Des soldats des FARDC
Après les provinces du Kivu et la Province Orientale partageant des frontières communes notamment avec le Burundi, le Rwanda et l’Ouganda va-t-on vers la déstabilisation de la Province de Bandundu frontalière à l’Angola?
Selon des sources diplomatiques à Kinshasa, un dépôt de munitions situé à Kikwit a été attaqué dans la nuit du mardi 2 au mercredi 3 novembre par des individus non autrement identifiés. Ils auraient emporté une importante quantité d’armes et munitions. Après des échanges de coups de feu au niveau du camp militaire, plusieurs éléments des FARDC (Forces armées de la RD Congo) auraient été tués. «Trois soldats ont été tués», indiquent ces sources. Quelques «assaillants» auraient été capturés. Qui sont-ils ces assaillants? D’où viennent-ils ? Et si c’était une mise en scène montée par le pouvoir pour justifier quelques arrestations de quelques partisans du général Faustin Munene ?
Depuis l’attaque, le 27 septembre dernier, de la résidence du général Faustin Munene, une ambiance détestable règne entre «Joseph Kabila» et certains officiers des FARDC n’appartenant pas au «clan» rwando-ougandais à l’origine de la création de l’AFDL (Alliance des forces démocratiques pour la libération du Congo-Zaïre) et du RCD-Goma. Cet officier a fait toute sa carrière militaire en Angola. Depuis plus d’un mois, Munene n’a plus donné signe de vie. Certains le donnent pour mort. D’autres l’auraient aperçu dans un «maquis» en Angola. L’intéressé reste muet. Le récent décès du général «Mufu» qui a appartenu à la même «mouvance angolaise» fait dire à certains observateurs que «Kabila» a engagé le pari d’éliminer tous les militaires susceptibles de lui faire ombrage dans son "pacte" avec le régime de Kigali et de Kampala. Selon certains témoignages, le «raïs» n’a jamais pardonné à Mufu une phrase que celui-ci lui avait craché devant Laurent-Désiré à Lubumbashi :«Vous n’êtes pas de nôtres!».
Qui sont les hommes qui ont attaqué le dépôt d’armes et munitions à Kikwit ? «Ils parlaient une langue inconnue dans le coin», indiquent les mêmes sources.
Depuis l’attaque, le 27 septembre dernier, de la résidence du général Faustin Munene, une ambiance détestable règne entre «Joseph Kabila» et certains officiers des FARDC n’appartenant pas au «clan» rwando-ougandais à l’origine de la création de l’AFDL (Alliance des forces démocratiques pour la libération du Congo-Zaïre) et du RCD-Goma. Cet officier a fait toute sa carrière militaire en Angola. Depuis plus d’un mois, Munene n’a plus donné signe de vie. Certains le donnent pour mort. D’autres l’auraient aperçu dans un «maquis» en Angola. L’intéressé reste muet. Le récent décès du général «Mufu» qui a appartenu à la même «mouvance angolaise» fait dire à certains observateurs que «Kabila» a engagé le pari d’éliminer tous les militaires susceptibles de lui faire ombrage dans son "pacte" avec le régime de Kigali et de Kampala. Selon certains témoignages, le «raïs» n’a jamais pardonné à Mufu une phrase que celui-ci lui avait craché devant Laurent-Désiré à Lubumbashi :«Vous n’êtes pas de nôtres!».
Qui sont les hommes qui ont attaqué le dépôt d’armes et munitions à Kikwit ? «Ils parlaient une langue inconnue dans le coin», indiquent les mêmes sources.
Info Congoindependant.com
© Congoindépendant 2003-2010
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