samedi 8 septembre 2012

Le Député national RDCongolais Diomi Ndongala serait en vie !


UN RAPPORT CONFIDENTIEL PROVENU DE L’ANTENNE DE LA DGSE A KINSHASA ET RECEMMENT PARVENU A L’ELYSEE CONFIRME QUE LE DEPUTE NATIONAL RD- CONGOLAIS EUGENE DIOMI NDONGALA SERAIT EN VIE ENTRE LES MAINS DE LA POLICE POLITIQUE DE JOSEPH KABILA MAIS SEULEMENT « QU’IL SERAIT MALADE, AMAIGRI ET PHYSIQUEMENT AFFAIBLI »

L’antenne de la DGSE ( Direction générale de la sécurité extérieure) – service d’espionnage de la France – à Kinshasa aurait rejoint les services de sécurité américaines dans leur « topo » sur la situation du député national rd- congolais, Eugène Diomi Ndongala, depuis son enlèvement le 27 juin 2012 et sa séquestration en soulignant à son tour que ce dernier est bel et bien vivant entre les mains de ses geôliers appartenant à la police politique de Joseph Kabila mais seulement « qu’il serait très malade, amaigri, physiquement affaibli à tel point qu’il ne parviendrait plus à marcher tout seul, à cause d’une hernie inguinale non encore opérée ».

C’est du moins la substance d’un rapport confidentiel adressé à sa centrale parisienne par l’antenne de la DGSE à Kinshasa et récemment parvenu à l’Elysée après l’habituel crochet d’usage au Quai d’Orsay.

Edgar Dalanson, notre correspondant en France de qui nous avons obtenu cet élément d’information, précise que le Président français, François Hollande, aurait été atterré et désemparé, surtout de sa décision de participer au sommet francophone d’octobre 2012 à Kinshasa, après avoir appris du parti Communiste français que le pouvoir dictatorial de M. Joseph Kabila aurait depuis une semaine auparavant déjà assassiné le député national Eugène Diomi Ndongala qu’il avait enlevé avec le prétexte fabriqué de mœurs.

Par ailleurs, Washington aurait déjà demandé au président François Hollande d’user tout son pouvoir – au cas il en aurait réellement – sur Kinshasa pour obtenir la libération sans conditions du député national rd-congolais Eugène Diomi Ndongala avant le démarrage des travaux de son quatorzième sommet de la Francophonie en RDC.

Curieusement, un journaliste de TELE 7 a laissé entendre, au cours de l’émission du lundi 3 septembre 2012 avec le député Martin Fayulu, que le Président français François Hollande n’a aucun pouvoir pour demander à Joseph Kabila de libérer Eugène Diomi Ndongala – cela étant la revendication publique du député de l’opposition Martin Fayulu - et d’être obéi par ce dernier.

Ce confrère de TELE 7 – il se pourrait qu’il ait la mémoire courte – ignore peut être que c’est sur pressions étranglâtes de dernière minute de Washington sur la junte militaire de Birmanie que l’opposant politique Aung San Suu Kyi venait d’être libérée de sa réclusion de vingt ans de résidence surveillée à Rangoon.


Il en a été de même en 1989 sur e régime de l’Apartheid d’Afrique du Sud et ayant abouti à la libération de Nelson Mandela de la prison de Robben Island.

Les Français ont également un passé de succès en cette matière pour être parvenus à obtenir la libération de leur compatriote Françoise Claustré qui avait été prise en otage dans le Tibesti par le Mouvement armé rebelle d’Hissène Habré.

L’Interprète du 08/09/12

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