mar, 12 juill. 2011 IvoireBusiness
Mamadou Koulibaly, ex-président par intérim du FPI, président du LIDER.
Le Président Laurent Gbagbo, kidnappé le 11 avril 2011 par Licorne puis déporté à Korhogo par Ouattara, n’est pas resté insensible au séisme politique qui secoue
son parti, le Front populaire ivoirien, dont il est le père-fondateur avec son épouse Simone Ehivet et d’autres camarades aujourd’hui emprisonnés comme Aboudramane Sangaré. Il l’a fait par le biais d’une source extrêmement fiable et confidentielle. IvoireBusiness ne fait que vous donner la teneur exacte de la missive présidentielle sans rien ajouter.
En homme d’Etat, soucieux des valeurs démocratiques développées par lui-même 10 ans durant à la tête du pays, il accepte la démission de Mamadou Koulibaly de son poste de président intérimaire du FPI. Il considère cette démission comme la preuve de la vitalité de son parti.
Il souhaite bonne chance à Mamadou Koulibaly, qu'il considère comme son fils, pour la suite de sa carrière politique avec la création du LIDER (Liberté et Démocratie pour la République).
Il appelle en outre le Front populaire ivoirien à rester soudé face aux épreuves actuelles et demande aux cadres et militants de son parti en Côte d’Ivoire ou en exil de poursuivre le combat pour le restauration de la démocratie, des droits de l’homme, de l’Etat de droit et de la souveraineté nationale.
Il pense aux ivoiriennes et ivoiriens meurtries dans leurs chaires et sans repaires depuis le déclenchement de la crise post-électorale consécutive à l’élection présidentielle gagnée par lui. Il présente en son nom et en celui de son épouse Simone Ehivet Gbagbo, ses condoléances les plus attristées à toutes les familles des victimes du conflit, sans exclusive.
Il est convaincu qu’un avenir radieux attend la Côte d’Ivoire au bout de toutes ces épreuves.
En homme d’Etat, soucieux des valeurs démocratiques développées par lui-même 10 ans durant à la tête du pays, il accepte la démission de Mamadou Koulibaly de son poste de président intérimaire du FPI. Il considère cette démission comme la preuve de la vitalité de son parti.
Il souhaite bonne chance à Mamadou Koulibaly, qu'il considère comme son fils, pour la suite de sa carrière politique avec la création du LIDER (Liberté et Démocratie pour la République).
Il appelle en outre le Front populaire ivoirien à rester soudé face aux épreuves actuelles et demande aux cadres et militants de son parti en Côte d’Ivoire ou en exil de poursuivre le combat pour le restauration de la démocratie, des droits de l’homme, de l’Etat de droit et de la souveraineté nationale.
Il pense aux ivoiriennes et ivoiriens meurtries dans leurs chaires et sans repaires depuis le déclenchement de la crise post-électorale consécutive à l’élection présidentielle gagnée par lui. Il présente en son nom et en celui de son épouse Simone Ehivet Gbagbo, ses condoléances les plus attristées à toutes les familles des victimes du conflit, sans exclusive.
Il est convaincu qu’un avenir radieux attend la Côte d’Ivoire au bout de toutes ces épreuves.
Christian Vabé
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