samedi 12 juillet 2014

RICHARD MINITER EST L’HOMME QUI VIENT DE DÉNUDER "KABILA"


 
RICHARD MINITER EST L’HOMME QUI VIENT DE DÉNUDER KABILA AVANT DE METTRE L’ADMINISTRATION AMÉRICAINE, L’UNION EUROPÉENNE ET LA COMMUNAUTÉ INTERNATIONALE DANS SON ENSEMBLE AUX PIEDS DU MUR CONTRE LE PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE DÉMOCRATIQUE DU CONGO.

A quelques semaines de la tenue du sommet Afrique-Amérique convoquée, début Août 2.014, par l’administrateur Américain en chef, la nouvelle est tombée comme marrée en carême dans des milieux lucides des hommes et femmes de bonne volonté, dans la DIASPORA RDCONGOLAISE enfin entendue et comprise, dans l’opposition interne et comme une CATASTROPHE auprès de la majorité Présidentielle à Kinshasa et ses serfs aussi bien au pays qu’à l’étranger. 



 

Le monde entier découvre enfin, grâce au journaliste d’investigation de la Presse Américaine, Richard MINITER, que le président de la république démocratique du Congo, ex-Zaïre, Monsieur Joseph Kabila détient plus de 17 milliards de dollars US pillés, depuis 13 ans en RDC que l’homme cache dans des paradis fiscaux au Royaume-Unis, à Cuba, en Tanzanie, aux iles Caïman et en Afrique du Sud.


 

On y apprend aussi que l’homme (Joseph Kabila) s’implique activement dans le trafic d’Ivoires, des espèces d’oiseaux rares et protégés comme de Pigeons Ramiers, dans le trafic d’Uranium(ce qui met l’occident dans tous ses états).

Pire, le président Congolais comme si tout ceci ne suffit pas, se rabaisse au point d’organiser, par le biais d’un certain Marc TSHOLO, la vente des jerricans d’essences à la frontière EST du Congo à destination de pays voisins.

Pris ainsi la main dans le sac, et, acculé parce que certain de ne pas disposer de marge de manœuvres pour se maintenir au pouvoir, le président Congolais interdit désormais la sortie du territoire à certains visages de prou de son parti politique le PPRD.

La première victime de cette mesure s’appelle Evariste Boshab qui, par ailleurs, s’est fait violemment frappé par le frère du président à Kingakati où il se serait rendu déposer sa démission.

Le secrétaire Général du Parti présidentiel qui s’en sort avec plusieurs points de sutures s’est vu interdire la sortie du territoire lorsqu’il voulut quitter le Pays via l’aéroport international de N’Djili. Les Kabilistes, soit dit en passant, commencent à se soustraire du pouvoir à l'instar de rats qui quittent le navire au moment du nettoyage de celui-ci après un long voyage, ce qui n'est pas du goût du capitaine, Kabila.



 

Comme si le malheur n’arrive jamais seul, l’on apprend via un site d’information de la résistance Congolaise qu’un certain MINAKU Aubin, président de la chambre basse du parlement de la RDC rase les murs au Canada où il s’est rendu à la tête d’une délégation de parlementaires assister aux travaux annexes de la Francophonie et que l’ancien numéro deux de la CENI, un certain NDJOLI, transfuge d’un Parti politique( MLC) qui se trouverait dans la capitale Française n’a eu la vie sauve que grâce à la police du pays hôte dans un tribunal pendant que l’épouse du président, Olive LEMBE, qui lutte contre un poison à effets à retardement lui administré en Octobre 2.012, aurait été aperçue, à Kisangani, toute de blanc vêtue, très fortement fondue.

Comme quoi, l’orage qui secoue le clan Présidentiel ne fait que commencer et laissera des traces.

Quoi qu’il en soit, le délit d’association de malfaiteurs est répréhensible partout dans le monde quand bien-même, en Droit Pénal, la responsabilité est et a toujours été individuelle.

C’est en effet, à cet ordre d’idées que le président de la RDC qui est sommé de quitter le pouvoir est déterminé à ne pas partir seul.

Quand on sait que la fin de chaque régime en République Démocratique du Congo a toujours été sanctionnée par une débandade totale, le pouvoir de Joseph Kabila n’échappera pas à la règle en l’état actuel des choses surtout lorsqu’on note que celui-là a fait beaucoup de mal au pays et que les révélations du très sérieux journaliste Richard MINITER du site FORBES déchire désormais la famille biologique du président Congo qui ne sait plus, à quel Saint, se vouer.

C’est encore et également dans cet ordre d’idées et contexte que, prise de panique, Jaynet Kabila, sœur Jumelle du président ici sur la photo, rattrapée par l’instinct féminin commence le deuil du pouvoir de son frère et tente, tant bien que mal, de sortir le filet de l’eau en conseillant avec insistance, à celui qui est son président de frère, d’abdiquer pour sauver ce qui lui reste.

En annonçant publiquement que son frère de président ne se représentera pas, Jaynet Kabila prend à contre-pied tous ceux et toutes celles qui se posaient encore cette question et autres, membres politique de l’entourage de son frère qui feignaient occulter l’évidence selon laquelle, cette femme dispose d’une forte influence sur son président de frère.

Tous comptes faits, la honte qui éclabousse aujourd’hui le sommet de l’Etat Congolais à la face du monde doit concerner aussi et également le peuple de la République Démocratique du Congo qui a accepté de se faire diriger, au sommet de l’Etat pendant 13 ans et plusieurs mois à date par un vendeur des Jerricanes d’essences et dont le manque de verticalité dans la gestion de la politique nationale vient d’atteindre l’apogée avec les révélations de la presse Américaine.

Aussi grave, nous venons d’apprendre que la saisie des comptes en banque de joseph Kabila et consorts aux usa et dans les paradis fiscaux n’est qu’une question de jours et que la Cour Pénale Internationale (CPI) va bientôt commencer à enquêter sur la responsabilité des Forces Armés de la République Démocratique du Congo et sa hiérarchie dans des crimes et viols à l’Est du Pays et qu’une liste des biens mal acquis est en voie d’être établie sur la famille Kabila et ses amis tant nationaux qu’ internationaux.

Comment voudriez-vous que ça se passe autrement quand un Etat n’est même pas capable de construire les Toilettes dans des Universités, les camps militaires, les casernes de polices laissant cette tâche, primaire à la MONUSCO ?

Que pouvait-on espérer d’un régime dont un haut officier de l’armée (Matidi), commandant en charge de la paie des militaires au 902e régiment de l'armée à Bunyakiri, se fait assassiner par un soldat qui l'accusait de retenir la paie des soldats du bataillon. 



 

N’est-ce pas là, une affaire qui met en lumière, si besoin est, la question de l’irresponsabilité du pouvoir politique en RDC relative au paiement des soldes et la légitimation de l’anarchie érigée à la dignité d’art depuis treize longues années ?

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Prof Willy Delors ONGENDA
Juriste et communicologue.
France
00.33.6.35.62.63.81

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