28 décembre, 2013
Des soldats tchadiens en patrouille à Bangui, en août 2013
Des ressortissants tchadiens à bord de plusieurs dizaines de voitures s'apprêtaient samedi matin à quitter Bangui, pour rejoindre leur pays.
Ils quittaient Bangui sous les huées des habitants de la capitale de la République centrafricaine (RCA).
Vendredi déjà, un convoi de civils tchadiens avait pris la route menant vers leur pays pour fuir les violences à Bangui.
Des Centrafricains accusent les Tchadiens de soutenir les ex-rebelles Séléka, dont certains sont originaires du Tchad.
Les violences interconfessionnelles se sont multipliées entre les milices chrétiennes "anti-balaka" (anti-machette, en langue sango) et la Séléka, l'ex-rébellion majoritairement musulmane, qui a chassé le président François Bozizé en mars 2013.
Le gouvernement tchadien a lancé depuis une semaine une opération de rapatriement de ses ressortissants en RCA. Plus de 2.500 d'entre eux sont arrivés à N’Djamena par avion.
Des soldats tchadiens en patrouille à Bangui, en août 2013
Des ressortissants tchadiens à bord de plusieurs dizaines de voitures s'apprêtaient samedi matin à quitter Bangui, pour rejoindre leur pays.
Ils quittaient Bangui sous les huées des habitants de la capitale de la République centrafricaine (RCA).
Vendredi déjà, un convoi de civils tchadiens avait pris la route menant vers leur pays pour fuir les violences à Bangui.
Des Centrafricains accusent les Tchadiens de soutenir les ex-rebelles Séléka, dont certains sont originaires du Tchad.
Les violences interconfessionnelles se sont multipliées entre les milices chrétiennes "anti-balaka" (anti-machette, en langue sango) et la Séléka, l'ex-rébellion majoritairement musulmane, qui a chassé le président François Bozizé en mars 2013.
Le gouvernement tchadien a lancé depuis une semaine une opération de rapatriement de ses ressortissants en RCA. Plus de 2.500 d'entre eux sont arrivés à N’Djamena par avion.
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