« la France vient d’adresser un sévère rappel à l’ordre au Président Guinéen Alpha Condé pour qu’il lève l’interdiction faite aux médias guinéens de parler de l’attentat du 19 Juillet 2011 commis contre sa résidence, et qu’il organise des élections législatives...»
L’Agence France Presse (AFP) a relaté dans un de ses écrits, que « la France vient d’adresser un sévère rappel à l’ordre au Président Guinéen Alpha Condé pour qu’il lève l’interdiction faite aux médias guinéens de parler de l’attentat du 19 Juillet 2011 commis contre sa résidence, et qu’il organise des élections législatives ».
C’est souventes fois, pour nos états, qu’elle se permet de telles injonctions. Et pourtant lorsque le président américain Bush a demandé un black-out des médias américains sur l’attaque des tours jumelles le 11 septembre 2001 et sur la guerre en Irak, la France n’a pas osé demander au Président américain une levée de cette interdiction.
De quel droit la France s’immisce-t-elle dans les affaires intérieures d’un état souverain et particulièrement des pays africains indépendants ? N’est-elle donc que le censeur de tous les dirigeants politiques africains ?
C’est seulement pour nos pays qu’elle se permet ces menaces et agit comme juge. Si juge elle est, nous avons des raisons valables de la récuser pour suspicion légitime et même parti pris flagrant. En effet, elle nous a déjà montré, que ses prises de position ne sont pas sans calcul. Elle met tout en œuvre pour promouvoir ses intérêts, au détriment des états africains.
En Afrique, la France fait toujours la promotion de la dictature et de la violence. Les élections dans ses ex -colonies l’attestent (cas de la Côte d’Ivoire et du Gabon). Dans ces pays, elle dit publiquement désirer des élections démocratiques, mais dans les faits, impose, par tous les moyens, le candidat susceptible de faire prospérer ses intérêts. On constate alors que la France soutient théoriquement la démocratie, mais en pratique, fait prospérer la dictature dans nos états. C’est pourquoi, à travers ses médias, aidée de ses pantins (rebelles et mercenaires) comme au temps de la traite négrière et des organisations politico-économiques africaines et internationales, elle planifie des guerres civiles, suscite des massacres, des génocides et vilipende les démocrates et patriotes africains quand elle voit la défaite de ses hommes de main poindre à l’horizon.
En effet, elle ne cesse de perpétrer des coups d’états électoraux (inversion des résultats au Gabon au profit de son candidat) ou militaires (récemment en Côte d’ivoire). A la vérité, elle a initié et entretenu plusieurs guerres et coups d’état en Afrique (Angola, Nigéria, Tchad, Libéria, Sierra Léone, Rwanda, Guinée-Bissau, Lybie, Côte d’Ivoire, etc.). C’est ainsi qu’elle cherche à perpétuer ses intérêts en Afrique, au détriment des pays africains qu’elle considère, toujours, comme sa vache à lait.
Ce comportement dictatorial, criminel et barbare est entretenu par les médias à sa solde, en l’occurrence la quasi totalité des médias français ainsi que tous les autres médias internationaux qui relayent en boucle des informations mensongères, intoxiquant ainsi les innocentes populations de l’hexagone, d’Afrique et même du reste du monde.
C’est pourquoi, ses citoyens et une bonne partie du monde ne peuvent imaginer, un seul instant, la politique dictatoriale de la France en dehors de ses frontières et particulièrement dans les pays africains. Elle n’est pas un modèle de démocratie en Afrique, mais la pire des dictatures.
C’est ainsi qu’elle vient, contre l’avis du Conseil Constitutionnel ivoirien, avec une violence armée inouïe, avec l’appui de l’ONU et des mercenaires de la sous-région, de fomenter le coup d’état le plus long et le plus meurtrier, pour renverser le Président réélu GBAGBO et installer au pouvoir, l’homme garant de ses intérêts, Ouattara.
De plus, après avoir réussi son coup de force pour installer son poulain en Côte d’Ivoire, elle ne s’inquiète nullement des graves atteintes aux droits de l’homme dans ce pays. Pas une seule fois, la France n’a condamné les agissements criminels des rebelles pro-Ouattara.
Ce pays, qui demande plus de liberté pour la presse guinéenne, continue de se taire sur les graves dérives du pouvoir Ouattara à l’encontre de la presse pro-GBAGBO : vols des équipements d’impression et d’édition de ladite presse, incendies et occupations des sièges des journaux, arrestations, emprisonnements arbitraires et assassinats de journalistes.
La balance de la « Justice – France » en Afrique est truquée par l’hypocrisie et le mensonge permanents de ses dirigeants politiques. Elle est un mauvais juge qui ne tient pas compte de nos indépendances et qui prend nos états, encore aujourd’hui, pour ses territoires d’outre-mer. Aveuglée par sa soif insatiable des richesses de l’Afrique, elle refuse de changer sa vision colonialiste de ce continent.
En Guinée, après la décision de l’organe chargé de la régulation de la communication, relativement au black-out sur l’assassinat manqué du Président Condé, la France qui brocarde nos institutions et nos lois, trouve les moyens, par son Porte-parole, d’intimer l’ordre à ce pays indépendant de lever cette interdiction.
Plus grave encore, la France va jusqu’à demander aux autorités guinéennes d’organiser, au plus vite, des élections législatives. Nous sommes alors dans la situation ivoirienne où elle sommait la Côte d’Ivoire d’organiser l’élection présidentielle et ce, dans un pays coupé en deux, occupé par ses forces (Licorne, ONUCI, rebelles de Ouattara). Quand on sait qu’elle préparait plutôt un coup d’état électoral, on peut s’interroger valablement sur son empressement à exiger ces élections. La France ne serait –elle donc pas à l’origine de cette attaque contre la résidence du Président Guinéen ?
Surtout qu’aujourd’hui, la preuve est faite qu’elle avait conçu un plan diabolique pour réaliser un coup d’état électoral, par la suite transformé en coup d’état militaire, pour imposer son larbin en Côte d’Ivoire. C’est dire donc que la France a quelque chose contre Alpha Condé : elle intime l’ordre d’organiser des élections pour faire accepter ses poulains au peuple de Guinée; comme elle a installé de force Ouattara, elle veut imposer aux guinéens, les opposants actuels dont Sidia Touré, ancien Directeur de Cabinet de Ouattara alors Premier Ministre de Côte d’Ivoire. Quel plan machiavélique pour installer dans les états africains ses hommes de mains !
La France se prépare donc, par la fraude dont elle a seule le secret, à offrir le parlement à l’opposition guinéenne, pour empêcher le Président CONDE de gouverner efficacement, comme elle s’est opposée au Président GBAGBO dans le déroulement de son ambitieux et original programme de gouvernement en Côte d’Ivoire.
C’est au digne peuple guinéen de savoir discerner le projet dictatorial, injuste et funeste de la France afin de pouvoir y faire front, c’est-à-dire de continuer vaillamment le travail du Président Ahmed Sékou TOURE pour une indépendance véritable de la Guinée.
Oh ! France qui ne connait pas la honte ! Notre faiblesse militaire ne nous permet pas de réagir à tes mauvaises actions et de te donner les corrections que tu mérites. Néanmoins, nous comptons sur Dieu qui dit dans la Bible « à moi la vengeance, à moi la rétribution », pour te châtier de tes nombreux crimes en Côte d’Ivoire et partout en Afrique. Examine simplement ton histoire ; les deux guerres mondiales sont le fruit de ta méchanceté extrême, manifestée par l’esclavage et la colonisation. Alors continues et tu payeras sûrement le prix de ton orgueil, de l’appauvrissement et de l’exploitation des pays africains !
Devant ta persistance à toujours t’immiscer dans nos affaires africaines, à toujours agir contre nos intérêts, à massacrer impunément et avec le concours de la soi-disant communauté Internationale les jeunes africains, espoir de tout un continent, sache que, très bientôt, des africains dignes vont ignorer tes injonctions permanentes et saugrenues.
C’est pourquoi, nous encourageons nos nombreux sœurs et frères africains en France, à continuer de manifester par des sit-in, des marches et des meetings, pour dénoncer les méfaits de la dictature française dans les pays africains. C’est seulement ainsi que les actions néfastes, terroristes et dictatoriales de la France seront publiquement dévoilées. Ce pays nous laissera alors exercer librement la démocratie dans nos états africains et nous pourrons véritablement, à l’instar des pays d’Asie du Sud-Est, nous développer dans la paix.
Africaines et africains de tout bord et de partout, disons tous non à la dictature de la France dans les processus démocratiques en Afrique.
Une contribution de patriotes seniors
Source: Cameroonvoice
L’Agence France Presse (AFP) a relaté dans un de ses écrits, que « la France vient d’adresser un sévère rappel à l’ordre au Président Guinéen Alpha Condé pour qu’il lève l’interdiction faite aux médias guinéens de parler de l’attentat du 19 Juillet 2011 commis contre sa résidence, et qu’il organise des élections législatives ».
C’est souventes fois, pour nos états, qu’elle se permet de telles injonctions. Et pourtant lorsque le président américain Bush a demandé un black-out des médias américains sur l’attaque des tours jumelles le 11 septembre 2001 et sur la guerre en Irak, la France n’a pas osé demander au Président américain une levée de cette interdiction.
De quel droit la France s’immisce-t-elle dans les affaires intérieures d’un état souverain et particulièrement des pays africains indépendants ? N’est-elle donc que le censeur de tous les dirigeants politiques africains ?
C’est seulement pour nos pays qu’elle se permet ces menaces et agit comme juge. Si juge elle est, nous avons des raisons valables de la récuser pour suspicion légitime et même parti pris flagrant. En effet, elle nous a déjà montré, que ses prises de position ne sont pas sans calcul. Elle met tout en œuvre pour promouvoir ses intérêts, au détriment des états africains.
En Afrique, la France fait toujours la promotion de la dictature et de la violence. Les élections dans ses ex -colonies l’attestent (cas de la Côte d’Ivoire et du Gabon). Dans ces pays, elle dit publiquement désirer des élections démocratiques, mais dans les faits, impose, par tous les moyens, le candidat susceptible de faire prospérer ses intérêts. On constate alors que la France soutient théoriquement la démocratie, mais en pratique, fait prospérer la dictature dans nos états. C’est pourquoi, à travers ses médias, aidée de ses pantins (rebelles et mercenaires) comme au temps de la traite négrière et des organisations politico-économiques africaines et internationales, elle planifie des guerres civiles, suscite des massacres, des génocides et vilipende les démocrates et patriotes africains quand elle voit la défaite de ses hommes de main poindre à l’horizon.
En effet, elle ne cesse de perpétrer des coups d’états électoraux (inversion des résultats au Gabon au profit de son candidat) ou militaires (récemment en Côte d’ivoire). A la vérité, elle a initié et entretenu plusieurs guerres et coups d’état en Afrique (Angola, Nigéria, Tchad, Libéria, Sierra Léone, Rwanda, Guinée-Bissau, Lybie, Côte d’Ivoire, etc.). C’est ainsi qu’elle cherche à perpétuer ses intérêts en Afrique, au détriment des pays africains qu’elle considère, toujours, comme sa vache à lait.
Ce comportement dictatorial, criminel et barbare est entretenu par les médias à sa solde, en l’occurrence la quasi totalité des médias français ainsi que tous les autres médias internationaux qui relayent en boucle des informations mensongères, intoxiquant ainsi les innocentes populations de l’hexagone, d’Afrique et même du reste du monde.
C’est pourquoi, ses citoyens et une bonne partie du monde ne peuvent imaginer, un seul instant, la politique dictatoriale de la France en dehors de ses frontières et particulièrement dans les pays africains. Elle n’est pas un modèle de démocratie en Afrique, mais la pire des dictatures.
C’est ainsi qu’elle vient, contre l’avis du Conseil Constitutionnel ivoirien, avec une violence armée inouïe, avec l’appui de l’ONU et des mercenaires de la sous-région, de fomenter le coup d’état le plus long et le plus meurtrier, pour renverser le Président réélu GBAGBO et installer au pouvoir, l’homme garant de ses intérêts, Ouattara.
De plus, après avoir réussi son coup de force pour installer son poulain en Côte d’Ivoire, elle ne s’inquiète nullement des graves atteintes aux droits de l’homme dans ce pays. Pas une seule fois, la France n’a condamné les agissements criminels des rebelles pro-Ouattara.
Ce pays, qui demande plus de liberté pour la presse guinéenne, continue de se taire sur les graves dérives du pouvoir Ouattara à l’encontre de la presse pro-GBAGBO : vols des équipements d’impression et d’édition de ladite presse, incendies et occupations des sièges des journaux, arrestations, emprisonnements arbitraires et assassinats de journalistes.
La balance de la « Justice – France » en Afrique est truquée par l’hypocrisie et le mensonge permanents de ses dirigeants politiques. Elle est un mauvais juge qui ne tient pas compte de nos indépendances et qui prend nos états, encore aujourd’hui, pour ses territoires d’outre-mer. Aveuglée par sa soif insatiable des richesses de l’Afrique, elle refuse de changer sa vision colonialiste de ce continent.
En Guinée, après la décision de l’organe chargé de la régulation de la communication, relativement au black-out sur l’assassinat manqué du Président Condé, la France qui brocarde nos institutions et nos lois, trouve les moyens, par son Porte-parole, d’intimer l’ordre à ce pays indépendant de lever cette interdiction.
Plus grave encore, la France va jusqu’à demander aux autorités guinéennes d’organiser, au plus vite, des élections législatives. Nous sommes alors dans la situation ivoirienne où elle sommait la Côte d’Ivoire d’organiser l’élection présidentielle et ce, dans un pays coupé en deux, occupé par ses forces (Licorne, ONUCI, rebelles de Ouattara). Quand on sait qu’elle préparait plutôt un coup d’état électoral, on peut s’interroger valablement sur son empressement à exiger ces élections. La France ne serait –elle donc pas à l’origine de cette attaque contre la résidence du Président Guinéen ?
Surtout qu’aujourd’hui, la preuve est faite qu’elle avait conçu un plan diabolique pour réaliser un coup d’état électoral, par la suite transformé en coup d’état militaire, pour imposer son larbin en Côte d’Ivoire. C’est dire donc que la France a quelque chose contre Alpha Condé : elle intime l’ordre d’organiser des élections pour faire accepter ses poulains au peuple de Guinée; comme elle a installé de force Ouattara, elle veut imposer aux guinéens, les opposants actuels dont Sidia Touré, ancien Directeur de Cabinet de Ouattara alors Premier Ministre de Côte d’Ivoire. Quel plan machiavélique pour installer dans les états africains ses hommes de mains !
La France se prépare donc, par la fraude dont elle a seule le secret, à offrir le parlement à l’opposition guinéenne, pour empêcher le Président CONDE de gouverner efficacement, comme elle s’est opposée au Président GBAGBO dans le déroulement de son ambitieux et original programme de gouvernement en Côte d’Ivoire.
C’est au digne peuple guinéen de savoir discerner le projet dictatorial, injuste et funeste de la France afin de pouvoir y faire front, c’est-à-dire de continuer vaillamment le travail du Président Ahmed Sékou TOURE pour une indépendance véritable de la Guinée.
Oh ! France qui ne connait pas la honte ! Notre faiblesse militaire ne nous permet pas de réagir à tes mauvaises actions et de te donner les corrections que tu mérites. Néanmoins, nous comptons sur Dieu qui dit dans la Bible « à moi la vengeance, à moi la rétribution », pour te châtier de tes nombreux crimes en Côte d’Ivoire et partout en Afrique. Examine simplement ton histoire ; les deux guerres mondiales sont le fruit de ta méchanceté extrême, manifestée par l’esclavage et la colonisation. Alors continues et tu payeras sûrement le prix de ton orgueil, de l’appauvrissement et de l’exploitation des pays africains !
Devant ta persistance à toujours t’immiscer dans nos affaires africaines, à toujours agir contre nos intérêts, à massacrer impunément et avec le concours de la soi-disant communauté Internationale les jeunes africains, espoir de tout un continent, sache que, très bientôt, des africains dignes vont ignorer tes injonctions permanentes et saugrenues.
C’est pourquoi, nous encourageons nos nombreux sœurs et frères africains en France, à continuer de manifester par des sit-in, des marches et des meetings, pour dénoncer les méfaits de la dictature française dans les pays africains. C’est seulement ainsi que les actions néfastes, terroristes et dictatoriales de la France seront publiquement dévoilées. Ce pays nous laissera alors exercer librement la démocratie dans nos états africains et nous pourrons véritablement, à l’instar des pays d’Asie du Sud-Est, nous développer dans la paix.
Africaines et africains de tout bord et de partout, disons tous non à la dictature de la France dans les processus démocratiques en Afrique.
Une contribution de patriotes seniors
Source: Cameroonvoice
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