Saturday, 13 July 2013
Ce qui n’était jusque-là qu’une simple rumeur vient de se confirmer. Les islamistes somaliens, les Shebabs, opèrent bel et bien dans l’Est de la RDC. Ils viennent de se signaler en enlevant neuf personnes, dont un policier de la Police nationale congolaise.
Les rebelles somaliens Shebabs ont enlevé neuf personnes, jeudi, dans la localité de Kamango-centre, territoire de Béni. C’est dans le Nord-Kivu, une région de l’Est de la République démocratique du Congo (RDC).
Plusieurs associations de la Société civile, travaillant dans la zone, ont pourtant tiré la sonnette d’alarme contre leur présence dans la région, depuis plusieurs semaines.
Les rebelles islamistes somaliens Shebabs ont enlevé, jeudi, neuf personnes dans le Nord-Kivu, à l’Est de la République démocratique du Congo (RDC).
Selon nos sources, les personnes enlevées sont : un responsable de la localité, sa femme et ses enfants, le commandant de la police locale ainsi qu’un animateur de la radio communautaire de Watalinga.
Depuis plusieurs semaines, les associations de la Société civile de la région tirent la sonnette d’alarme sur la présence des Shebabs dans les principales villes du Nord-Kivu.
Selon nos sources, ces derniers ont été recrutés depuis le Burundi par les rebelles du M23 pour leur maîtrise des combats dans les grandes mégalopoles, sont déjà passés à l’action.
Le M23 souhaite ainsi renforcer ses capacités en techniques de guérilla, en prévision d’une offensive éventuelle de la Brigade d’intervention ou des soldats des Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC).
Des informations confirmées par le coordinateur de la Société civile de Beni, Teddy Kataliko, qui dénonce, depuis plusieurs semaines, la présence des rebelles somaliens sur le territoire congolais.
De même, le commandant des FARDC dans ce secteur, le Colonel Richard Bisambaza, a également indiqué sa préoccupation, affirmant que les éléments des FARDC ont dû effectuer un « repli stratégique» face aux rebelles somaliens. Les acteurs de la Société civile craignent que la région entière du Kivu, déjà très instable, plonge dans le chaos.
AFRIK.COM
Ce qui n’était jusque-là qu’une simple rumeur vient de se confirmer. Les islamistes somaliens, les Shebabs, opèrent bel et bien dans l’Est de la RDC. Ils viennent de se signaler en enlevant neuf personnes, dont un policier de la Police nationale congolaise.
Les rebelles somaliens Shebabs ont enlevé neuf personnes, jeudi, dans la localité de Kamango-centre, territoire de Béni. C’est dans le Nord-Kivu, une région de l’Est de la République démocratique du Congo (RDC).
Plusieurs associations de la Société civile, travaillant dans la zone, ont pourtant tiré la sonnette d’alarme contre leur présence dans la région, depuis plusieurs semaines.
Les rebelles islamistes somaliens Shebabs ont enlevé, jeudi, neuf personnes dans le Nord-Kivu, à l’Est de la République démocratique du Congo (RDC).
Selon nos sources, les personnes enlevées sont : un responsable de la localité, sa femme et ses enfants, le commandant de la police locale ainsi qu’un animateur de la radio communautaire de Watalinga.
Depuis plusieurs semaines, les associations de la Société civile de la région tirent la sonnette d’alarme sur la présence des Shebabs dans les principales villes du Nord-Kivu.
Selon nos sources, ces derniers ont été recrutés depuis le Burundi par les rebelles du M23 pour leur maîtrise des combats dans les grandes mégalopoles, sont déjà passés à l’action.
Le M23 souhaite ainsi renforcer ses capacités en techniques de guérilla, en prévision d’une offensive éventuelle de la Brigade d’intervention ou des soldats des Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC).
Des informations confirmées par le coordinateur de la Société civile de Beni, Teddy Kataliko, qui dénonce, depuis plusieurs semaines, la présence des rebelles somaliens sur le territoire congolais.
De même, le commandant des FARDC dans ce secteur, le Colonel Richard Bisambaza, a également indiqué sa préoccupation, affirmant que les éléments des FARDC ont dû effectuer un « repli stratégique» face aux rebelles somaliens. Les acteurs de la Société civile craignent que la région entière du Kivu, déjà très instable, plonge dans le chaos.
AFRIK.COM
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