Le communiqué précise que le gouvernement sud-africain consulte les institutions comme la Cédéao (Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest), l'Union africaine, et les Nations unies pour savoir quelle suite donner à cette affaire.
Le gouvernement de Prétoria dément par ailleurs les rumeurs, selon lesquelles Laurent Gbagbo, président sortant, serait en route vers l'Afrique du Sud.
Dans son journal de 13 h 00 (TU) la télévision d'Etat, RTI, a assuré que ce dernier se trouvait« dans sa résidence » à Abidjan et non « dans une ambassade ». « La rumeur court, court mais la vie suit son cours à Abidjan », précisé le présentateur.
Pour autant, selon l'AFP, des tirs à l'arme lourde ont été entendus, en milieu de journée, dans la capitale économique aux abords d'un important camp de gendarmerie, près du quartier d'Abobo.
Le général Philippe Mangou, 59 ans, avait été nommé à la tête de l'armée par Laurent Gbagbo le 13 novembre 2004. Il avait succédé au général Mathias Doué. Le général Mangou était la cheville ouvrière de « l'Opération dignité » qui visait, à partir du 4 novembre 2004, à reprendre le contrôle du nord du pays contrôlé par les rebelles ivoiriens des Forces nouvelles.
Cette opération avait été interrompue brutalement à la suite du bombardement d'une position de la force française Licorne à Bouaké, dans le centre du pays, au cours duquel neuf soldats français avaient trouvé la mort.
Depuis la crise née du second tour de la présidentielle, le 28 novembre dernier, Philippe Mangou avait à plusieurs reprises réaffirmé sa fidélité au président sortant Laurent Gbagbo.
Le gouvernement de Prétoria dément par ailleurs les rumeurs, selon lesquelles Laurent Gbagbo, président sortant, serait en route vers l'Afrique du Sud.
Dans son journal de 13 h 00 (TU) la télévision d'Etat, RTI, a assuré que ce dernier se trouvait« dans sa résidence » à Abidjan et non « dans une ambassade ». « La rumeur court, court mais la vie suit son cours à Abidjan », précisé le présentateur.
Pour autant, selon l'AFP, des tirs à l'arme lourde ont été entendus, en milieu de journée, dans la capitale économique aux abords d'un important camp de gendarmerie, près du quartier d'Abobo.
Le général Philippe Mangou, 59 ans, avait été nommé à la tête de l'armée par Laurent Gbagbo le 13 novembre 2004. Il avait succédé au général Mathias Doué. Le général Mangou était la cheville ouvrière de « l'Opération dignité » qui visait, à partir du 4 novembre 2004, à reprendre le contrôle du nord du pays contrôlé par les rebelles ivoiriens des Forces nouvelles.
Cette opération avait été interrompue brutalement à la suite du bombardement d'une position de la force française Licorne à Bouaké, dans le centre du pays, au cours duquel neuf soldats français avaient trouvé la mort.
Depuis la crise née du second tour de la présidentielle, le 28 novembre dernier, Philippe Mangou avait à plusieurs reprises réaffirmé sa fidélité au président sortant Laurent Gbagbo.
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