17 Sept. 2012
Mercredi 12 septembre 2012, monsieur Didier Reynders, vice-premier ministre et ministre belge des Affaires étrangères a fait rapport à la commission des relations extérieures du sénat et de la chambre sur la situation en RD Congo.
La pression doit être très fortement exercée sur l’ensemble des acteurs.
Mercredi 12 septembre 2012, monsieur Didier Reynders, vice-premier ministre et ministre belge des Affaires étrangères a fait rapport à la commission des relations extérieures du sénat et de la chambre sur la situation en RD Congo.
Ce rapport faisait suite à son dernier voyage en RD Congo et au Rwanda.
Le point central était la pseudo rébellion du M23 et ses conséquences sur la situation générale de la RD Congo.
De ses contacts tant avec le pouvoir de Kinshasa qu’avec celui de Kigali, il ressort ceci:
Il y a des signaux très clairs d’un soutien du Rwanda au M23.
Le Rwanda se doit de mettre fin à cette situation. Sinon, il y a aura des mesures à prendre, au niveau de l’Europe et de l’ONU.
En RD Congo, il y a un manque d’état de droit et un manque de capacité de réforme de l’armée du côté congolais.
Monsieur Reynders a également abordé d’autres problèmes de la RD Congo comme :
- Le sommet de la francophonie
- L’expulsion du cinéaste belge Thierry Michel et le procès des assassins de Chebeya
- L’arrestation (la disparition?) de Diomi Ndongala.
Pour monsieur Didier Reynders, l’urgence est de mettre fin à cette rebellion, et de respecter l’intégrité territoriale de la RD Congo.
Dans leurs interventions, les parlementaires belges ont certes félicité le ministre pour les informations, mais beaucoup de scepticisme était également perceptible.
Ce que confirmera le président de la commission lorsque nous lui poserons la suite à accorder à cette séance.
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