le 25 septembre 2012.
Entre-temps, la société civile a débattu de la pétition initiée contre le bureau de la CENI, le procès de Floribert Chebeya et Fidèle Bazana, la commercialisation de l’éducation dans les écoles et le 14ème Sommet de la Francophonie ont été des sujets abordés dans ces travaux.
La société civile de la République démocratique du Congo a tenu son assemblée générale, le samedi 22 septembre dernier en a salle paroissiale de Notre Dame de Fatima, pour débattre, selon son thème, des “Préoccupations de la population auprès des députés et sénateurs.
Dans ses préoccupations, la société civile attend voir le Président français, François Hollande se prononcer sur le procès de l’assassinat de Floribert Chebeya et des détenus politiques congolais.
Ainsi, la pétition contre le bureau de la CENI (Commission électorale nationale indépendante), la guerre à l’Est de la RD Con- go, le procès en appel du défenseur des droits de l’homme Floribert Chebeya et Fidèle Bazana, la commercialisation de l’éducation dans les écoles et le 14ème Sommet de la Francophonie font partie des sujets débattus par les participants. Les travaux ont été clôturés par une déclaration des membres de cette structure.
Le premier à intervenir, coordonnateur général Christopher Ngoy a relevé, dans le cadre de, la pétition contre le bureau de la CENI, que la préoccupation de la société civile est de promouvoir le développement politique après les élections pleines d’irrégularités organisées en novembre 2011.
La pétition n’a été pas initiée par cette société civile pour remplacer les membres du bureau de la CENI, a-t-il soutenu.
C’est pour cette raison que les- membres structure disent’ non aux postes et autres matériels qu’ils peuvent gagner une fois devenus membres au sein du nouveau bureau du pouvoir organisateur des élections de la RD Con- go dont la mise en place est prévue dans les tout prochains jours.
Toutes fois, cette société civile se lance dans des cogitations pour concilier les ambitions de certains de ses membres vouloir faire partie du nouveau bureau de la CENI qui va être constitué désormais de 11 personnes. Elle mise ainsi sur des personnes capables de résister aux pressions notamment du pouvoir une fois dans le bureau de la CENI.
La guerre à l’Est de la République a été abordée par Modeste Koyombo Rashidi. Il a soutenu que ce sont les richesses du pays, très convoitées par les étrangers, qui constituent la base de toutes les guerres qui ont sévi et continuent à sévir dans le pays.
Il a regretté que la faiblesse de l’Etat et sa mauvaise gouvernance font que la République Démocratique du Congo éprouve d’énormes difficultés pour protéger ses frontières et éviter les guerres injustes menées contre le pays.
Aussi pour-lui, même le rapport des Nations-Unies prélevant l’implication du Rwanda dans l’agresse de l’Est du pays cache la vraie raison de la crise dans cette partie de la RD Congo, qui selon son historique, remonte en 1994.
Il exige, au nom de la société civile, un procès du genre de celui de Nuremberg afin de mettre fin à la conspiration dont est victime depuis longtemps la RD Congo de la part de la communauté internationale par le biais de ses voisins (voisins de la RD Congo).
Sans l’implication de la communauté internationale la crise à l’Est va continuer à durer.
Concernant le procès Floribert Chebeya et Fidèle Bazana, Maître Richard Bondo est intervenu pour appeler la société civile à la mobilisation contre la justice congolaises si jamais les prononcées qui doivent être rendues le 23 octobre 2012 sur l’implication de John Numbi ne rencontrent pas l’assentiment de la population.
Ces prononcées qui ont été renvoyées à cette date du 23 octobre 2012 alors qu’elles devaient être rendues avant la tenue du Sommet de la Francophonie, â fait savoir cet avocat.
Sur la question la commercialisation de l’éducation dans les écoles, l’intervenant Jacques Tshimbalanga a relevé le paiement exagéré des fournitures scolaires, la chasse des élèves pendant l’année scolaire et autres les frais scolaires exorbitants fixés par les écoles dans l’indifférence totale du ministère de l’Ecole primaire, secondaire et professionnelle. La société, à travers cet intervenant, exige la revisitation des textes régissant le fonds de promotion de l’éducation.
Jean-Bosco Phuna est intervenu, pour sa part, pour dire que le Sommet de la Francophonie se tient dans un environnement politique où les élections de 2011 avec beaucoup d’irrégularités n’ont pas permis d’avoir l’unité nationale ainsi que dans les contextes économique et social difficiles.
Il a invité le Président français, François Hollande, de se prononcer à son arrivée en RD Congo sur l’assassinat de Floribert Chebeya et d’exiger du gouvernement congolais la libération des détenus politiques.
C’est l’assemble de ces points abordés pendant les travaux qui ont constitué la déclaration de la société civile de la République démocratique du Congo.
Lucien KAZADI T.
Direct!cd
Entre-temps, la société civile a débattu de la pétition initiée contre le bureau de la CENI, le procès de Floribert Chebeya et Fidèle Bazana, la commercialisation de l’éducation dans les écoles et le 14ème Sommet de la Francophonie ont été des sujets abordés dans ces travaux.
La société civile de la République démocratique du Congo a tenu son assemblée générale, le samedi 22 septembre dernier en a salle paroissiale de Notre Dame de Fatima, pour débattre, selon son thème, des “Préoccupations de la population auprès des députés et sénateurs.
Dans ses préoccupations, la société civile attend voir le Président français, François Hollande se prononcer sur le procès de l’assassinat de Floribert Chebeya et des détenus politiques congolais.
Ainsi, la pétition contre le bureau de la CENI (Commission électorale nationale indépendante), la guerre à l’Est de la RD Con- go, le procès en appel du défenseur des droits de l’homme Floribert Chebeya et Fidèle Bazana, la commercialisation de l’éducation dans les écoles et le 14ème Sommet de la Francophonie font partie des sujets débattus par les participants. Les travaux ont été clôturés par une déclaration des membres de cette structure.
Le premier à intervenir, coordonnateur général Christopher Ngoy a relevé, dans le cadre de, la pétition contre le bureau de la CENI, que la préoccupation de la société civile est de promouvoir le développement politique après les élections pleines d’irrégularités organisées en novembre 2011.
La pétition n’a été pas initiée par cette société civile pour remplacer les membres du bureau de la CENI, a-t-il soutenu.
C’est pour cette raison que les- membres structure disent’ non aux postes et autres matériels qu’ils peuvent gagner une fois devenus membres au sein du nouveau bureau du pouvoir organisateur des élections de la RD Con- go dont la mise en place est prévue dans les tout prochains jours.
Toutes fois, cette société civile se lance dans des cogitations pour concilier les ambitions de certains de ses membres vouloir faire partie du nouveau bureau de la CENI qui va être constitué désormais de 11 personnes. Elle mise ainsi sur des personnes capables de résister aux pressions notamment du pouvoir une fois dans le bureau de la CENI.
La guerre à l’Est de la République a été abordée par Modeste Koyombo Rashidi. Il a soutenu que ce sont les richesses du pays, très convoitées par les étrangers, qui constituent la base de toutes les guerres qui ont sévi et continuent à sévir dans le pays.
Il a regretté que la faiblesse de l’Etat et sa mauvaise gouvernance font que la République Démocratique du Congo éprouve d’énormes difficultés pour protéger ses frontières et éviter les guerres injustes menées contre le pays.
Aussi pour-lui, même le rapport des Nations-Unies prélevant l’implication du Rwanda dans l’agresse de l’Est du pays cache la vraie raison de la crise dans cette partie de la RD Congo, qui selon son historique, remonte en 1994.
Il exige, au nom de la société civile, un procès du genre de celui de Nuremberg afin de mettre fin à la conspiration dont est victime depuis longtemps la RD Congo de la part de la communauté internationale par le biais de ses voisins (voisins de la RD Congo).
Sans l’implication de la communauté internationale la crise à l’Est va continuer à durer.
Concernant le procès Floribert Chebeya et Fidèle Bazana, Maître Richard Bondo est intervenu pour appeler la société civile à la mobilisation contre la justice congolaises si jamais les prononcées qui doivent être rendues le 23 octobre 2012 sur l’implication de John Numbi ne rencontrent pas l’assentiment de la population.
Ces prononcées qui ont été renvoyées à cette date du 23 octobre 2012 alors qu’elles devaient être rendues avant la tenue du Sommet de la Francophonie, â fait savoir cet avocat.
Sur la question la commercialisation de l’éducation dans les écoles, l’intervenant Jacques Tshimbalanga a relevé le paiement exagéré des fournitures scolaires, la chasse des élèves pendant l’année scolaire et autres les frais scolaires exorbitants fixés par les écoles dans l’indifférence totale du ministère de l’Ecole primaire, secondaire et professionnelle. La société, à travers cet intervenant, exige la revisitation des textes régissant le fonds de promotion de l’éducation.
Jean-Bosco Phuna est intervenu, pour sa part, pour dire que le Sommet de la Francophonie se tient dans un environnement politique où les élections de 2011 avec beaucoup d’irrégularités n’ont pas permis d’avoir l’unité nationale ainsi que dans les contextes économique et social difficiles.
Il a invité le Président français, François Hollande, de se prononcer à son arrivée en RD Congo sur l’assassinat de Floribert Chebeya et d’exiger du gouvernement congolais la libération des détenus politiques.
C’est l’assemble de ces points abordés pendant les travaux qui ont constitué la déclaration de la société civile de la République démocratique du Congo.
Lucien KAZADI T.
Direct!cd
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