L'intelligent d'abid-Jeudi 18 novembre 2010,
Sous le parrainage de l’avocat- Maire, Kossougro Sery Emile Christophe, Gnamien Yao, président du Mouvement pour la réhabilitation du débat et du dialogue au sein du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (MRDDPDCI) a animé une conférence publique le mercredi 17 novembre 2010 à la salle Félix Houphouët Boigny de l’hôtel du district au Plateau. «VOTER GBAGBO pour sauver la Côte d’Ivoire », est le thème autour duquel l’ambassadeur Gnamien Yao a instruit le public. Pour lui, le candidat-Président est le seul homme politique en Côte d’Ivoire qui par sa politique fédère les intérêts vitaux de tous les Ivoiriens dans leur diversité. Un atout complété, selon le diplomate, par l’amour du Chef de l’Etat pour sa patrie, la démocratie, et la paix. Toutes ces qualités, dira Gnamien Yao, fait du Président Laurent Gbagbo, le digne héritier du Président Félix Houphouët Boigny. « Houphouët de son vivant voterait pour Gbagbo », a fait savoir le DNCA (Directeur national de campagne adjoint) du candidat de La majorité présidentielle chargé de la mobilisation des Ivoiriens de l’étranger. Une déclaration qu’il soutient par le fait que le Chef de l’Etat a pour véritable boussole dans ses actions, la paix, qui était très chère, indique-t-il, au père de la nation. «Voter pour Gbagbo, c’est réhabiliter la paix, c’est réhabiliter la mémoire du Président Félix Houphouët-Boigny », a-t-il déclaré. Se prononçant sur la défaite du PDCI au scrutin du 31 octobre 2010, Gnamien Yao a déclaré que le parti sexagénaire doit rechercher les causes de cette défaite en interne. « (…) Quand on refuse d’accepter la défaite, on tombe dans la diffusion d’informations infondées, dans la médisance, dans l’intoxication, toutes choses susceptibles de dresser les peuples les uns contre les autres », a-t-il lancé. Et d’affirmer que le Président Bédié doit reconnaître qu’il a commis une erreur politique en refusant de s’adresser au peuple. Tout en s’offusquant que le PDCI pour le second tour de la présidentielle soutienne «ceux qui depuis le décès du père de la nation se sont opposés à la légalité », Gnamien Yao a appelé les Ivoiriens à se mobiliser pour faire barrage « à tout changement opéré sous la menace des armes, sous la contrainte de la justice du vainqueur, c’est-à-dire celle qui consiste à vous donner des coups même quand vous êtes à terre ». Mais, dira-til, les Ivoiriens doivent choisir, au soir du 28 novembre 2010, le Président Laurent Gbagbo qui, précise l’ambassadeur, est le candidat de la stabilité dans l’ordre et la discipline R.Dibi |
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