L oeil du patriote July 22, 2014
Voici comment les institutions et tout le système de sécurité de la RDC sont sous contrôle du Rwanda et les officiels congolais infiltrés par des «hirondelles» rwandaises!
Le processus d’occupation de la RDC par le lobby tutsi rwandais passe par le contrôle des institutions du pays, de son système de sécurité autrement dit, son armée, sa police et ses services de sécurité et de renseignement civils et militaires.
L’imposteur rwandais Hyppolite Kanambe alias “Joseph Kabila”, étant la tête du cheval de Troie introduit à Kinshasa, poursuit sans relâche le travail d’infiltration et de noyautage de nos institutions à tous les niveaux.
Ce travail d’infiltration a pratiquement atteint son point culminant qui prélude du déclenchement imminent de l’opération proprement dite de balkanisation de la RDC.
L’œil du Patriote qui suit de très près ce processus présente ici le tableau qui illustre de la gravité de cette perte de souveraineté pour les Congolais. Notre objectif est d’éveiller la conscience de ceux des compatriotes qui dorment encore dans l’insouciance et l’indifférence.
En plus du sommet des institutions occupé déjà par l’imposteur lui-même, la tête du Sénat congolais est tenue par un autre tutsi rwandais, Léon Kengo wa Dondo, qui aurait décliné, selon les dernières nouvelles à vérifier, l’offre de prendre la tête du fameux «gouvernement de cohésion nationale» car, selon les prévisions de ses mentors occidentaux et des experts du lobby hégémonique tutsi, il est fort probable que Hyppolite Kanambe soit déboulonné par les forces «révolutionnaires» avant 2016, et probablement au courant de cette année 2014.
Il faudrait donc qu’un autre tutsi soit aux aguets pour s’accaparer du pouvoir au cas où. Or, la position actuelle du président du Sénat lui offre plus de chance de succéder à celui qui est aujourd’hui au sommet des institutions en cas de vacance.
Car, pour les hégémonistes tutsis, il n’est pas question de laisser aux Congolais l’opportunité de reprendre la direction de la RDC. Mais selon d’autres sources proches de lui, l’appât du pouvoir et de l’argent l’emporterait chez Kengo qui pencherait personnellement pour prendre immédiatement la tête du gouvernement.
Il serait actuellement en Europe pour négocier justement son choix avec ses mentors belges et européens, car un autre différent l’oppose à Kanambe qui tiendrait à lui imposer Azarias Ruberwa comme ministre de la défense.
La concurrence et la guerre de positionnement entre tutsis bat son plein!
Kanambe se méfie donc des ambitions de Kengo.
Même si un collabo congolais bien soumis a été placé symboliquement à la tête du Parlement congolais, l’effectivité du pouvoir est entre les mains d’Hyppolite Kanambe seul.
Et c’est lui qui fait et défait les présidents de cette chambre basse du Parlement congolais d’une part, et qui dicte des directives que les parlementaires de la majorité comme de l’opposition exécutent à coup de billets verts que distribue sa sœur jumelle, Janette Kanambe, qui est devenue le centre de gravité des activités de corruption au sein de cette institution.
Il en est de même de l’armée congolaise. La présence symbolique du général Etumba à la tête des FARDC est une simple parodie pour la consommation de l’opinion nationale et internationale.
Aujourd’hui, en plus de la Police nationale, c’est le général tutsi rwandais Bisengimana qui coiffe le chef EMG congolais et lui donne des directives de la hiérarchie.
Et pour mieux le phagocyter, Hyppolite Kanambe a affecté autour de Didier Etumba quatre colonels tutsis de l’entourage direct du président Kagame, et qui ont pour mission de veiller à l’exécution fidèle des ordres spéciaux venant d’en haut et de surveiller les faits et gestes du chef EMG jusqu’au contrôle de toutes ses communications.
Ces quatre “anges gardiens” auraient donc pour cela droit d’accès à toutes ses boîtes e-mail. Il apparait tout à fait logique que dans ces conditions-là, les services de renseignement militaires soient donc aussi automatiquement sous le puissant regard du généralissime Bisengimana.
Quant aux services de l’A.N.R., Hyppolite Kanambe ne fait plus confiance aux katangais qu’il prétendait considérer hier encore comme étant ses “frères” d’origine. Chassez le naturel, dit-on, il revient au galop.
Ainsi, depuis un certain temps, le «raïs» oblige l’AG Kalev à remettre toutes les copies de ses rapports à Bizima Karahamueto qui occupe aujourd’hui le troisième rang dans la hiérarchie des services spéciaux auprès de Paul Kagame. C’est tout dire !
Bizima Karaharamueto vit aujourd’hui entre Kigali, Johannesburg et Kinshasa en mission commandée sous l’égide du président rwandais.
Selon les indiscrétions, il était prévu que lors de la nomination de Bisengimana à la tête de la Police, Hyppolite Kanambe procède aussi à la nomination de Bizima Karahamueto à la tête de l’ANR.
C’est Azarias Ruberwa et Déo Rugwiza, le PDG de l’OFIDA, qui l’en ont dissuadé, estimant que la nomination des deux tutsis à la fois dans deux postes-clés de la sécurité allait réveiller l’attention des Congolais et provoquer une vive réaction d’hostilité.
L’exécution du projet a été alors remise après la sortie du «gouvernement de cohésion nationale» annoncé depuis octobre 2013 et dont la formation serait enfin imminente, dès lors que l’amnistie des rwandais du M23 est signée pour leur permettre d’infiltrer les institutions de la RDC.
Pour faciliter les mouvements d’immigration et d’intégration massive des rwandais, la Direction Générale des Migrations (DGM) est aussi dans le collimateur du lobby rwandais.
L’actuel Directeur de la DGM pour la ville de Kinshasa, Albert Semena, tutsi rwandais, est pressenti comme le numéro deux pour surveiller et chapeauter le DG congolais François Beya, comme l’est Etumba par Bisengimana. Le grade importe peu dans cette stratégie tutsie, seule l’autorité dont sont investis les pions tutsis rwandais compte!
Nous présentons ci-dessous un organigramme qui illustre cette horrible emprise du lobby tutsi rwandais sur les institutions de notre pays. A chacun des Congolais d’en tirer les leçons qui s’imposent:
Les officiels congolais noyautés par des «hirondelles» rwandaises
L’efficacité des services de renseignements rwandais est reconnue dans le monde de renseignement particulièrement à cause du réseau puissant des femmes tutsies redoutées pour leur capacité d’infiltration des objectifs les plus fermés et cela, en usant de leur charme pour la séduction des personnes ciblées.
Le Zaïre de Mobutu en avait fait les frais. Mais aujourd’hui, la classe politique congolaise ne semble toujours pas avoir tiré des leçons de cette triste épopée.
Bien au contraire, les collabos congolais semblent se livrer à cette pratique comme à un sport, pour s’attirer les faveurs du «raïs», oubliant qu’ils ouvrent par là les portes à l’ennemi pour contrôler de l’intérieur tout le système du pouvoir.
Par contre, conscient de l’efficacité de ses méthodes dans sa lutte pour l’extension de son territoire, le Rwanda vient de créer un institut spécial pour la formation des «hirondelles», ces agents féminins destinés à pénétrer les objectifs ennemis en recourant entre autres à leur charme féminin.
Les officiels congolais sont évidemment leurs premiers objectifs à contrôler ou à …éliminer. C’est selon!
La liste des officiels congolais infiltrés par des hirondelles rwandaises est longue. Très longue! Mais nous ne voulons pas faire du voyeurisme ni exposer la vie privée des gens pour le plaisir. Loin s’en faut!
Il s’agit ici de la sécurité publique de la RDC et de sa souveraineté. Nous ne pouvons donc pas ne pas dénoncer le mal et le danger qui guette toute une nation à cause de l’inconscience ou de l’incurie de ses dirigeants. Nous relevons donc ci-dessous quelques cas seulement pour illustrer le danger.
Car, selon notre enquête, plus de 70% de cadres politiques et militaires congolais sont concernés. Ainsi, nous nous limitons à signaler, à titre illustratif, quelques cas symptomatiques que voici :
1. Dr Agnès Bunagaho, ministre rwandaise de la santé, copine de Matata Ponyo,Premier ministre ;
2. Alice Uwinera, maitresse de Lambert Mende Omalanga, Porte-parole du gouvernement ;
3. Angéline Mugaza, maitresse de Muyej, ministre de l’intérieur ;
4. Marie-Rose Mugwarinyama, maitresse de Raymond Tshibanda, ministre des affaires étrangères ;
5. Carine Mutaga, maitresse de Didier Etumba, chef d’état-major général des FARDC
6. Aliane Rwagamirhe, 2e personnalité des services de renseignements
rwandais, maitresse du Général Amisi Tango Fort.
Enfin à tout ceci , il faut ajouter l’opération de noyautage de l’opposition congolaise qui se traduit entre autres par la frénésie actuelle d’un autre pion essentiel du processus d’occupation et de balkanisation de La RDC.
Celui là même qui clamait haut et fort hier encore son “amour” pour son frère rwandais Hyppolite Kanambe alias “Joseph Kabila”.
Vital Kamerhe, puisque c’est de lui dont il s’agit , (ses racines rwandaises ne sont plus à démontrer http://www.apareco-rdc.com/index.php/a-la-une/actualites/1629-rappel-les-origines-rwandaises-de-vital-kamerhe.html ,) est en phase de conquête de l’opposition afin de mieux noyauter celle-ci et pourquoi pas de viser plus loin ensuite.
Que les congolais ne se laissent pas duper par la comédie à laquelle Kanambe et lui se livrent . Chacun de ces deux comparses connait les limites fixés par leur mentor Paul Kagame.
La résistance congolaise représente la seule véritable menace contre l’occupation de la RDC . Et comme chacun peut le constater les résistants (à ne pas confondre avec les “opposants”) n’ont pas la possibilité de se mouvoir ou de s’exprimer librement dans le pays.
A chaque congolais de tirer désormais les conséquences de ce qui se trame contre notre patrie au vu et au su de tous. La peur ne sauvera pas le Congo , si les congolais n’y prennent garde ils n’auront bientôt plus que leurs yeux pour pleurer !
Paris, le 25 Février 2014
______________
Candide OKEKE
L’OEIL DU PATRIOTE
Voici comment les institutions et tout le système de sécurité de la RDC sont sous contrôle du Rwanda et les officiels congolais infiltrés par des «hirondelles» rwandaises!
Le processus d’occupation de la RDC par le lobby tutsi rwandais passe par le contrôle des institutions du pays, de son système de sécurité autrement dit, son armée, sa police et ses services de sécurité et de renseignement civils et militaires.
L’imposteur rwandais Hyppolite Kanambe alias “Joseph Kabila”, étant la tête du cheval de Troie introduit à Kinshasa, poursuit sans relâche le travail d’infiltration et de noyautage de nos institutions à tous les niveaux.
Ce travail d’infiltration a pratiquement atteint son point culminant qui prélude du déclenchement imminent de l’opération proprement dite de balkanisation de la RDC.
L’œil du Patriote qui suit de très près ce processus présente ici le tableau qui illustre de la gravité de cette perte de souveraineté pour les Congolais. Notre objectif est d’éveiller la conscience de ceux des compatriotes qui dorment encore dans l’insouciance et l’indifférence.
En plus du sommet des institutions occupé déjà par l’imposteur lui-même, la tête du Sénat congolais est tenue par un autre tutsi rwandais, Léon Kengo wa Dondo, qui aurait décliné, selon les dernières nouvelles à vérifier, l’offre de prendre la tête du fameux «gouvernement de cohésion nationale» car, selon les prévisions de ses mentors occidentaux et des experts du lobby hégémonique tutsi, il est fort probable que Hyppolite Kanambe soit déboulonné par les forces «révolutionnaires» avant 2016, et probablement au courant de cette année 2014.
Il faudrait donc qu’un autre tutsi soit aux aguets pour s’accaparer du pouvoir au cas où. Or, la position actuelle du président du Sénat lui offre plus de chance de succéder à celui qui est aujourd’hui au sommet des institutions en cas de vacance.
Car, pour les hégémonistes tutsis, il n’est pas question de laisser aux Congolais l’opportunité de reprendre la direction de la RDC. Mais selon d’autres sources proches de lui, l’appât du pouvoir et de l’argent l’emporterait chez Kengo qui pencherait personnellement pour prendre immédiatement la tête du gouvernement.
Il serait actuellement en Europe pour négocier justement son choix avec ses mentors belges et européens, car un autre différent l’oppose à Kanambe qui tiendrait à lui imposer Azarias Ruberwa comme ministre de la défense.
La concurrence et la guerre de positionnement entre tutsis bat son plein!
Kanambe se méfie donc des ambitions de Kengo.
Même si un collabo congolais bien soumis a été placé symboliquement à la tête du Parlement congolais, l’effectivité du pouvoir est entre les mains d’Hyppolite Kanambe seul.
Et c’est lui qui fait et défait les présidents de cette chambre basse du Parlement congolais d’une part, et qui dicte des directives que les parlementaires de la majorité comme de l’opposition exécutent à coup de billets verts que distribue sa sœur jumelle, Janette Kanambe, qui est devenue le centre de gravité des activités de corruption au sein de cette institution.
Il en est de même de l’armée congolaise. La présence symbolique du général Etumba à la tête des FARDC est une simple parodie pour la consommation de l’opinion nationale et internationale.
Aujourd’hui, en plus de la Police nationale, c’est le général tutsi rwandais Bisengimana qui coiffe le chef EMG congolais et lui donne des directives de la hiérarchie.
Et pour mieux le phagocyter, Hyppolite Kanambe a affecté autour de Didier Etumba quatre colonels tutsis de l’entourage direct du président Kagame, et qui ont pour mission de veiller à l’exécution fidèle des ordres spéciaux venant d’en haut et de surveiller les faits et gestes du chef EMG jusqu’au contrôle de toutes ses communications.
Ces quatre “anges gardiens” auraient donc pour cela droit d’accès à toutes ses boîtes e-mail. Il apparait tout à fait logique que dans ces conditions-là, les services de renseignement militaires soient donc aussi automatiquement sous le puissant regard du généralissime Bisengimana.
Quant aux services de l’A.N.R., Hyppolite Kanambe ne fait plus confiance aux katangais qu’il prétendait considérer hier encore comme étant ses “frères” d’origine. Chassez le naturel, dit-on, il revient au galop.
Ainsi, depuis un certain temps, le «raïs» oblige l’AG Kalev à remettre toutes les copies de ses rapports à Bizima Karahamueto qui occupe aujourd’hui le troisième rang dans la hiérarchie des services spéciaux auprès de Paul Kagame. C’est tout dire !
Bizima Karaharamueto vit aujourd’hui entre Kigali, Johannesburg et Kinshasa en mission commandée sous l’égide du président rwandais.
Selon les indiscrétions, il était prévu que lors de la nomination de Bisengimana à la tête de la Police, Hyppolite Kanambe procède aussi à la nomination de Bizima Karahamueto à la tête de l’ANR.
C’est Azarias Ruberwa et Déo Rugwiza, le PDG de l’OFIDA, qui l’en ont dissuadé, estimant que la nomination des deux tutsis à la fois dans deux postes-clés de la sécurité allait réveiller l’attention des Congolais et provoquer une vive réaction d’hostilité.
L’exécution du projet a été alors remise après la sortie du «gouvernement de cohésion nationale» annoncé depuis octobre 2013 et dont la formation serait enfin imminente, dès lors que l’amnistie des rwandais du M23 est signée pour leur permettre d’infiltrer les institutions de la RDC.
Pour faciliter les mouvements d’immigration et d’intégration massive des rwandais, la Direction Générale des Migrations (DGM) est aussi dans le collimateur du lobby rwandais.
L’actuel Directeur de la DGM pour la ville de Kinshasa, Albert Semena, tutsi rwandais, est pressenti comme le numéro deux pour surveiller et chapeauter le DG congolais François Beya, comme l’est Etumba par Bisengimana. Le grade importe peu dans cette stratégie tutsie, seule l’autorité dont sont investis les pions tutsis rwandais compte!
Nous présentons ci-dessous un organigramme qui illustre cette horrible emprise du lobby tutsi rwandais sur les institutions de notre pays. A chacun des Congolais d’en tirer les leçons qui s’imposent:
Les officiels congolais noyautés par des «hirondelles» rwandaises
L’efficacité des services de renseignements rwandais est reconnue dans le monde de renseignement particulièrement à cause du réseau puissant des femmes tutsies redoutées pour leur capacité d’infiltration des objectifs les plus fermés et cela, en usant de leur charme pour la séduction des personnes ciblées.
Le Zaïre de Mobutu en avait fait les frais. Mais aujourd’hui, la classe politique congolaise ne semble toujours pas avoir tiré des leçons de cette triste épopée.
Bien au contraire, les collabos congolais semblent se livrer à cette pratique comme à un sport, pour s’attirer les faveurs du «raïs», oubliant qu’ils ouvrent par là les portes à l’ennemi pour contrôler de l’intérieur tout le système du pouvoir.
Par contre, conscient de l’efficacité de ses méthodes dans sa lutte pour l’extension de son territoire, le Rwanda vient de créer un institut spécial pour la formation des «hirondelles», ces agents féminins destinés à pénétrer les objectifs ennemis en recourant entre autres à leur charme féminin.
Les officiels congolais sont évidemment leurs premiers objectifs à contrôler ou à …éliminer. C’est selon!
La liste des officiels congolais infiltrés par des hirondelles rwandaises est longue. Très longue! Mais nous ne voulons pas faire du voyeurisme ni exposer la vie privée des gens pour le plaisir. Loin s’en faut!
Il s’agit ici de la sécurité publique de la RDC et de sa souveraineté. Nous ne pouvons donc pas ne pas dénoncer le mal et le danger qui guette toute une nation à cause de l’inconscience ou de l’incurie de ses dirigeants. Nous relevons donc ci-dessous quelques cas seulement pour illustrer le danger.
Car, selon notre enquête, plus de 70% de cadres politiques et militaires congolais sont concernés. Ainsi, nous nous limitons à signaler, à titre illustratif, quelques cas symptomatiques que voici :
1. Dr Agnès Bunagaho, ministre rwandaise de la santé, copine de Matata Ponyo,Premier ministre ;
2. Alice Uwinera, maitresse de Lambert Mende Omalanga, Porte-parole du gouvernement ;
3. Angéline Mugaza, maitresse de Muyej, ministre de l’intérieur ;
4. Marie-Rose Mugwarinyama, maitresse de Raymond Tshibanda, ministre des affaires étrangères ;
5. Carine Mutaga, maitresse de Didier Etumba, chef d’état-major général des FARDC
6. Aliane Rwagamirhe, 2e personnalité des services de renseignements
rwandais, maitresse du Général Amisi Tango Fort.
Enfin à tout ceci , il faut ajouter l’opération de noyautage de l’opposition congolaise qui se traduit entre autres par la frénésie actuelle d’un autre pion essentiel du processus d’occupation et de balkanisation de La RDC.
Celui là même qui clamait haut et fort hier encore son “amour” pour son frère rwandais Hyppolite Kanambe alias “Joseph Kabila”.
Vital Kamerhe, puisque c’est de lui dont il s’agit , (ses racines rwandaises ne sont plus à démontrer http://www.apareco-rdc.com/index.php/a-la-une/actualites/1629-rappel-les-origines-rwandaises-de-vital-kamerhe.html ,) est en phase de conquête de l’opposition afin de mieux noyauter celle-ci et pourquoi pas de viser plus loin ensuite.
Que les congolais ne se laissent pas duper par la comédie à laquelle Kanambe et lui se livrent . Chacun de ces deux comparses connait les limites fixés par leur mentor Paul Kagame.
La résistance congolaise représente la seule véritable menace contre l’occupation de la RDC . Et comme chacun peut le constater les résistants (à ne pas confondre avec les “opposants”) n’ont pas la possibilité de se mouvoir ou de s’exprimer librement dans le pays.
A chaque congolais de tirer désormais les conséquences de ce qui se trame contre notre patrie au vu et au su de tous. La peur ne sauvera pas le Congo , si les congolais n’y prennent garde ils n’auront bientôt plus que leurs yeux pour pleurer !
Paris, le 25 Février 2014
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Candide OKEKE
L’OEIL DU PATRIOTE
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