Cojep.info-30/3/2011
Les rebelles qui tirent sur l’ONUCI, la force qui les arme, les entraîne et les appuient dans les combats ? La tactique engagée par les rebelles, les terroristes, les mercenaires et les forces ONUCI et Licorne qui combattent à leurs cotés est d’obtenir des défections au sein des forces armées nationales afin de briser l’imprenable mur de résistance qu’ils rencontrent dans leur ambition d’ouvrir un couloir pour contrôler le port de San Pedro. Ouattara le fait au prix de lourdes pertes humaines, d’après nos sources du front. Poursuivre sur cette voie suicidaire pour ses terroristes montre bien qu’il joue ses dernières cartes
Une information circule actuellement en boucle à travers les media internationaux de la « communauté internationale » selon laquelle un « hélicoptère de la Mission de l`ONU en Côte d`Ivoire (Onuci) “a essuyé des tirs” des forces soutenant le président reconnu par la communauté internationale Alassane Ouattara ».
Le but évident de cette information fausse est de laisser croire au public, mais surtout aux 15 membres du Conseil de Sécurité de l’ONU, que les forces de l’ONUCI, qui sont reconnues, avec une multitude de preuves à l’appui, comme les forces qui arment, entraînent et appuient les rebelles et mercenaires au service d’Alassane Ouattara, dont clairement impartiales, seraient partiales parce qu’elles auraient été attaquées par ces mêmes rebelles.
Mais le premier objectif de cette information, qui nous rappelle la fameuse fausse accusation de la France en 2004 selon laquelle l’armée de Côte d’Ivoire aurait tué 9 soldats français de Licorne (des morts montrés nulle part) pour justifier sa destruction 15 minutes plus tard de la flotte aérienne de l’armée nationale, est de provoquer des défections dans les rangs des soldats loyalistes et patriotes qui croiraient que les rebelles seraient entrain de gagner et n’ont plus besoin de l’ONUCI.
Les forces de défense et de sécurité devraient donc rester en alerte maximale, en réadaptant leurs stratégies à la nouvelle donne, notamment au niveau des renseignements. Les mêmes tactiques de guérilla utilisées par ces terroristes devraient être utilisées par l’armée FDS pour les faire tomber dans des embuscades et les frapper avec des raids et autres tactiques fondées sur la puissance et la rapidité des interventions.
En effet, cette information cherche à endormir les FDS en leur laissant croire que l’ONUCI est impartiale. Ceci afin qu’ils continuent de survoler les positions des FDS en violation de l’interdiction de survol du Président de la République Laurent Gbagbo.
Avec cette astuce, l’ONUCI entend endormir l’armée nationale, afin de continuer à fournir armes et appuis aux rebelles, terroristes et rebelles de Alassane Ouattara actuellement lancés sur le front de l’Ouest dans leur objectif d’ouvrir coûte que coûte un couloir qui leur donnera le contrôle du port de San Pedro.
Au moment où Alassane Ouattara, ses terroristes, les forces de l’ONUCI et les forces Licorne sont tous engagés à jouer leurs dernières cartes de violence et de massacres pour prendre le port de San Pedro et contrôler la filière du cacao ivoirien, Nicolas Sarkozy et Ban Ki-Moon ont besoin d’une preuve à brandir au Conseil de Sécurité selon laquelle l’ONUCI est une force impartiale, contrairement à toutes les preuves fournies par le gouvernement légitime sur le soutien actif de l’ONUCI aux rebelles ivoiriens, à leurs groupes terroristes appelés commandos invisibles et à leurs mercenaires.
Pour rappel, les 76 containers d’armes de guerre et d’équipements militaires en provenance du Tchad où se trouve un important contingent militaire français, et qui avaient été depuis début mars interceptés au Cameroun par la gendarmerie et ébruités par la presse privée locale, ont reçu l’accord de Paul Biya, le dictateur et fantoche de la France au pouvoir, de les embarquer pour la Côte d’Ivoire. Le port de débarquement de ces containers est bel et bien San Pedro.
L’ONUCI a donc urgemment besoin de contrôle un port en Côte d’Ivoire pour réceptionner ces containers d’armes. Les FDS savent certainement déjà que les ennemis actuels de la Côte d’Ivoire utilisent les tactiques basées sur les principes de guérilla suivants :
1 – Les actions de combat ne sont pas pour les rebelles la clé de la victoire, mais seulement une partie de l’effort, parce que la guerre psychologique joue un rôle tout également important.
2- Le privilège ou l’exclusion de l’un quelconque de ces efforts (propagande et combat) peut amener de sérieuses difficultés, et même leur échec. Ils s’appuient dont beaucoup sur la propagande ou guerre psychologique.
3- Les forces militaires FDS étant de même nationalité qu’une grande partie des rebelles, ils utilisent les émissions radio/TV et les media internationaux pour promettre aux soldats FDS/FANCI la sécurité s’ils désertent, pour leur expliquer leur rébellion, pour les faire se sentir isolés et pour jouer sur leur insécurité.
4- Les raids, embuscades, opérations de tireurs d’élite, attaques aléatoires au mortier, etc. des rebelles ont un effet démoralisateur sur les soldats FDS/FANCI, afin de les amener à déserter ou changer de camp sous l’illusion que tout est perdu pour le Président Gbagbo.
5- Les émissions radio/TV et articles, les vidéos montés de toute pièce et le tapage dans les média internationaux dénonçant le gouvernement légitime du Président Laurent Gbagbo sont une bonne approche pour les rebelles pour attirer et recruter les soldats des FDS/FANCI, dont ils ont besoin pour prendre le contrôle du territoire de la Côte d’Ivoire.
Par conséquent, voici venu le temps pour les FDS et pour les Patriotes ivoiriens déterminés à défendre leur Constitution et leur Souveraineté de suivre trois consignes essentielles, à savoir Vigilance, Vigilance et Vigilance.
Une information circule actuellement en boucle à travers les media internationaux de la « communauté internationale » selon laquelle un « hélicoptère de la Mission de l`ONU en Côte d`Ivoire (Onuci) “a essuyé des tirs” des forces soutenant le président reconnu par la communauté internationale Alassane Ouattara ».
Le but évident de cette information fausse est de laisser croire au public, mais surtout aux 15 membres du Conseil de Sécurité de l’ONU, que les forces de l’ONUCI, qui sont reconnues, avec une multitude de preuves à l’appui, comme les forces qui arment, entraînent et appuient les rebelles et mercenaires au service d’Alassane Ouattara, dont clairement impartiales, seraient partiales parce qu’elles auraient été attaquées par ces mêmes rebelles.
Mais le premier objectif de cette information, qui nous rappelle la fameuse fausse accusation de la France en 2004 selon laquelle l’armée de Côte d’Ivoire aurait tué 9 soldats français de Licorne (des morts montrés nulle part) pour justifier sa destruction 15 minutes plus tard de la flotte aérienne de l’armée nationale, est de provoquer des défections dans les rangs des soldats loyalistes et patriotes qui croiraient que les rebelles seraient entrain de gagner et n’ont plus besoin de l’ONUCI.
Les forces de défense et de sécurité devraient donc rester en alerte maximale, en réadaptant leurs stratégies à la nouvelle donne, notamment au niveau des renseignements. Les mêmes tactiques de guérilla utilisées par ces terroristes devraient être utilisées par l’armée FDS pour les faire tomber dans des embuscades et les frapper avec des raids et autres tactiques fondées sur la puissance et la rapidité des interventions.
En effet, cette information cherche à endormir les FDS en leur laissant croire que l’ONUCI est impartiale. Ceci afin qu’ils continuent de survoler les positions des FDS en violation de l’interdiction de survol du Président de la République Laurent Gbagbo.
Avec cette astuce, l’ONUCI entend endormir l’armée nationale, afin de continuer à fournir armes et appuis aux rebelles, terroristes et rebelles de Alassane Ouattara actuellement lancés sur le front de l’Ouest dans leur objectif d’ouvrir coûte que coûte un couloir qui leur donnera le contrôle du port de San Pedro.
Au moment où Alassane Ouattara, ses terroristes, les forces de l’ONUCI et les forces Licorne sont tous engagés à jouer leurs dernières cartes de violence et de massacres pour prendre le port de San Pedro et contrôler la filière du cacao ivoirien, Nicolas Sarkozy et Ban Ki-Moon ont besoin d’une preuve à brandir au Conseil de Sécurité selon laquelle l’ONUCI est une force impartiale, contrairement à toutes les preuves fournies par le gouvernement légitime sur le soutien actif de l’ONUCI aux rebelles ivoiriens, à leurs groupes terroristes appelés commandos invisibles et à leurs mercenaires.
Pour rappel, les 76 containers d’armes de guerre et d’équipements militaires en provenance du Tchad où se trouve un important contingent militaire français, et qui avaient été depuis début mars interceptés au Cameroun par la gendarmerie et ébruités par la presse privée locale, ont reçu l’accord de Paul Biya, le dictateur et fantoche de la France au pouvoir, de les embarquer pour la Côte d’Ivoire. Le port de débarquement de ces containers est bel et bien San Pedro.
L’ONUCI a donc urgemment besoin de contrôle un port en Côte d’Ivoire pour réceptionner ces containers d’armes. Les FDS savent certainement déjà que les ennemis actuels de la Côte d’Ivoire utilisent les tactiques basées sur les principes de guérilla suivants :
1 – Les actions de combat ne sont pas pour les rebelles la clé de la victoire, mais seulement une partie de l’effort, parce que la guerre psychologique joue un rôle tout également important.
2- Le privilège ou l’exclusion de l’un quelconque de ces efforts (propagande et combat) peut amener de sérieuses difficultés, et même leur échec. Ils s’appuient dont beaucoup sur la propagande ou guerre psychologique.
3- Les forces militaires FDS étant de même nationalité qu’une grande partie des rebelles, ils utilisent les émissions radio/TV et les media internationaux pour promettre aux soldats FDS/FANCI la sécurité s’ils désertent, pour leur expliquer leur rébellion, pour les faire se sentir isolés et pour jouer sur leur insécurité.
4- Les raids, embuscades, opérations de tireurs d’élite, attaques aléatoires au mortier, etc. des rebelles ont un effet démoralisateur sur les soldats FDS/FANCI, afin de les amener à déserter ou changer de camp sous l’illusion que tout est perdu pour le Président Gbagbo.
5- Les émissions radio/TV et articles, les vidéos montés de toute pièce et le tapage dans les média internationaux dénonçant le gouvernement légitime du Président Laurent Gbagbo sont une bonne approche pour les rebelles pour attirer et recruter les soldats des FDS/FANCI, dont ils ont besoin pour prendre le contrôle du territoire de la Côte d’Ivoire.
Par conséquent, voici venu le temps pour les FDS et pour les Patriotes ivoiriens déterminés à défendre leur Constitution et leur Souveraineté de suivre trois consignes essentielles, à savoir Vigilance, Vigilance et Vigilance.
Ndzana Seme
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