le 30 janvier 2016
C'était lors du sommet de Johannesburg, en juin 2015. Les chefs d'État et de gouvernement décidaient de « s'approprier » le budget de l'Union africaine (UA).
L’objectif : que ses États membres financent, d’ici à cinq ans, l’intégralité de son budget de fonctionnement, 75 % de ses programmes et 25 % de ses opérations de paix et de sécurité. Il reste bien du chemin à parcourir.
L’immense majorité des programmes (programme frontières, conception de la grande muraille verte pour le Sahel, bourses d’étude…), aux contours assez flous, est financée par des partenaires internationaux.
La seule opération de maintien de la paix sous la conduite de l’UA (l’Amisom, en Somalie) est financée par des bailleurs étrangers. Les missions au Mali, en Centrafrique ou en RD Congo sont, elles, prises en charge par l’ONU.
Pierre Boisselet
Jeune Afrique
C'était lors du sommet de Johannesburg, en juin 2015. Les chefs d'État et de gouvernement décidaient de « s'approprier » le budget de l'Union africaine (UA).
L’objectif : que ses États membres financent, d’ici à cinq ans, l’intégralité de son budget de fonctionnement, 75 % de ses programmes et 25 % de ses opérations de paix et de sécurité. Il reste bien du chemin à parcourir.
L’immense majorité des programmes (programme frontières, conception de la grande muraille verte pour le Sahel, bourses d’étude…), aux contours assez flous, est financée par des partenaires internationaux.
La seule opération de maintien de la paix sous la conduite de l’UA (l’Amisom, en Somalie) est financée par des bailleurs étrangers. Les missions au Mali, en Centrafrique ou en RD Congo sont, elles, prises en charge par l’ONU.
Pierre Boisselet
Jeune Afrique
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