles de CNDP, victimes des guerres à l’Est de la RDC, ignorant le sort des familles martyres congolaises.
CONCLUSION
En conclusion je conseille à Kabila ce qui suit :
• De ne pas s’agripper au pouvoir afin d’éviter un énième bain de sang au pays ;
• De quitter notre pays dans un bref délai et de ne pas écouter les mauvais conseils de son entourage, car il a montré ses limites et son incompétence dans la gestion de la res public ;
• Je lui suggèrerais même d’écourter son mandat et de rentrer dans son pays d’origine, le Rwanda ou dans un autre pays qu’il aura choisi, car le Congo l’avait comme l’Egypte avait accueilli l’Israelite « Joseph », mais lui, Joseph Kabila, au lieu de s’inspirer de la bonne gouvernance de l’Israelite « Joseph » en Egypte, il est venu détruire et piller le Congo et surtout, il est venu massacrer, tuer, assassiner le Peuple Congolais qui l'a si bien servi. Plus de 8.000.000 de mort, ça suffit.
• Par conséquent, les Congolais n’en veulent plus, il doit partir. S’il n’entête, qu’il soit rassuré, qu’on le poursuivra même en enfer.
Londres, le 11 mai 2014. 05:32 a.m.
________________________
MBELO LISALIKO WENDA
© KongoTimes
Ce titre évocateur n’est pas de moi, l’auteur est connu ; c’est Honore Ngbanda, ancien conseiller spécial du Marechal Mobutu.
Dans ce livre il raconte dans un chapitre, l’histoire de la chute de l'ancien chef de l'Etat zaïrois. Il raconte que Bill Richardson, ancien ambassadeur des Etats-Unis d'Amérique aux Nations Unies, envoyé spécial du président Bill Clinton a Kinshasa en 1997, qui est venu demander directement a Mobutu de quitter le pouvoir.
C’était le début de l’application de l’Opération « NO PAPER ZAIRE », opération préparée des 1992 par la CIA et le Pentagone pour balkaniser le Congo. (Ceux qui le souhaiteraient, je leur ferai parvenir par mail le document sur cette opération meurtrière pour le Congo)
Aujourd’hui, 17 ans après, l’histoire se répète : Les Etats-Unis envoient le Secrétaire d’Etat John Kerry pour demander à Kabila de quitter le pouvoir.
L’envoyé spécial du Président Obama, Russ Feingold a aussi repris ce même refrain, sans oublier Herman Cohen, qui l'avait pourtant soutenu en 2011 a ajouté une couche en disant que "Kabila is going nowhere", ça veut dire que Kabila n'irait nulle part.
Il s’ensuivra par la suite tous les suivistes belges notamment, le Ministre belge de la coopération ainsi que le Président de la Chambre, M. André Flahaut pour prier Kabile de respecter la constitution alors qu’ils se sont tus lorsque celui-ci la viole constamment, notamment pour ce qui concerne la sécurité des biens et des personnes et surtout au sujet des violations massives des droits de l’homme ainsi que sur des multiples tricheries électorales.
I. COMMENT EN AIT-T-ON ARRIVE LA ?
1. Un pays sous occupation rwandaise ;
2. Bavures et tricherie électorale (2006 et 2011) ;
3. Mauvaise gouvernance ;
4. violations massives des droits de l’homme ;
5. Echec des concertations nationales et de la mise en place du fameux « gouvernement de cohésion nationale » ;
6. Echec du dialogue gouvernement diaspora à Bruxelles ;
7. Les massacres des jeunes de Kinshasa le 30 décembre 2013, planifies au cours d’une réunion secrète au Grand Hôtel fin aout 2013. Le gouvernement prétendit qu’il s’agissait d’une tentative de coup d’Etat. (Nous nous réservons de publier les noms des participants à cette messe noire qui était présidée par Kabila lui-même) ;
8. Les expulsions et massacres des Congolais de la RDC, expulsions demandées par le gouvernement d’occupation de Kinshasa et dont on mesure aujourd’hui les conséquences. A l’époque du Marechal Mobutu, il ne serait même pas venu à l’idée au président Sassou d’envisager même d’expulser un moustique congolais de la RDC.
9. Une diplomatie en panne, ou le gouvernement, sans imperium, n’arrive pas et ne sait prendre les mesures conservatoires et diplomatiques d’usage contre le Congo-Brazzaville. Jamais du temps des Bomboko, Nguz, Kamanda wa Kamanda Bagbeni Adeito Nzengeya, Ramazani Baya, le Zaïre aurait réagi avec fermeté et réciprocité allant même à la suspension des relations avec diplomatiques avec le Rwanda, l’Ouganda, le Burundi, le Congo-Brazzaville et de même que avec l’Angola.
10. Un gouvernement incapable de mettre fin aux massacres perpétrés par des tueurs-tutsis-rwandais du CNDP et du M23. Je vais m’arrêter ici quelques instant pour révéler a l’opinion ce que Raymond Tshibanda, alors Ministre de la Coopération Régionale, qui avait caché aux Congolais concernant les observations du général Obasandjo après la signature de l’accord de paix entre la RDC et le CNDP. En effet, le Pasteur Isaac Shengezi de retour à Londres après la « déconfiture » du M23 dévoile les secrets de son aventure criminel au sein du CNDP d’abord : Il dit que Obasanjo avait posé 19 fois la question a Raymond Tshibanda, lorsqu’il a lu le contenu de cet accord : « are sure that could be like this ? ». Traduction « Etes-vous sûr que ça peut être ça ? » et Raymond Tshibanda de lui repondre : « Yes, this is it ». Traduction « Oui, c’est ça ». En fait, Obasanjo, ancien Président du Nigeria avait décelé des inepties et des énormités ou un gouvernement céder tout aux « rebelles » !!! Normalement, Raymond Tshibanda devait signer cet accord Nkundabatware, mais à la signature, on lui présentera un certain Désiré Kamanzi comme le nouveau président du CNDP. Et ça s’appelle la fourberie tutsie.
11. Apres la déconfiture du M23, Le Pasteur Isaac Shengezi dévoile que tous les membres de la délégation officielle du gouvernement congolais étaient corrompus : François Mwamba, Raymond Tshibanda et Ntumba Lwamba secrétaire exécutif du CIPGL auraient reçu chacun 1.500. 000 US$ chacun et ce sommes leur étaient versées via la Barclays Bank de Kampala. Et c’est Jean-Marie Runiga qui était charge de la transaction. Allez-y comprendre quelque chose ! Et le Pasteur Isaac d’ajouter, mis à part les gros poissons de la délégation congolaise, les Congolais, traitres ayant fait partie du M23, ont été paye en monnaie de singe, une des raisons pour lesquelles il a quitté le mouvement.
11. A Nairobi, après plusieurs virées inutiles à Kampala, alors que le texte était déjà prêt en Novembre 2013, Le chef de la délégation congolaise, Raymond Tshibanda devait normalement signer l’accord avec Jean-Marie Runiga Rugerero, on lui présentera un certain René Abandi comme chef de délégation du M23. Là encore, la perfidie tutsie a fonctionné. Maintenant ; que sont devenus les Nkundabatware, Désiré Kamanzi, René Abandi, Jean-Marie Runiga Rugero, tous des sujets rwandais que l’on a fait passer pour des Congolais et que les membres de la délégation congolaises les ont considérés comme tels ! Toute cette racaille s’est volatilisée dans la nature alors qu’ils aient déjà bénéficié d’une amnistie ? Comment l’expliquer ? C’est une amnistie factice que les députés et sénateurs congolais ont voté moyennant corruption, crachant ainsi sur la mémoire de plus de 8.000.000 de leurs compatriotes massacres par la racaille criminelle tutsie. C’est de la haute trahison de la part de ceux des parlementaires qui ont pris cette lourde responsabilité. Ils en répondront devant le Tribunal du Peuple qui sera institué à cet effet.
12. Echec de la mise en exécution sélective et mensongère de la loi d’amnistie inique et cynique ; encore une loi, on y perçoit la perfidie tutsie. Cette loi n’était pas faite pour les Bantous Congolais, mais pour dédouaner la racaille criminelle tutsie-rwandaise de crimes contre l’humanité, de crimes de guerre et de crimes de génocide.
II. ETANT UN PRODUIT DE L’INVASION RWANDAISE, VOICI LES CRIMES DONT KABILA ET SES COMPLICES DEVRONT REPONDRE DEVANT UN TRIBUNAL POPULAIRE
Joseph Kabila a réussi l’une des missions qui lui furent confiées par la communauté occidentale, l’ONU ainsi que les multinationales anglo-saxonnes ; à savoir, faire du Congo et des Congolais des proies faciles, sans défense ni sécurité, face au Rwanda; tout en pérennisant l’occupation de l’Est de la république démocratique du Congo.
Dans le même temps, Joseph Kabila a réalisé un autre objectif à la faveur de l’assujettissement de tout le Congo au profit de ses parrains rwandais, ougandais et autres.
Auteur de fraudes électorales massives et grossières durant le scrutin présidentiel du 28 novembre 2011, ayant en outre mis son rival, pourtant vainqueur de l’élection, sous le régime de résidence surveillée ; Joseph Kabila se présente désormais aux yeux du monde comme l’un des plus grands criminels de l’histoire de l’humanité.
Depuis janvier 2001, il s’est d’abord imposé au peuple congolais par imposture, avant d’assurer ensuite le maintien et l’aggravation de sa férule en s’emparant du pouvoir par le truchement d’une lamentable escroquerie et d’une mascarade électorale avérée.
Par conséquent, sa seule et véritable place ne devrait pas être à l’air libre et encore moins au sommet de l’Etat congolais ; mais dans une maison d’arrêt où il devrait finir ses jours sur cette planète, non sans avoir été au préalable traduit devant le Tribunal pénal international pour imposture, esclavagisme, dictature, crime de génocide, viols et violences sexuelles, corruption, trafic illicite d’armes, commerce dangereux d’uranium, blanchiment d’argent sale, violations massives et systématiques des libertés et des droits fondamentaux de l’homme, tortures, pillage délibéré et inconsidéré des richesses naturelles de la république démocratique du Congo.
Depuis janvier 2001, date de son accession, par duplicité, à coups d’intrigues, de machinations à la magistrature suprême, Joseph Kabila n’a pas cessé d’infliger aux Congolais les traitements et que les sévices réservés naguère aux esclaves.
C’est ainsi qu’au Congo, sous sa présidence, ont été remis à l’honneur la pratique des mutilations sexuelles, le supplice de la flagellation, mais aussi les traitements cruels, inhumains et dégradants ; sans oublier les massacres à large échelle, la création et l’entretien des conflits armés, les alliances avec les génocidaires, les crimes de guerre et les crimes contre l’humanité.
Joseph Kabila devra être inculpé pour haute trahison de par sa complicité et du fait qu’il est d’intelligence avec les ennemis du Peuple Congolais et de la République Démocratique du Congo.
Nous l’accusons également de crimes de guerre, crimes contre l’humanité et de crimes de génocide et de crimes économiques.
Il en sera de même pour les membres des gouvernements qui se sont succédés en République Démocratique du Congo : de Gizenga, Muzito et Matata Mpoyon de : Haute trahison pour avoir fait voter une loi d’amnistie en faveur des criminels tueurs-tutsi-rwandais, du CNDP, aujourd’hui M23 leur accordant ainsi l’impunité et le droit de tuer les bantous du CONGO.
D’avoir signé un accord avec le CNDP qui oblige le gouvernement congolais à verser des indemnités de l’ordre de 7 millions de dollars américains par mois, fruit du contribuable congolais aux membres et aux familles de CNDP, victimes des guerres à l’Est de la RDC, ignorant le sort des familles martyres congolaises.
CONCLUSION
En conclusion je conseille à Kabila ce qui suit :
• De ne pas s’agripper au pouvoir afin d’éviter un énième bain de sang au pays ;
• De quitter notre pays dans un bref délai et de ne pas écouter les mauvais conseils de son entourage, car il a montré ses limites et son incompétence dans la gestion de la res public ;
• Je lui suggèrerais même d’écourter son mandat et de rentrer dans son pays d’origine, le Rwanda ou dans un autre pays qu’il aura choisi, car le Congo l’avait comme l’Egypte avait accueilli l’Israelite « Joseph », mais lui, Joseph Kabila, au lieu de s’inspirer de la bonne gouvernance de l’Israelite « Joseph » en Egypte, il est venu détruire et piller le Congo et surtout, il est venu massacrer, tuer, assassiner le Peuple Congolais qui l'a si bien servi. Plus de 8.000.000 de mort, ça suffit.
• Par conséquent, les Congolais n’en veulent plus, il doit partir. S’il n’entête, qu’il soit rassuré, qu’on le poursuivra même en enfer.
Londres, le 11 mai 2014. 05:32 a.m.
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MBELO LISALIKO WENDA
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