L'ancien patron d'Elf, Loïk Le Floch-Prigent présente «Granit rosse», le roman qu'il a écrit durant sa détention pour l'affaire Elf, en août 2012 dans sa maison de Bretagne.
AFP/Fred Tanneau
Par RFI
Le feuilleton judiciaire Loïk Le Floch-Prigent continue. L'ancien patron d’Elf Aquitaine a passé cinq mois en prison au Togo, jusqu'en février 2013, accusé par un homme d'affaires émirien de complicité d'escroquerie.
Mardi, sur nos antennes, vous avez pu suivre les accusations de Patrick Klugman, qui affirmait qu’Abass al-Youssef avait tenté de corrompre des policiers pour faire arrêter Loïk Le Floch-Prigent.
Il affirmait par ailleurs que l'arrestation de Le Floch-Prigent était illégale et qu'il n'avait jamais été convoqué par la justice togolaise. Ce jeudi, l'avocat d'Abass al-Youssef contre-attaque et affirme que Le Floch-Prigent savait pertinemment qu'une plainte avait été déposée contre lui.
Martial Akakpo
Avocat d'Abass al-Youssef
Martial Akakpo
Avocat d'Abass al-Youssef
C'est bien beau maintenant qu'il est en liberté de se permettre de dire des choses alors qu'il a reconnu un certain nombre de faits qu'il ne peut plus nier aujourd'hui.
Écouter (00:56)
27/05/2013 par Olivier Rogez
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