Ils ont décidé de saboter tous les sites sensibles en Afrique australe, afin de réclamer «plus de démocratie».
Ils se font appeler les Anonymous Africa. Groupe aussi obscur que virtuel, mais qui fait de plus en plus parler de lui. Ce 14 juin, ils ont attaqué le site de l’ANC (African National Congress), le parti au pouvoir en Afrique du Sud, après l’avoir annoncé tôt dans la matinée sur Twitter.
La baseline de leur compte Twitter ressemble d’ailleurs en tout point à une véritable déclaration de guerre. Ils parlent d’un «printemps africain» et d’en «finir avec les dictateurs» et évoquent «le temps de l’Afrique».
Jusqu'en mi-journée, le site était indisponible.
Depuis le 12 juin, ils ont envahi les réseaux sociaux. Sur Facebook comme sur Twitter, ils ont déclaré une guerre ouverte contre le régime de Robert Mugabe et tous ceux qui le soutiennent de près ou de loin.
C’est ainsi que ces hackers ont menacé de saboter le site Internet du ministère de la Défense zimbabwéen. Ce vendredi matin, le site fonctionnait toujours.
Selon le site d’information en ligne Herald, basé à Harare, réputé proche du pouvoir, il aurait lui même subie une attaque des Anonymous Africa, le 12 juin. Herald online explique que l’attaque aurait provoqué une interruption de ses serveurs pendant environ cinq minutes. Le groupe de hackers a aussi revendiqué le piratage d'un éditeur en ligne sud-africain.
Selon Herald online, les hackers zimbabwéens s’attaqueraient ainsi à tous ceux qui de près ou de loin soutiendraient la politique menée par le président Robert Mugabe. Ils dénoncent ce qu’ils considèrent comme des entraves aux droits de l’homme dans toute l’Afrique australe.
Dans un récent tweet, ils signalent par exemple que leurs prochaine cible est le Swaziland.
Slate Afrique
La baseline de leur compte Twitter ressemble d’ailleurs en tout point à une véritable déclaration de guerre. Ils parlent d’un «printemps africain» et d’en «finir avec les dictateurs» et évoquent «le temps de l’Afrique».
Jusqu'en mi-journée, le site était indisponible.
Depuis le 12 juin, ils ont envahi les réseaux sociaux. Sur Facebook comme sur Twitter, ils ont déclaré une guerre ouverte contre le régime de Robert Mugabe et tous ceux qui le soutiennent de près ou de loin.
C’est ainsi que ces hackers ont menacé de saboter le site Internet du ministère de la Défense zimbabwéen. Ce vendredi matin, le site fonctionnait toujours.
Selon le site d’information en ligne Herald, basé à Harare, réputé proche du pouvoir, il aurait lui même subie une attaque des Anonymous Africa, le 12 juin. Herald online explique que l’attaque aurait provoqué une interruption de ses serveurs pendant environ cinq minutes. Le groupe de hackers a aussi revendiqué le piratage d'un éditeur en ligne sud-africain.
Selon Herald online, les hackers zimbabwéens s’attaqueraient ainsi à tous ceux qui de près ou de loin soutiendraient la politique menée par le président Robert Mugabe. Ils dénoncent ce qu’ils considèrent comme des entraves aux droits de l’homme dans toute l’Afrique australe.
Dans un récent tweet, ils signalent par exemple que leurs prochaine cible est le Swaziland.
Slate Afrique
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