dimanche 28 juillet 2013

Révélations : Intérêt brusque de Kikwete Jakaya de voir Kabila sortir du ravin au risque se s'attirer la foudre de Kigali !

Dimanche 28 juillet 2013

 
Nouveau homme fort des Etat Unis, Jikaya KIKWETE avec un parcours sans faute

63 ans trempé avec une belle expertise de la région des grands lacs, homme d'une finesse d'esprit d'après les grandes chancelleries, Jakaya KIKWETE, gérant son immense pays qui fait une fois et demi la France aux multiples richesses, è la fois culturelle, avec des ressources naturelles, du tourisme, de l’élite intellectuelle, de la ressource humaine et surtout spirituelle.

Sans contestation, il sera plébiscité par son peuple lors des dernières élections à la présidence de son pays celles de 2005, et remportera le scrutin avec 85% des suffrages exprimés, cet ancien ministre tanzanien des Affaires étrangères.

Élu, président de l'Union Africaine en 2008, il gérera cette institution avec brio où, il tissera un réseau important d'investisseurs et bailleurs de fonds pour servir son pays qui est le mieux sécurisé économique en matière d'investissement.

Et celle de 2010, qu'il rééditera l'exploit avec, moins des voix que les précédentes élections présidentielles, pour un second mandat de cinq ans avec 61,17 % des voix lors de la dernière élection présidentielle.

Fort de son succès électoral incontestable au vu des déclarations des observateurs dépêchés dans le pays pour garantir son impartialité et son côté pluraliste, indépendante et transparente.

Il trouvera sa première caution chez ses anciens colons de la City, place des affaires à Londres , à Buckingham palace chez la Reine, et pour couronner le tout, au 10 Downing Street, chez le premier ministre.

Les germes d'un conflit politique avec son voisin, le Rwanda. Des conflits récurrents à des provocation propre à Kigali.

Jakaya KIKWETE, n'a jamais digéré des allégations selon lesquelles, Paul KAGAME avait comploté contre sa campagne et avait permis à son son plus proche rival, Wilbrod Slaa, qui avait 26% de suffrages lors des dernières élections, de s'être aidé par les éléments du maître de Kigali pour venir en Tanzanie pour bourrer les urnes afin de précipiter la chute de Jakaya KIKWETE.

Fort également du soutien du président le plus puissant de la planète, qui avant de faire sa tournée Africaine, son secrétariat chargé de la stratégie politique et Susan Rice avaient mis en place, la liste des pays à visiter, y compris le Rwanda.

Une tournée qui devrait partir du Sénégal, en passant par l'Afrique du Sud, la Tanzanie, et allait se terminer en apothéose au Rwanda. Kigali se frottait déjà les mains des retombées de ce voyage qui devrait cautionner la politique expansionniste et hégémonique du Rwanda.

Le président américain avait fait une croix d'un stylo sur rouge avec l'aide de ses conseillers la mort dans l'âme, sur sa feuille de route qui devrait nécessairement, l'amener dans le pays natal de son père, le Kenya, dont le président Uhuru Kenyatta est poursuivi par la Cour pénale internationale. Cette malheureuse histoire de la CPI a privé les Kényans de voir de retour au bercail, d'un enfant du pays.

Dans les coulisses du pouvoir, les lobbyistes de Kagame, du Tutsi Power, s'affairaient et se mettaient en branle pour confirmer cette tournée à coup de millions de dollars américain autours des puissants du congrès et proches du président. Un véritable échec cuisant ceux qui croyaient diriger le monde à coup de billets de dollars maculés du sang de Congolais.

Tout a été boutiqué, sans compter sur de la capacité de nuisance de son voisin ennemi Jakaya KIKWETE qui torpillera d'un trait cette hypothétique arrivée du président américain au Rwanda. 


Le Rwanda avait omis de recoudre l'équation Barack avec un inconnu, Kikwete !

Il décrochera personnellement son téléphone pour savonner le maître et tigre en papier, le président Paul KAGAME, apportant des éléments en appui qui ont fait pencher la balance, afin que le président Barack OBAMA renonce à fouler le sol Rwandais.

Il fera aussi comme un bon anglo-saxon, la pression auprès du premier ministre anglais David Camron de tenir ses chiens de la City en laisse pour qu'ils ne fassent pas pression sur les multinationales qui marchent sur les cadavres des opprimés dans le monde.

Une victoire diplomatique de Dar-Es-Salam qui dans les salons feutrés de la Capitale Tanzanienne, les ministres et conseillers du président Kikwete jubilaient, d'après la confidence d'un membre du protocole présidentiel tanzanien.

Le Président Kikwete appellera, Joseph KABILA pour l'assurer de la non venue de Barack OBAMA au Rwanda. Le ministre des affaires étrangères de la RDC Raymond TSHIMABNDA, préparera un Mémo bien fourni de la situation qui prévaut dans l'Est de la RDC, qui Kikwete avec son argumentaire étoffé remettra à main propre, au président américain Barack OBAMA, les deux éléments crucifiant le président Rwandais Paul KAGAME.

Il apprendra à ses dépens, par ses réseaux de lobbyistes, que le président américain ne mettrait pas ses pieds au Rwanda, la cause de ce revirement de la situation se trouverait à Dar-Es- Salam !

Noir de colère, Kagame promet de faire payer à celui qui a osé le défier, le roi de la région des grands lacs. Une guerre des communiqués se met en place, entre Kigali et Dar-Es-Salam sur l'implication des rwandais dans des troubles intestines qui déstabilisent la RDC, et les grands lacs. Des petites phrases assassines qui demandent au Rwanda d'ouvrir le dialogue avec sa rébellion FDLR ( ndlr ).

Une guerre médiatique que le président tanzanien sait faire et qui mettra des plombs dans les ailles de la politique agressive médiatique du Rwanda. Une longueur d'avance que le Rwanda n'arrivera jamais à combler fort de son orgueil suffisance.

Il prend même la liberté de démystifier celui qui est craint par plusieurs pays, en lui resservant le même sort qu'IDI AMINE DADA. Le décor est planté pour des nouvelles hostilités entre ces deux pays.

Paul KAGAME, essaye en vain de montrer à la face du monde que les soldats tanzaniens de la force d'intervention sont avec les fdlr, en exhibant un faux passeport Tanzanien de celui qui se battait aux cotés des « génocidaires de fdlr ». Peine perdue, on connaît les méthodes du Rwanda et personne n'est dupe.

Personne ne veut incriminé celui qui a des bonnes entrées partout, au sein de la communauté internationale et ses militaires ont fait preuve d'une grande discipline et maturité militaire.

Le président Jikaya KIKWETE, veut la mort de Paul KAGAME, pour son sacre dans la région

Le président, Jakaya Kikwete, veut la mort politique de Paul KAGAME, prend cette affaire pour une affaire personnelle, en plus de cela, cette affaire est agrémentée par des juteux contrats obscurs que Kikwete vient de signer avec la RDC (Joseph KABILA), en raflant une bonne partie des contrats extractifs de minerais au Congo, particulièrement dans l'Est du pays.

Une exploitation de gaz du Lac Albert, les blocs pétroliers de la province orientale etc, Une manne tombée du ciel que le président tanzanien ne pouvait ignorer, vu la conjoncture et la crise qui sévit partout dans le monde ..

C'est du tout bénef pour ce pays qui a besoin de soutenir son économie bien que florissante, avec des injections des capitaux frais, et également avec un besoin énergivore de ses industries et la modernisation de ses villes. Parlant d'énergie, les sociétés tanzaniennes, rentrent en course pour la main mise sur l'Inga III avec un autre prédateur l'Afrique du Sud..

D'ailleurs, il sera le premier à positionner son général, le commandant Mwakibolia, et ses troupes qui prendront la tête de l'opération d'intervention rapide et de fait, change la donne dans la région avec l'appui ferme des Etats Unis de gérer ces conflits...


Avec un colonel inconnu au régiment, le fameux miraculeux MAMADOU, un tanzanien tout fait, qui fait comme par hasard des prouesses militaires jamais réalisées dans l'Est.

Paul KAGAME, sort de ses gonds, essaye d'user de ses contacts pour empêcher le déploiement de ces tanzaniens, il a été renvoyé comme un petit écolier, c'est effet Kikwete .

Le président Tanzanien, expert dans la résolution de conflits qu'il a fait montre quand il fut le ministre des affaires étrangères, un fin stratège à unanimité, selon ses collègues anciens à UA (Union Africaine).

Il montrera à la communauté internationale, sa gestion de crise avec les séparatistes qui sévissaient dans son pays, et comment il a pu pacifier son pays avec des multitudes d’îles qui voulaient leurs autonomies. Quoi que d'autres sont aujourd'hui, sont pacifiées et d'autres en semi-autonomie !

Paul KAGAME n'est plus crédible encore moins fréquentable

Les états retirent leur quitus donné à Paul KAGAME, pour choisir un homme intègre qui a de l'envergure et qui n'a pas un passé pesant avec casseroles. Kikwete devient le maître incontesté de la région, qui aujourd'hui se permet de narguer le tout puissant Paul KAGAME.

Le président des Etats Unis a trouvé de cet interlocuteur, un allié de confiance et valable pour la pacification de l'Afrique centrale, particulièrement, les pays des grands lacs, tout en abandonnant l'option Museveni-Kagame, trop problématique et périlleuse !

Joseph KABILA en danger de mort permanentent au regard sa méconnaissance de la région et de son défi contre Paul KAGAME

Que deviendra-t-il Joseph KABILA qui avait mangé avec le diable même avec une longue cuillère, et qui détiendrait de surcroît des secrets de la mort de Mzé KABILA et des massacres de la population congolaise, qui pourront faire tomber Paul KAGAME et éclabousser plusieurs états ?

Tous les grands analystes s'accordent à dire, où, Kabila sortira vainqueur ragaillardi de la guerre qui fragile son mentor où, il finira sa vie comme les trois autres présidents tués par celui que tous les soupçons concordent vers lui !

Les gagnants dans cet imbroglio politico-maffio et économique c'est ceux qui se réclament amis de la RDC, Tanzanie, Afrique du Sud, Zimbabwe, le Congo Brazzaville, multinationales etc. 


Et les laissés pour compte, c'est le peuple congolais qui n'a pas eu la possibilité de jouir depuis l'indépendance de son pays encore moins de ses richesses immenses..

Une chose, est cependant certaine, même si Joseph KABILA a suivi les conseils de son aîné Kikwete de reformer l'armée avec des instructeurs venus de Tanzanie. Même s'il a viré ces petits vassaux « faux banyamulengés» qui faisaient le guet et renseignés Kagame dans l'armée de la Fardc.

Son sort reste dans les mains de Tutsi qui n'hésiterons pas une seconde à lui faire payer sa traîtrise. Il en reste pas moins, non les moindres, ses conseillers occultes, tels que Ruberwa, qui se pavane toujours dans la ville de Kinshasa avec sa milice non brassée et Bizima KARAHA, le fourbe qui écume, bars et boites de nuit de la capitale Kinoise sans crainte.

Détesté par les Congolais, et pour faire bonne figure afin d'avoir le peuple derrière lui, il convoque des concertations, mal ficelées et contestées par tous. Il est rattrapé entre autre par sa fourberie, sa tricherie aux deux élections présidentielles et collision avec les ennemis de la RDC. Sa vie est déjà pénible, celle du futur ne sera jamais, un long fleuve tranquille.

Pour sa sécurité personnelle, Kikwete grand protecteur de Kabila qui gère en quelque sorte sa vie, a dépêché pour sa protection personne plus de 4000 gardes présidentielles disciplinés, triés sur au volet, qui sont au service de Joseph KABILA nuit et jour.

En récompense de cause, Kabila a placé une bonne partie de magots spoliés à la RDC à des multiples banques à Dar- Es-Salam. Et ceux qui veulent voir les grands travaux d'hercule que KABILA a réalisé dans son pays d'enfance la Tanzanie, sera éberlué avec un pincement au coeur.

Le Congo sortira peut être de ces troubles qui embrasent ses régions, mais restera assujetti aux tractations que Kabila et sa bande ont consenti avec la mafia internationale. Une hypothèque dommageable pour plusieurs générations sacrifiées..

Roger BONGOS

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