23/08/2013
Un véhicule diplomatique dans les rues d'Abidjan
Pendant l’heure de la descente à Abidjan, il n’est pas rare de voir dans les files des véhicules banalisés qui font du transport en commun appelé "woro-woro ", des véhicules de services avec parfois des plaques d’immatriculation officielles faire la queue, ces chauffeurs utilisent les voitures de services pour effectuer le transport en commun aux heures de pointe.
Le phénomène qui n’est pas nouveau sait rester discret et pour cause.
Des chauffeurs de l’administration, de compagnies privées ou même de particuliers utilisent les véhicules de services dont ils ont la charge pour effectuer le transport en commun à travers la capitale économique Ivoirienne Ivoirienne, Abidjan.
On les voit apparaître surtout les soirs aux heurs de pointe, ils se joignent dans les files des "woro-woro ", ces véhicules banalisés qui effectuent le transport en oommun intercommunaux, ils paient les "taxes" de chargement propres à chaque gare et peuvent facilement embarquer des personnes vers la destination choisie.
Ce sont généralement des voitures neuves, bien entretenues et parfois de grandes marques ou des minicars de transport du personnel qui vous embarquent pour Cocody, Yopougon ou Port-Bouet entre autres, moyennant le même tarif pratiqué pour la distance.
L’un des chauffeurs interrogé, ce mercredi, à bord d’une Peugeot 406 neuve, en direction de Yopougon, nous confie qu’il a l’habitude de faire son petit trafic les soirs à la descente.
Au lieu de rentrer vide comme il le dit, il prend des passagers qui vont dans sa direction et se fait ainsi des sous. À la question de savoir s’il sait que c’est interdit et s’il na pas peur d’être pris, il rétorque : "Je sais mais on va faire comment,ça me permet de joindre les deux bouts" affirme-il avant d’ajouter "surtout les week-ends".
Car certains d’entre eux poussent le bouchon plus loin en faisant carrément le "woro-woro" les samedis et dimanche.
Un autre petit trafic comme on en rencontre beaucoup dans toutes les capitales du monde.
_____
Nanita
Un véhicule diplomatique dans les rues d'Abidjan
Pendant l’heure de la descente à Abidjan, il n’est pas rare de voir dans les files des véhicules banalisés qui font du transport en commun appelé "woro-woro ", des véhicules de services avec parfois des plaques d’immatriculation officielles faire la queue, ces chauffeurs utilisent les voitures de services pour effectuer le transport en commun aux heures de pointe.
Le phénomène qui n’est pas nouveau sait rester discret et pour cause.
Des chauffeurs de l’administration, de compagnies privées ou même de particuliers utilisent les véhicules de services dont ils ont la charge pour effectuer le transport en commun à travers la capitale économique Ivoirienne Ivoirienne, Abidjan.
On les voit apparaître surtout les soirs aux heurs de pointe, ils se joignent dans les files des "woro-woro ", ces véhicules banalisés qui effectuent le transport en oommun intercommunaux, ils paient les "taxes" de chargement propres à chaque gare et peuvent facilement embarquer des personnes vers la destination choisie.
Ce sont généralement des voitures neuves, bien entretenues et parfois de grandes marques ou des minicars de transport du personnel qui vous embarquent pour Cocody, Yopougon ou Port-Bouet entre autres, moyennant le même tarif pratiqué pour la distance.
L’un des chauffeurs interrogé, ce mercredi, à bord d’une Peugeot 406 neuve, en direction de Yopougon, nous confie qu’il a l’habitude de faire son petit trafic les soirs à la descente.
Au lieu de rentrer vide comme il le dit, il prend des passagers qui vont dans sa direction et se fait ainsi des sous. À la question de savoir s’il sait que c’est interdit et s’il na pas peur d’être pris, il rétorque : "Je sais mais on va faire comment,ça me permet de joindre les deux bouts" affirme-il avant d’ajouter "surtout les week-ends".
Car certains d’entre eux poussent le bouchon plus loin en faisant carrément le "woro-woro" les samedis et dimanche.
Un autre petit trafic comme on en rencontre beaucoup dans toutes les capitales du monde.
_____
Nanita
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire