22 octobre 2014
L’identité du président da la RDC, Joseph Kabila fait toujours l’objet du débat dans les cercles des politiciens congolais.
Certains disent qu’il est congolais mais selon le livre écrit par Honoré Ngbanda, ancien conseiller spécial de Mobutu et Patrick Mbeko, écrivain et analiste des questions géostratégiques, Joseph Kabila est 100 % Tutsi Rwandais.
Lisez l’extrait de ce livre inttitulé « STRATÉGIE DU CHAOS ET DU MENSONGE, POKER MENTEUR EN AFRIQUE DES GRANDS LACS«
Honoré Ngbanda et Patrick Mbeko
(…) Selon les données contenues dans les fiches de renseignement des services zaïrois à l’époque de la IIème République, et que nous avons fait confirmer récemment, dans le cadre de ce livre, par des sources rwandaises au sein des services de renseignements et proches de Paul Kagame dont certains sont actuellement en exil, Adrien Kanambe était au départ membre du mouvement rebelle rwandais UNAR (Union Nationale Rwandaise) qui combattait le régime du président Juvénal Habyarimana.
L’UNAR était d’abord alliée au CNL de Gaston Soumialot vers les années 1964. Adrien Kanambe a rejoint le maquis de L-D. Kabila dans les années 1965 lors du passage de Che Guevara cette année-là à l’Est du pays.
Suite à son expérience, il deviendra le chef d’état-major de l’Armée populaire de Libération de L-D. Kabila vers les années 1967-1968. Adrien Kanambe ira alors clandestinement au Rwanda pour épouser sa femme, Marcelline Mukambuguje Katerebe et il la ramènera avec lui dans le maquis congolais.
De leur union naîtra Hyppolite Kanambe alias « Joseph Kabila ». En novembre 1984, c’est donc Adrien Kanambe, chef d’état-major de l’Armée populaire de Libération qui dirigea l’offensive militaire ayant abouti à la première occupation de la ville de Moba pendant trois jours.
Lors de sa deuxième tentative d’occuper de nouveau Moba au mois de mai 1985, le commandant en chef Adrien Kanambe subit cette fois-ci une grande perte et fut défait en quelques heures seulement par les troupes du général Mahele grâce à l’appui aérien des Mirages français et des Macchi italiens.
Joseph Kabila est rwandais
En effet, les services de l’AND, dirigés à cette époque-là par Honoré Ngbanda depuis février 1985, avaient reçu des informations précises et détaillées sur les préparatifs de cette attaque, grâce aux taupes recrutées au sein de l’état-major de l’armée de Kabila.
Le président Mobutu, prévenu par les services, avait donc instruit son armée qui avait pris toutes les dispositions terrestres, aériennes et lacustres pour «accueillir» les assaillants. L-D. Kabila digéra mal cette humiliation, d’autant plus qu’il échappa lui-même de justesse à la mort.
C’est ainsi que lors du Congrès du PRP convoqué dans la forêt de Nyunzu après cette défaite, L-D. Kabila fit condamner à mort le commandant Adrien Kanambe par la Cour d’ordre militaire pour haute trahison, et le fit exécuter illico.
Après la mort de son chef d’état-major, L-D. Kabila cohabita, comme dans ses habitudes, avec la veuve de sa victime, Marcelline Mukambukuje, la mère d’Hyppolite Kanambe.
Les combattants tutsis rwandais qui se battaient au sein du PRP de L-D. Kabila par obédience à leur commandant et «frère rwandais», Adrien Kanambe, garderont longtemps ce douloureux souvenir.
Il en sera de même d’Hyppolite Kanambe, fils biologique du défunt, qui avait environs 14 ans et avait été pleinement informé des conditions d’assassinat de son père. Ensemble ils auraient mijoté durant des années, nous dit un témoin rwandais, la vengeance de ce crime suivi d’outrage et d’humiliation pour eux. Et ils y parviendront un certain 16 janvier 2001 !
Petite parenthèse: après l’échec de l’attaque de Moba, dépouillé des meilleurs combattants tutsis rwandais qui ne voulaient surtout plus se battre pour le PRP après l’assassinat de leur chef Adrien Kanambe, L-D Kabila, privé de ses meilleurs combattants, se rendit en Ouganda où Museveni lui offrit de s’installer dans une ferme agricole dans la banlieue de Kampala.
Dès le début de cet exode en 1988, l’Administrateur Général de l’AND, Honoré Ngbanda, s’était rendu à Kampala auprès de Museveni pour lui exprimer les préoccupations du président Mobutu au sujet de la présence du maquisard Kabila en Ouganda après avoir quitté son maquis de Tanzanie où tous les mouvements des maquisards et leurs familles étaient suivis à la loupe le long de la frontière lacustre grâce au consulat général du Zaïre à Kigoma (en Tanzanie), dont tous les consuls généraux qui s’y sont succédé entre 1970 et 1990, entre autres MM. Ilangwa e Yoka et Isekusu Isosambi, ainsi que tous les diplomates étaient tous, sans exception, des officiers des services zaïrois de renseignement extérieur.
Les services zaïrois, qui suivaient à la loupe tous les mouvements de Kabila, disposaient ainsi de toutes les preuves de son séjour sur le territoire ougandais.
Le président Museveni ne pouvait donc pas nier les preuves qui lui étaient présentées par le patron des services zaïrois. Il reconnut d’emblée que L-D Kabila résidait bel et bien en Ouganda.
Mais il se hâta de préciser que « l’homme ne représentait plus aucun danger pour la sécurité du Zaïre, parce que tous ses soldats et officiers rwandais du PRP l’avaient abandonné pour rejoindre leurs frères au sein de l’APR» qui s’apprêtait à faire mouvement vers le Rwanda, et que par conséquent, «L-D Kabila qui était réduit aux activités commerciales de trafic d’or et de café était sous surveillance des services ougandais».
Pour une fois, Museveni avait dit la vérité, car en ce moment-là, l’invasion du Zaïre n’était pas encore formellement programmée. Toutes les énergies étaient encore concentrées sur les préparatifs de l’assaut du Rwanda pour chasser du pouvoir le président hutu Juvénal Habyarimana.
Il est important de signaler que durant toute la période active du maquis, L-D. Kabila et Adrien Kanambe, comme tous les autres officiers de l’armée de PRP, avaient placé toutes leurs familles en sécurité en Tanzanie, sous la protection des services spéciaux du président tanzanien Julius Nyerere.
La fiche du maquisard Kabila tenue à jour par les services zaïrois n’a jamais identifié la femme officielle de L-D. Kabila dans le maquis, pour la simple raison qu’il n’en avait jamais eue !
Selon les archives de l’AND emportées presque toutes à Kigali en mai 1997, dès l’entrée des troupes rwandaises à Kinshasa, L-D. Kabila avait accumulé jusqu’à environ treize maîtresses connues et identifiées.
Parmi elles, un grand nombre était constitué des veuves de ses propres compagnons d’armes tués soit au combat, soit par lui-même. Dans le langage de communication des services, ces maîtresses de Kabila étaient désignées sous le code de «disciples du Patriarche».
Même dans ses notes privées, Che Guevara n’a pas manqué de stigmatiser cet aspect frivole de la vie sentimentale de L-D. Kabila qui l’avait très négativement frappé. Sifa Mahanya, la mère officielle de « Joseph » n’est pas sa vraie mère biologique.
Un autre témoignage flagrant vient de Leonard Mulopo, qui a travaillé un temps aux côtés de Laurent-Désiré Kabila avant de se retrouver dans l’opposition, et qui a bien voulu nous accordé un long entretien à l’occasion de ce livre.
Il nous a rappelé un incident, qui a eu lieu à Kinshasa en 2003, et qui a échappé à l’attention des Congolais malgré l’alerte de certains médias de Kinshasa.
En effet, les deux mères de «Joseph Kabila», Sifa Mahanya et Marcelline Mukumbuguje, auraient failli créer un sérieux scandale à Kinshasa suite à un affrontement entre elles.
Maman Sifa Mahanya n’est pas la mère biologique de Joseph Kabila
C’est l’ambassadeur américain à Kinshasa, William Lacy Swing, qui aurait étouffé le scandale en dépêchant rapidement son diplomate pour soustraire madame Marcelline Mukumbukudje qui sera par la suite envoyée aux États-Unis.
Le journal kinois L’interprète numéro 412 du 9 août 2003, sous le titre «La CIA sur les traces des deux mamans de Joseph Kabila», avait rapporté cet incident dans ses colonnes tout en pointant du doigt le rôle sournois de l’ambassadeur William Swing en RD Congo.
Il n’est un secret pour personne que ce diplomate américain, au moment des faits, évoluait dans les circuits des services secrets américains dont il fut membre actif. Ce quotidien kinois, dont le tirage sur le scandale aurait été racheté en grande partie par une ambassade occidentale à Kinshasa, fut relayé à l’époque par le bimensuel Mambenga qui abonda dans le même sens.
Malheureusement, les voix de ces deux petits journaux locaux ne portèrent pas loin. Même pas au sein de l’opinion nationale congolaise. Seuls les médias dominants occidentaux gardent le monopole de l’impact sur l’opinion des Africains. C’est la loi de la «jungle moderne» qu’est le monde d’aujourd’hui (…..)
Lisez la suite: Présentation du livre et des auteurs doc diffuser-PN
Ce livre sort bientôt pour éclairer encore une fois le public sur les secrets cachés autour de ce pouvoir tutsi fondé sur le génocide et les crimes contre l’humanité et installé en Afrique des grands lacs par les puissances occidentales, . A suivre….
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IKAZE IWACU
*Auteurs du livre: Honoré Ngbanda et Patrick Mbeko.
L’identité du président da la RDC, Joseph Kabila fait toujours l’objet du débat dans les cercles des politiciens congolais.
Certains disent qu’il est congolais mais selon le livre écrit par Honoré Ngbanda, ancien conseiller spécial de Mobutu et Patrick Mbeko, écrivain et analiste des questions géostratégiques, Joseph Kabila est 100 % Tutsi Rwandais.
Lisez l’extrait de ce livre inttitulé « STRATÉGIE DU CHAOS ET DU MENSONGE, POKER MENTEUR EN AFRIQUE DES GRANDS LACS«
Honoré Ngbanda et Patrick Mbeko
(…) Selon les données contenues dans les fiches de renseignement des services zaïrois à l’époque de la IIème République, et que nous avons fait confirmer récemment, dans le cadre de ce livre, par des sources rwandaises au sein des services de renseignements et proches de Paul Kagame dont certains sont actuellement en exil, Adrien Kanambe était au départ membre du mouvement rebelle rwandais UNAR (Union Nationale Rwandaise) qui combattait le régime du président Juvénal Habyarimana.
L’UNAR était d’abord alliée au CNL de Gaston Soumialot vers les années 1964. Adrien Kanambe a rejoint le maquis de L-D. Kabila dans les années 1965 lors du passage de Che Guevara cette année-là à l’Est du pays.
Suite à son expérience, il deviendra le chef d’état-major de l’Armée populaire de Libération de L-D. Kabila vers les années 1967-1968. Adrien Kanambe ira alors clandestinement au Rwanda pour épouser sa femme, Marcelline Mukambuguje Katerebe et il la ramènera avec lui dans le maquis congolais.
De leur union naîtra Hyppolite Kanambe alias « Joseph Kabila ». En novembre 1984, c’est donc Adrien Kanambe, chef d’état-major de l’Armée populaire de Libération qui dirigea l’offensive militaire ayant abouti à la première occupation de la ville de Moba pendant trois jours.
Lors de sa deuxième tentative d’occuper de nouveau Moba au mois de mai 1985, le commandant en chef Adrien Kanambe subit cette fois-ci une grande perte et fut défait en quelques heures seulement par les troupes du général Mahele grâce à l’appui aérien des Mirages français et des Macchi italiens.
Joseph Kabila est rwandais
En effet, les services de l’AND, dirigés à cette époque-là par Honoré Ngbanda depuis février 1985, avaient reçu des informations précises et détaillées sur les préparatifs de cette attaque, grâce aux taupes recrutées au sein de l’état-major de l’armée de Kabila.
Le président Mobutu, prévenu par les services, avait donc instruit son armée qui avait pris toutes les dispositions terrestres, aériennes et lacustres pour «accueillir» les assaillants. L-D. Kabila digéra mal cette humiliation, d’autant plus qu’il échappa lui-même de justesse à la mort.
C’est ainsi que lors du Congrès du PRP convoqué dans la forêt de Nyunzu après cette défaite, L-D. Kabila fit condamner à mort le commandant Adrien Kanambe par la Cour d’ordre militaire pour haute trahison, et le fit exécuter illico.
Après la mort de son chef d’état-major, L-D. Kabila cohabita, comme dans ses habitudes, avec la veuve de sa victime, Marcelline Mukambukuje, la mère d’Hyppolite Kanambe.
Les combattants tutsis rwandais qui se battaient au sein du PRP de L-D. Kabila par obédience à leur commandant et «frère rwandais», Adrien Kanambe, garderont longtemps ce douloureux souvenir.
Il en sera de même d’Hyppolite Kanambe, fils biologique du défunt, qui avait environs 14 ans et avait été pleinement informé des conditions d’assassinat de son père. Ensemble ils auraient mijoté durant des années, nous dit un témoin rwandais, la vengeance de ce crime suivi d’outrage et d’humiliation pour eux. Et ils y parviendront un certain 16 janvier 2001 !
Petite parenthèse: après l’échec de l’attaque de Moba, dépouillé des meilleurs combattants tutsis rwandais qui ne voulaient surtout plus se battre pour le PRP après l’assassinat de leur chef Adrien Kanambe, L-D Kabila, privé de ses meilleurs combattants, se rendit en Ouganda où Museveni lui offrit de s’installer dans une ferme agricole dans la banlieue de Kampala.
Dès le début de cet exode en 1988, l’Administrateur Général de l’AND, Honoré Ngbanda, s’était rendu à Kampala auprès de Museveni pour lui exprimer les préoccupations du président Mobutu au sujet de la présence du maquisard Kabila en Ouganda après avoir quitté son maquis de Tanzanie où tous les mouvements des maquisards et leurs familles étaient suivis à la loupe le long de la frontière lacustre grâce au consulat général du Zaïre à Kigoma (en Tanzanie), dont tous les consuls généraux qui s’y sont succédé entre 1970 et 1990, entre autres MM. Ilangwa e Yoka et Isekusu Isosambi, ainsi que tous les diplomates étaient tous, sans exception, des officiers des services zaïrois de renseignement extérieur.
Les services zaïrois, qui suivaient à la loupe tous les mouvements de Kabila, disposaient ainsi de toutes les preuves de son séjour sur le territoire ougandais.
Le président Museveni ne pouvait donc pas nier les preuves qui lui étaient présentées par le patron des services zaïrois. Il reconnut d’emblée que L-D Kabila résidait bel et bien en Ouganda.
Mais il se hâta de préciser que « l’homme ne représentait plus aucun danger pour la sécurité du Zaïre, parce que tous ses soldats et officiers rwandais du PRP l’avaient abandonné pour rejoindre leurs frères au sein de l’APR» qui s’apprêtait à faire mouvement vers le Rwanda, et que par conséquent, «L-D Kabila qui était réduit aux activités commerciales de trafic d’or et de café était sous surveillance des services ougandais».
Pour une fois, Museveni avait dit la vérité, car en ce moment-là, l’invasion du Zaïre n’était pas encore formellement programmée. Toutes les énergies étaient encore concentrées sur les préparatifs de l’assaut du Rwanda pour chasser du pouvoir le président hutu Juvénal Habyarimana.
Il est important de signaler que durant toute la période active du maquis, L-D. Kabila et Adrien Kanambe, comme tous les autres officiers de l’armée de PRP, avaient placé toutes leurs familles en sécurité en Tanzanie, sous la protection des services spéciaux du président tanzanien Julius Nyerere.
La fiche du maquisard Kabila tenue à jour par les services zaïrois n’a jamais identifié la femme officielle de L-D. Kabila dans le maquis, pour la simple raison qu’il n’en avait jamais eue !
Selon les archives de l’AND emportées presque toutes à Kigali en mai 1997, dès l’entrée des troupes rwandaises à Kinshasa, L-D. Kabila avait accumulé jusqu’à environ treize maîtresses connues et identifiées.
Parmi elles, un grand nombre était constitué des veuves de ses propres compagnons d’armes tués soit au combat, soit par lui-même. Dans le langage de communication des services, ces maîtresses de Kabila étaient désignées sous le code de «disciples du Patriarche».
Même dans ses notes privées, Che Guevara n’a pas manqué de stigmatiser cet aspect frivole de la vie sentimentale de L-D. Kabila qui l’avait très négativement frappé. Sifa Mahanya, la mère officielle de « Joseph » n’est pas sa vraie mère biologique.
Un autre témoignage flagrant vient de Leonard Mulopo, qui a travaillé un temps aux côtés de Laurent-Désiré Kabila avant de se retrouver dans l’opposition, et qui a bien voulu nous accordé un long entretien à l’occasion de ce livre.
Il nous a rappelé un incident, qui a eu lieu à Kinshasa en 2003, et qui a échappé à l’attention des Congolais malgré l’alerte de certains médias de Kinshasa.
En effet, les deux mères de «Joseph Kabila», Sifa Mahanya et Marcelline Mukumbuguje, auraient failli créer un sérieux scandale à Kinshasa suite à un affrontement entre elles.
Maman Sifa Mahanya n’est pas la mère biologique de Joseph Kabila
C’est l’ambassadeur américain à Kinshasa, William Lacy Swing, qui aurait étouffé le scandale en dépêchant rapidement son diplomate pour soustraire madame Marcelline Mukumbukudje qui sera par la suite envoyée aux États-Unis.
Le journal kinois L’interprète numéro 412 du 9 août 2003, sous le titre «La CIA sur les traces des deux mamans de Joseph Kabila», avait rapporté cet incident dans ses colonnes tout en pointant du doigt le rôle sournois de l’ambassadeur William Swing en RD Congo.
Il n’est un secret pour personne que ce diplomate américain, au moment des faits, évoluait dans les circuits des services secrets américains dont il fut membre actif. Ce quotidien kinois, dont le tirage sur le scandale aurait été racheté en grande partie par une ambassade occidentale à Kinshasa, fut relayé à l’époque par le bimensuel Mambenga qui abonda dans le même sens.
Malheureusement, les voix de ces deux petits journaux locaux ne portèrent pas loin. Même pas au sein de l’opinion nationale congolaise. Seuls les médias dominants occidentaux gardent le monopole de l’impact sur l’opinion des Africains. C’est la loi de la «jungle moderne» qu’est le monde d’aujourd’hui (…..)
Lisez la suite: Présentation du livre et des auteurs doc diffuser-PN
Ce livre sort bientôt pour éclairer encore une fois le public sur les secrets cachés autour de ce pouvoir tutsi fondé sur le génocide et les crimes contre l’humanité et installé en Afrique des grands lacs par les puissances occidentales, . A suivre….
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IKAZE IWACU
*Auteurs du livre: Honoré Ngbanda et Patrick Mbeko.
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