le 08-09-2015
Site internet des Francofolies de Kinshasa, RDC.DR
En RDC, voilà un an qu'on l'attendait l'ouverture du premier festival des Francofolies en Afrique. Les Francofolies, c'est ce festival créé il y a 30 ans en France à La Rochelle. Depuis, il s'est exporté au Canada et en Belgique.
Cette année, c'est au tour de la République démocratique du Congo.
« On avait été faire des repérages à Dakar, à Marrakech, à Tanger. Et quand on est arrivés ici, on a commencé à découvrir l’univers du jour, et puis l’univers de la nuit. Puis on a été voir des concerts, des spectacles et nous nous sommes vraiment dit une chose : Kinshasa, c’est la capitale de la musique en Afrique », Jean Steffens, le directeur du festival est sûr du choix de Kinshasa pour ces Francofolies africaines.
Roulement de tambours donc pour l'ouverture du festival. Et que la capitale congolaise accueille ce festival est effectivement un juste retour des choses, pour ce serveur dans un bar du centre-ville : « Quand vous regardez le hit, vous voyez les Nigérians, les Ivoiriens, mais la musique vraiment en Afrique, la source c’est ici. Tabu Ley, Papa Wemba, il y a tout un clan de la musique ici ».
Une scène que ce festival compte mettre à l'honneur. Pendant six jours, ce sont essentiellement des artistes congolais qui sont programmés. Une affiche bien moins internationale que celle initialement prévue il y a un an.
Privilégier les cultures locales
Pour le directeur du festival, Jean Steffens, c'est un choix : « Le budget évidemment il est difficile. Mais en même temps, est-ce qu’en France dans la programmation ou à Spa en Belgique, il y a une majorité d’internationaux anglophones ou anglo-saxons ? Non. Je pense que dans un début d’aventure comme celui-ci, il est évident qu’il faut privilégier d’abord les cultures locales ».
Reste qu'avec cinq artistes internationaux seulement à l'affiche certains regrettent le peu d'ouverture des Francofolies sur le monde. C’est le cas de Jean Goubald, guitariste et chanteur : « La musique d’ici, je la connais. Moi, j’aime bien avoir des artistes qui viennent d’ailleurs aussi, entendre d’autres inspirations, d’autres airs, d’autres mélodies, etc ».
C'est donc au son du guitariste kinois, Djonimbo Achilako, que s'est ouvert la première soirée des Francofolies qui va durer jusqu’au samedi 12 septembre.
Site internet des Francofolies de Kinshasa, RDC.DR
En RDC, voilà un an qu'on l'attendait l'ouverture du premier festival des Francofolies en Afrique. Les Francofolies, c'est ce festival créé il y a 30 ans en France à La Rochelle. Depuis, il s'est exporté au Canada et en Belgique.
Cette année, c'est au tour de la République démocratique du Congo.
« On avait été faire des repérages à Dakar, à Marrakech, à Tanger. Et quand on est arrivés ici, on a commencé à découvrir l’univers du jour, et puis l’univers de la nuit. Puis on a été voir des concerts, des spectacles et nous nous sommes vraiment dit une chose : Kinshasa, c’est la capitale de la musique en Afrique », Jean Steffens, le directeur du festival est sûr du choix de Kinshasa pour ces Francofolies africaines.
Roulement de tambours donc pour l'ouverture du festival. Et que la capitale congolaise accueille ce festival est effectivement un juste retour des choses, pour ce serveur dans un bar du centre-ville : « Quand vous regardez le hit, vous voyez les Nigérians, les Ivoiriens, mais la musique vraiment en Afrique, la source c’est ici. Tabu Ley, Papa Wemba, il y a tout un clan de la musique ici ».
Une scène que ce festival compte mettre à l'honneur. Pendant six jours, ce sont essentiellement des artistes congolais qui sont programmés. Une affiche bien moins internationale que celle initialement prévue il y a un an.
Privilégier les cultures locales
Pour le directeur du festival, Jean Steffens, c'est un choix : « Le budget évidemment il est difficile. Mais en même temps, est-ce qu’en France dans la programmation ou à Spa en Belgique, il y a une majorité d’internationaux anglophones ou anglo-saxons ? Non. Je pense que dans un début d’aventure comme celui-ci, il est évident qu’il faut privilégier d’abord les cultures locales ».
Reste qu'avec cinq artistes internationaux seulement à l'affiche certains regrettent le peu d'ouverture des Francofolies sur le monde. C’est le cas de Jean Goubald, guitariste et chanteur : « La musique d’ici, je la connais. Moi, j’aime bien avoir des artistes qui viennent d’ailleurs aussi, entendre d’autres inspirations, d’autres airs, d’autres mélodies, etc ».
C'est donc au son du guitariste kinois, Djonimbo Achilako, que s'est ouvert la première soirée des Francofolies qui va durer jusqu’au samedi 12 septembre.
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