21.08.2013
L'ancien président égyptien Hosni Moubarak pourrait bientôt être libéré de prison, alors que se poursuit une vague d’arrestations des membres des Frères musulmans.
Parallèlement, les pays occidentaux réexaminent leur assistance à la nation la plus peuplée du monde arabe.
Un tribunal égyptien a ordonné la libération de l'ex-président Hosni Moubarak actuellement emprisonné pour corruption.
Des responsables gouvernementaux disent qu'il pourrait être libéré dans les deux jours, à moins que le bureau du procureur ne décide d'introduire un recours. Il sera toujours confronté à un nouveau procès sous d’autres chefs d'accusation.
Le jugement de ce mercredi concernait une affaire d'enrichissement illicite sous forme de cadeaux offerts par le principal organe de presse étatique, Al-Ahram.
Un tribunal égyptien a ordonné la libération de l'ex-président Hosni Moubarak actuellement emprisonné pour corruption.
Des responsables gouvernementaux disent qu'il pourrait être libéré dans les deux jours, à moins que le bureau du procureur ne décide d'introduire un recours. Il sera toujours confronté à un nouveau procès sous d’autres chefs d'accusation.
Le jugement de ce mercredi concernait une affaire d'enrichissement illicite sous forme de cadeaux offerts par le principal organe de presse étatique, Al-Ahram.
Mais M. Moubarak a remboursé la somme qu'il était accusé d'avoir perçue, soit 2,6 millions de dollars), ce qui annule les poursuites, selon des sources judiciaires.
Mais la libération de M. Moubarak, dont le régime a été emporté par une révolution populaire en 2011, intervient tandis que le premier président librement élu de la nation, l’islamiste Mohamed Morsi, reste en détention, ce qui est susceptible de provoquer de nouvelles turbulences dans un pays au bord de l’éclatement.
Mais la libération de M. Moubarak, dont le régime a été emporté par une révolution populaire en 2011, intervient tandis que le premier président librement élu de la nation, l’islamiste Mohamed Morsi, reste en détention, ce qui est susceptible de provoquer de nouvelles turbulences dans un pays au bord de l’éclatement.
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