Jeudi, 17 Octobre 2013
Le dictateur congolais, Denis Sassou N'Guesso venait de quitter le sol congolais, pour se rendre à Ouagadougou où il attendu au 20ème anniversaire de l'« Ohada ».
Mais, il écourte son séjour pour gérer la crise qui le confronte à son allié d'hier, l'armée angolaise qui vient d'annexer 5 localités congolaises situées à proximité de la frontière Rdc /Congo-B/ Cabinda. De notre correspondant à Dolisie.
Le dictateur angolais José Edouard Dos Santos (gauche) et le dictateur congolais Denis Sassou N'Guesso (droite).
Sassou était attendu ce mercredi 16 Otobre 2013 à Ouagadougou pour le sommet du 20ème anniversaire de l'« Ohada ».
Pendant que le torchon brûle avec l'Angola. Le président congolais a décidé de marquer sa présence à ce sommet, puis a préféré envoyer un soldat de Dolisie, nommé depuis 6 mois Commandant de zone de Kimongo, une localité envahie actuellement par l'armée angolaise venue de l'enclave du Cabinda occupé.
Cependant, la réaction de l'armée angolaise a été surprenante, le Commande de zone Christian Euloge Loubaki et 47 de ses soldats seront enlevés et déportés lundi 13 septembre 2013 dans l'enclave cabindaise occupée où l'armée angolaise déploie près de 40 000 soldats pour 500 000 habitants.
Ainsi, monsieur Sassou qui a tenté joué à l'apaisement avec son allié angolais, décide d'un retour urgent dans la capitale congolaise, l'heure indiquée du décollage est prévu à 10 heures de l'aéroport de Ouagadougou.
Finalement il n'assistera plus au sommet du 20ème anniversaire de l'« Ohada ». Du côté des médias et des autorités angolaises et congolaise, c'est le mutisme total, face à cette situation qui risque de dégénéré.
LA CHUTE DE SASSOU EST-ELLE EN MARCHE ?
Les soldats des l'« Forces Armées Angolaises (FAA) » seront-ils en route vers Dolisie et Loudima, ils occupent actuellement, près de cinq (5) localités (Kimongo, Pangui, Iloupaga, Yanza et Ngandambinda). 47 militaires de l'armée congolaise sont capturés depuis lundi 13 septembre 2013.
Les agissements angolais interviennent au moment où le dictateur congolais est affaibli aux niveaux national et international par les scandales des « Biens mal acquis » et l'« Affaire des disparus de Beach ».
Cette situation ne scucite guerre d'intérêt pour les médais actuellement, un silence radio jusquà l'« Élysée » qui n'a pas encore demandé à ses ressortissants installés au Congo d'observer une prudence, signe qu'il n'y a pas urgence de dégradation de la situation militaire entre l'Angola et le Congo-Brazzaville.
DE L'AMOUR À LA HAINE ?
L'armée angolaise a aidé le dictateur congolais à reprendre les rênes de Brazzaville à l'issue d'un coup d'état transformé en guerre civile. L'intervention de l'armée angolaise a été capitale au point où le nouvel homme fort du Congo-Brazzaville autorisait l'armée angolaise à violer les frontières de son pas pour traquer les indépendantistes cabindais réfugies dans le pays.
Mais une interrogation subsiste : Qu'est ce qui pousse l'armée angolaise à conduire une opération militaire dans un pays souverain ?
Rien n'est filtré jusqu'ici, une chose à craindre, que cette provocation provoque une escalade militaire dans cette région, où les indépendantistes cabindais viennent de tenir d'urgence une réunion militaire dans la forêt du Mayombe, près de la frontière.
LES IMAGES DU COMMANDANT DE ZONE DE KIMONGO, ENLEVÉ ET DÉPORTÉ PAR LA SOLDATESQUE ANGOLAISE DANS LE CABINDA OCCUPÉ :
Le commandant de zone de Kimongo, Christian Euloge Loubaki, arrêté et déportés au Cabinda voisin occupé par l'armée angolaise.
Affaire à suivre ........
_________________
Réseau Nerrati-Press
Le dictateur congolais, Denis Sassou N'Guesso venait de quitter le sol congolais, pour se rendre à Ouagadougou où il attendu au 20ème anniversaire de l'« Ohada ».
Mais, il écourte son séjour pour gérer la crise qui le confronte à son allié d'hier, l'armée angolaise qui vient d'annexer 5 localités congolaises situées à proximité de la frontière Rdc /Congo-B/ Cabinda. De notre correspondant à Dolisie.
Le dictateur angolais José Edouard Dos Santos (gauche) et le dictateur congolais Denis Sassou N'Guesso (droite).
Sassou était attendu ce mercredi 16 Otobre 2013 à Ouagadougou pour le sommet du 20ème anniversaire de l'« Ohada ».
Pendant que le torchon brûle avec l'Angola. Le président congolais a décidé de marquer sa présence à ce sommet, puis a préféré envoyer un soldat de Dolisie, nommé depuis 6 mois Commandant de zone de Kimongo, une localité envahie actuellement par l'armée angolaise venue de l'enclave du Cabinda occupé.
Cependant, la réaction de l'armée angolaise a été surprenante, le Commande de zone Christian Euloge Loubaki et 47 de ses soldats seront enlevés et déportés lundi 13 septembre 2013 dans l'enclave cabindaise occupée où l'armée angolaise déploie près de 40 000 soldats pour 500 000 habitants.
Ainsi, monsieur Sassou qui a tenté joué à l'apaisement avec son allié angolais, décide d'un retour urgent dans la capitale congolaise, l'heure indiquée du décollage est prévu à 10 heures de l'aéroport de Ouagadougou.
Finalement il n'assistera plus au sommet du 20ème anniversaire de l'« Ohada ». Du côté des médias et des autorités angolaises et congolaise, c'est le mutisme total, face à cette situation qui risque de dégénéré.
LA CHUTE DE SASSOU EST-ELLE EN MARCHE ?
Les soldats des l'« Forces Armées Angolaises (FAA) » seront-ils en route vers Dolisie et Loudima, ils occupent actuellement, près de cinq (5) localités (Kimongo, Pangui, Iloupaga, Yanza et Ngandambinda). 47 militaires de l'armée congolaise sont capturés depuis lundi 13 septembre 2013.
Les agissements angolais interviennent au moment où le dictateur congolais est affaibli aux niveaux national et international par les scandales des « Biens mal acquis » et l'« Affaire des disparus de Beach ».
Cette situation ne scucite guerre d'intérêt pour les médais actuellement, un silence radio jusquà l'« Élysée » qui n'a pas encore demandé à ses ressortissants installés au Congo d'observer une prudence, signe qu'il n'y a pas urgence de dégradation de la situation militaire entre l'Angola et le Congo-Brazzaville.
DE L'AMOUR À LA HAINE ?
L'armée angolaise a aidé le dictateur congolais à reprendre les rênes de Brazzaville à l'issue d'un coup d'état transformé en guerre civile. L'intervention de l'armée angolaise a été capitale au point où le nouvel homme fort du Congo-Brazzaville autorisait l'armée angolaise à violer les frontières de son pas pour traquer les indépendantistes cabindais réfugies dans le pays.
Mais une interrogation subsiste : Qu'est ce qui pousse l'armée angolaise à conduire une opération militaire dans un pays souverain ?
Rien n'est filtré jusqu'ici, une chose à craindre, que cette provocation provoque une escalade militaire dans cette région, où les indépendantistes cabindais viennent de tenir d'urgence une réunion militaire dans la forêt du Mayombe, près de la frontière.
LES IMAGES DU COMMANDANT DE ZONE DE KIMONGO, ENLEVÉ ET DÉPORTÉ PAR LA SOLDATESQUE ANGOLAISE DANS LE CABINDA OCCUPÉ :
Le commandant de zone de Kimongo, Christian Euloge Loubaki, arrêté et déportés au Cabinda voisin occupé par l'armée angolaise.
Affaire à suivre ........
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