4 mai, 2013
La principale coalition d'opposition au Tchad réclame la libération des personnalités arrêtées après l'annonce d'une présumée tentative de "complot" contre le régime d'Idriss Déby, mercredi.
Cette demande concerne très précisément les deux députés arrêtes Mahamat Mallou Kadre, du Mouvement patriotique du salut, parti du président Déby, et Saleh Makki de la Coordination des partis politiques pour la défense de la constitution (CPDC), principale coalition de l'opposition.
L'opposition juge illégales les conditions de leur arrestation et de leur détention.
Contactée par BBC Afrique, le porte-parole de la Coordination des partis politiques pour la défense de la constitution, Salibou Garba, a dénoncé la persistance du gouvernement à faire du Tchad un pays de non droit.
De leurs côtés, des avocats de deux personnalité, arrêtés après le présumé "complot", se disent inquiets "pour la vie" de leurs clients.
Ce collectif d'avocats qui représente le député Saleh Makki et le général Weiding Assi Assoue s'est vu refusé le droit de rendre visite à ses clients dans les locaux de la police judiciaire. Ce qui est inquiétant, selon le collectif.
La principale coalition d'opposition au Tchad réclame la libération des personnalités arrêtées après l'annonce d'une présumée tentative de "complot" contre le régime d'Idriss Déby, mercredi.
Cette demande concerne très précisément les deux députés arrêtes Mahamat Mallou Kadre, du Mouvement patriotique du salut, parti du président Déby, et Saleh Makki de la Coordination des partis politiques pour la défense de la constitution (CPDC), principale coalition de l'opposition.
L'opposition juge illégales les conditions de leur arrestation et de leur détention.
Contactée par BBC Afrique, le porte-parole de la Coordination des partis politiques pour la défense de la constitution, Salibou Garba, a dénoncé la persistance du gouvernement à faire du Tchad un pays de non droit.
De leurs côtés, des avocats de deux personnalité, arrêtés après le présumé "complot", se disent inquiets "pour la vie" de leurs clients.
Ce collectif d'avocats qui représente le député Saleh Makki et le général Weiding Assi Assoue s'est vu refusé le droit de rendre visite à ses clients dans les locaux de la police judiciaire. Ce qui est inquiétant, selon le collectif.
BBC Afrique
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