L’occident en guerre contre la Chine en Afrique avec le soutien des « collabos oncles tom néocolonialiste africains »
Au lendemain des indépendances en Afrique, la France est toujours présente dans les organisations panafricaines sous le couvert des oncles tom africains qui trahissent les intérêts du développement économique et politiques africaines au profit de l’occident, de la France et des États-Unis d’Amérique. La plupart de ces cadres militaires ou civils ont été formés dans les grandes universités et dans les académies militaires en occident. Ils ont servi leurs maîtres dans les organisations internationales, FMI, banque mondiale, ONU, OMS. Malheureusement, ils sont des responsables des organisations sous régionales ou panafricaines. Leur cahier de charge est de préserver la tutelle de Paris, de Washington, de Londres sur les économies africaines, participer au pillage des ressources minières (Uranium, pétrole, café cacao, Diamant, l’or, cuivre, cobalt, étain, Phosphate, manganèse, lithium, fer, bois, des terres arabes, des ressources océaniques, nos flores et nos faunes) au profit de l’occident Pour maintenir cette hégémonie, tous les gouvernements occidentaux emploient des méthodes sur le trépied du « racisme, du commerce et de la cour pénale indépendante » contre des leaders panafricains comme au temps de l’esclavage, « racisme, commerce, religions chrétiennes ». Les putschs, les coups tordus des services secrets, l’intervention des garnisons laissées sur place (Gabon, Djibouti, Sénégal, Tchad), envoi des mercenaires, accords secrets autorisant Paris à s’immiscer dans les affaires intérieures, constitution de réseaux barbouzards, pressions économiques et judiciaires, coups d’états électoraux.
Aujourd’hui quand on entend le panafricanisme dans la bouche d’Alassane Ouattara ou d’Édem Kodjo, ce n’est pas la même définition que les pères fondateurs de cette notion et de la fédération africaine. Pour les néocolonialistes, cela veut dire, étendre sur l’ensemble de l’Afrique l’influence de l’occident au détriment de nos cultures, de nos traditions, de nos économies, de nos pensées philosophiques. Alors que les pères fondateurs, définissaient cette pensée par la revalorisation de nos cultures ancestrales, de la philosophie africaine, l’unité linguistique, du développement de nos économies sur l’homme noir, l’homme africain et la revalorisation du matriarcat. La sémantique du mot « panafricanisme » change dans la pensée des oncles Tom africains, créé de la zizanie dans nos pensées, et est loin de la pensée de Lumumba, de Nkruma, de Boganda, de Mandela, Ki-Zerbo, Cheik Anta Diop, Marcus Garvey, Haïlé Sélassié, Ruben Um Nyobé.
A* Les nouveaux collabos ou oncles Tom de l’occident en Afrique
Les nouveaux traitres de l’Afrique, collabos ou oncles Tom, n’ont aucune ressemblance avec les collabos africains au moment de l’esclavage. Ils trahissent la nation mère africaine, par idéologie, par amitié à l’occident, par égoïsme pour leur pouvoir d’achat dans les médias occidentaux ou dans les sociétés occidentales, pour leur survie économique, ou pour une invitation à passer les vacances. Ils sont plus légers que les anciens qui avaient le fusil sur leur tête. Ils discourent avec la notion que le monde est un village où le seul maître est l’occident pour son développement, la protection de sa zone de paix pour son économie, sa philosophie, son progrès.
Depuis cinquante ans, ils n’ont pas réussi à construire des réseaux routiers et ferroviaires, des grandes universités africaines comme Oxford, Cambridge, Sorbonne, mais ils ont un complexe de supériorité cynique que les panafricains progressistes qui veulent développer du continent. Alassane Ouattara et Édem Kodjo ont été tous les deux premiers ministres sans conception d’un grand projet africain (grande université africaine ou grande école africaine) comme Cambridge ou Oxford. Grand média africain comme BBC ou CNN. Ils ont seulement signés des contrats avec RFI, France 24, Lci pour prendre l’espace africain pour nous coloniser avec les pensées occidentales, nous abrutir, nous rendre acculturés. Ils préfèrent envoyer les Africains choisis par eux-mêmes dans les universités européennes pour passer le flambeau de collabos intellectuels. Interrogez-les à savoir pourquoi l’Afrique n’a pas de compagnies aériennes pour désenclaver les états et les villes africaines ? Ils préfèrent Air France, Sabena et les compagnies occidentales pour desservir l’Afrique. Tous les deux sont le fruit de l’occident et de la France, universitaires, économistes, ministre de l’économie pour l’un et l’autre gouverneur de la banque BCEAO. Ils ont les mêmes amis en France et en occident, ils font partie des mêmes cercles et clubs.
Au Togo, les Togolais ont vu le résultat, pas de réseaux routiers et ferroviaires, pas de grande université, les sociétés créées par Olympio Sylvanus ont été toutes en liquidation judiciaire sous la gestion d’Édem Kodjo, en tant que ministre des finances ou premier ministre.
En Côte d’ivoire, on voit l’appel à la guerre, à ruiner l’économie ivoirienne, à affamer les paysans ivoiriens, à priver les jeunes de l’école, de l’enseignement au nord du pays occupé depuis plus de 8 ans par les forces dites nouvelles qui veulent dominer toute la Côte d’ivoire sans donner un exemple de développement de leur zone occupée, où le diamant et le café et cacao de contre bande sont devenus la source d’achat des armes et des équipements militaires pour tuer les Ivoiriens.
B* REVIVIONS LE PANAFRICANISME PROGRESSISTE
Redonnons les fondements économiques, linguistiques et culturels d’un état fédéral d’Afrique noire. Revisitons les pensées de Marcus Garvey et faisons l’inventaire des réalisations de Nkruma, Lumumba, Cheik Anta-Diop, de Mandela, de Sankara, sur la conscientisation des jeunes Africains, l’amour de la mère Afrique, de l’unité de l’Afrique noire d’une vraie indépendance culturelle, au détriment des compromissions de l’empirisme néo-occidentale et la balkanisation et du démembrement de l’Afrique.
Pensons l’industrialisation, le développement de l’économie africaine, et l’organisation du marché intérieur, les moyens de transports (maritimes, ferroviaires, routières, aériens) le développement des sources énergétiques (hydraulique, hydroélectrique, solaire, atomique, géothermique), la création des grandes écoles et universités africaines comme Cambridge, Oxford pour la formation des femmes et des hommes nécessaires à cette vaste entreprise pour la jeunesse africaine (formation des cadres techniques, recherche scientifique) et enfin la formation d’une grande armée, d’une grande gendarmerie, d’une grande police, d’une grande caserne des pompiers, et d’une grande justice indépendante pour organiser la vie dans les cités africaines, avec des parlements pour témoins de la pensée démocratique africaine.
Organisons la vitalité de la jeunesse par le sport et des cadres de vie touristiques africains, par des voyages organisés dans les régions africaines. Faisons aimer l’Afrique et connaître l’Afrique par la jeunesse africaine par la protection des biens et des citoyens africains.
Conclusion
Aujourd’hui nous avons des icones africaines ou afro-américaines, des savants noirs comme exemples de l’intelligence noire et de leurs inventions. Des fils africains qui par leur intelligence ont donné un honneur à la mère Afrique, par leurs génie, leurs inventions, leurs créations culturelles et musicales, leurs ballets, et combattons sans réserve nos sœurs et frères égoïstes et collabos de l’occident qui sèment la mort partout en Afrique comme au Rwanda, au Biafra, au Cameroun, au Congo, en Afrique du Sud, en Côte d’ivoire, au Tchad, en Centrafrique, pour assoir le développement de l’Afrique, par nos moyens. L’Afrique a aujourd’hui les moyens pour devenir la première puissance du monde, par la vitalité de sa jeunesse, sa richesse, à condition que nous servions d’abord l’Afrique comme les occidentaux servent l’Europe et les Chinois servent la Chine. Ayons la diversité d’opinion comme en Europe, mais sacralisons l’Afrique pour son développement.
France, Jacob Ata-Ayi
Source: Togocity
Aujourd’hui quand on entend le panafricanisme dans la bouche d’Alassane Ouattara ou d’Édem Kodjo, ce n’est pas la même définition que les pères fondateurs de cette notion et de la fédération africaine. Pour les néocolonialistes, cela veut dire, étendre sur l’ensemble de l’Afrique l’influence de l’occident au détriment de nos cultures, de nos traditions, de nos économies, de nos pensées philosophiques. Alors que les pères fondateurs, définissaient cette pensée par la revalorisation de nos cultures ancestrales, de la philosophie africaine, l’unité linguistique, du développement de nos économies sur l’homme noir, l’homme africain et la revalorisation du matriarcat. La sémantique du mot « panafricanisme » change dans la pensée des oncles Tom africains, créé de la zizanie dans nos pensées, et est loin de la pensée de Lumumba, de Nkruma, de Boganda, de Mandela, Ki-Zerbo, Cheik Anta Diop, Marcus Garvey, Haïlé Sélassié, Ruben Um Nyobé.
A* Les nouveaux collabos ou oncles Tom de l’occident en Afrique
Les nouveaux traitres de l’Afrique, collabos ou oncles Tom, n’ont aucune ressemblance avec les collabos africains au moment de l’esclavage. Ils trahissent la nation mère africaine, par idéologie, par amitié à l’occident, par égoïsme pour leur pouvoir d’achat dans les médias occidentaux ou dans les sociétés occidentales, pour leur survie économique, ou pour une invitation à passer les vacances. Ils sont plus légers que les anciens qui avaient le fusil sur leur tête. Ils discourent avec la notion que le monde est un village où le seul maître est l’occident pour son développement, la protection de sa zone de paix pour son économie, sa philosophie, son progrès.
Depuis cinquante ans, ils n’ont pas réussi à construire des réseaux routiers et ferroviaires, des grandes universités africaines comme Oxford, Cambridge, Sorbonne, mais ils ont un complexe de supériorité cynique que les panafricains progressistes qui veulent développer du continent. Alassane Ouattara et Édem Kodjo ont été tous les deux premiers ministres sans conception d’un grand projet africain (grande université africaine ou grande école africaine) comme Cambridge ou Oxford. Grand média africain comme BBC ou CNN. Ils ont seulement signés des contrats avec RFI, France 24, Lci pour prendre l’espace africain pour nous coloniser avec les pensées occidentales, nous abrutir, nous rendre acculturés. Ils préfèrent envoyer les Africains choisis par eux-mêmes dans les universités européennes pour passer le flambeau de collabos intellectuels. Interrogez-les à savoir pourquoi l’Afrique n’a pas de compagnies aériennes pour désenclaver les états et les villes africaines ? Ils préfèrent Air France, Sabena et les compagnies occidentales pour desservir l’Afrique. Tous les deux sont le fruit de l’occident et de la France, universitaires, économistes, ministre de l’économie pour l’un et l’autre gouverneur de la banque BCEAO. Ils ont les mêmes amis en France et en occident, ils font partie des mêmes cercles et clubs.
Au Togo, les Togolais ont vu le résultat, pas de réseaux routiers et ferroviaires, pas de grande université, les sociétés créées par Olympio Sylvanus ont été toutes en liquidation judiciaire sous la gestion d’Édem Kodjo, en tant que ministre des finances ou premier ministre.
En Côte d’ivoire, on voit l’appel à la guerre, à ruiner l’économie ivoirienne, à affamer les paysans ivoiriens, à priver les jeunes de l’école, de l’enseignement au nord du pays occupé depuis plus de 8 ans par les forces dites nouvelles qui veulent dominer toute la Côte d’ivoire sans donner un exemple de développement de leur zone occupée, où le diamant et le café et cacao de contre bande sont devenus la source d’achat des armes et des équipements militaires pour tuer les Ivoiriens.
B* REVIVIONS LE PANAFRICANISME PROGRESSISTE
Redonnons les fondements économiques, linguistiques et culturels d’un état fédéral d’Afrique noire. Revisitons les pensées de Marcus Garvey et faisons l’inventaire des réalisations de Nkruma, Lumumba, Cheik Anta-Diop, de Mandela, de Sankara, sur la conscientisation des jeunes Africains, l’amour de la mère Afrique, de l’unité de l’Afrique noire d’une vraie indépendance culturelle, au détriment des compromissions de l’empirisme néo-occidentale et la balkanisation et du démembrement de l’Afrique.
Pensons l’industrialisation, le développement de l’économie africaine, et l’organisation du marché intérieur, les moyens de transports (maritimes, ferroviaires, routières, aériens) le développement des sources énergétiques (hydraulique, hydroélectrique, solaire, atomique, géothermique), la création des grandes écoles et universités africaines comme Cambridge, Oxford pour la formation des femmes et des hommes nécessaires à cette vaste entreprise pour la jeunesse africaine (formation des cadres techniques, recherche scientifique) et enfin la formation d’une grande armée, d’une grande gendarmerie, d’une grande police, d’une grande caserne des pompiers, et d’une grande justice indépendante pour organiser la vie dans les cités africaines, avec des parlements pour témoins de la pensée démocratique africaine.
Organisons la vitalité de la jeunesse par le sport et des cadres de vie touristiques africains, par des voyages organisés dans les régions africaines. Faisons aimer l’Afrique et connaître l’Afrique par la jeunesse africaine par la protection des biens et des citoyens africains.
Conclusion
Aujourd’hui nous avons des icones africaines ou afro-américaines, des savants noirs comme exemples de l’intelligence noire et de leurs inventions. Des fils africains qui par leur intelligence ont donné un honneur à la mère Afrique, par leurs génie, leurs inventions, leurs créations culturelles et musicales, leurs ballets, et combattons sans réserve nos sœurs et frères égoïstes et collabos de l’occident qui sèment la mort partout en Afrique comme au Rwanda, au Biafra, au Cameroun, au Congo, en Afrique du Sud, en Côte d’ivoire, au Tchad, en Centrafrique, pour assoir le développement de l’Afrique, par nos moyens. L’Afrique a aujourd’hui les moyens pour devenir la première puissance du monde, par la vitalité de sa jeunesse, sa richesse, à condition que nous servions d’abord l’Afrique comme les occidentaux servent l’Europe et les Chinois servent la Chine. Ayons la diversité d’opinion comme en Europe, mais sacralisons l’Afrique pour son développement.
France, Jacob Ata-Ayi
Source: Togocity
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