jeu, 18 août 2011
De autre presse.
Le 18 août 2011 par IVOIREBUSINESS – L’information circule avec insistance et se répand actuellement comme une traînée de poudre parmi les
dignitaires de l’administration Gbagbo et les ivoiriens en exil à Accra au Ghana.
En effet, 15 belles filles d’origine ghanéennes et munies d’armes silencieuses, auraient été mandatées par le nouveau régime d’Abidjan pour éliminer physiquement les dignitaires pro-Gbagbo en exil au pays d’Atta Mills. Pour y parvenir, elles devront user de leur beauté pour entrer dans l’intimité de ces dignitaires du régime Gbagbo.
Elles travailleraient en étroite collaboration avec 3 autres tueurs à gages issus des rangs des FRCI. De belles ivoiriennes font également partie de ce groupe de tueuses, mises à nues par les autorités ghanéennes, qui ont fait de la sécurité des exilés ivoiriens, leur priorité absolue.
L’idée de ce scénario est de rééditer le syndrome Balla Kéita, ex-ministre d’Houphouët Boigny et ancien bras-droit de feu le général Robert Guéï, assassiné à Ouagadougou, alors qu’il était en mission pour le compte de ce dernier dans la capitale burkinabé. Balla Kéïta avait été liquidé par une tueuse à gages mandatée par une haute autorité de la Côte d’Ivoire, pour être malheureusement tombé sur une confidence qu’il n’aurait pas dû savoir.
Aujourd’hui, c’est la même méthode qui est privilégiée par le pouvoir d’Abidjan, connaissant les penchants de certains hauts dignitaires pro-Gbagbo pour les créatures de rêve.
Ces derniers, prenant la menace très au sérieux, ne s’hasardent plus avec quiconque, encore moins des filles de rêve. Conseil leur a été donné de changer de maison tous les 6 mois pour brouiller les pistes.
Une réunion de haut niveau s’est tenue entre ces hauts dignitaires en exil, pour mettre sur pied un code de bonne conduite et pour renforcer leur sécurité, en étroite collaboration avec les autorités ghanéennes, qui ont flairé le filon et qui ne veulent pas avoir le casse tête de leurs assassinats sur la conscience.
Cette situation brouille davantage les relations diplomatiques entre Abidjan et Accra, déjà mises à mal par l’affaire Colonel Boniface Konan, du nom du commandant des fusiliers marins Fumaco ex-Fds rentré d’exil le 29 juillet dernier avec quatre officiers, avec l’assurance de ne pas être inculpé, mais qui ont fini par l’être par le procureur militaire d’Abidjan. Avant que ce dernier ne se dédise dans le sillage de son ministre de tutelle, Koffi Koffi Paul, en charge de la Défense.
Pour Accra, les autorités ivoiriennes n’ont pas le respect de la parole donnée, surtout que le retour de ces exilés militaires s’était fait avec l’accord du Président ghanéen Atta Mills.
Claude Millé Mandjro, correspondant permanent au Ghana
De autre presse.
Le 18 août 2011 par IVOIREBUSINESS – L’information circule avec insistance et se répand actuellement comme une traînée de poudre parmi les
dignitaires de l’administration Gbagbo et les ivoiriens en exil à Accra au Ghana.
En effet, 15 belles filles d’origine ghanéennes et munies d’armes silencieuses, auraient été mandatées par le nouveau régime d’Abidjan pour éliminer physiquement les dignitaires pro-Gbagbo en exil au pays d’Atta Mills. Pour y parvenir, elles devront user de leur beauté pour entrer dans l’intimité de ces dignitaires du régime Gbagbo.
Elles travailleraient en étroite collaboration avec 3 autres tueurs à gages issus des rangs des FRCI. De belles ivoiriennes font également partie de ce groupe de tueuses, mises à nues par les autorités ghanéennes, qui ont fait de la sécurité des exilés ivoiriens, leur priorité absolue.
L’idée de ce scénario est de rééditer le syndrome Balla Kéita, ex-ministre d’Houphouët Boigny et ancien bras-droit de feu le général Robert Guéï, assassiné à Ouagadougou, alors qu’il était en mission pour le compte de ce dernier dans la capitale burkinabé. Balla Kéïta avait été liquidé par une tueuse à gages mandatée par une haute autorité de la Côte d’Ivoire, pour être malheureusement tombé sur une confidence qu’il n’aurait pas dû savoir.
Aujourd’hui, c’est la même méthode qui est privilégiée par le pouvoir d’Abidjan, connaissant les penchants de certains hauts dignitaires pro-Gbagbo pour les créatures de rêve.
Ces derniers, prenant la menace très au sérieux, ne s’hasardent plus avec quiconque, encore moins des filles de rêve. Conseil leur a été donné de changer de maison tous les 6 mois pour brouiller les pistes.
Une réunion de haut niveau s’est tenue entre ces hauts dignitaires en exil, pour mettre sur pied un code de bonne conduite et pour renforcer leur sécurité, en étroite collaboration avec les autorités ghanéennes, qui ont flairé le filon et qui ne veulent pas avoir le casse tête de leurs assassinats sur la conscience.
Cette situation brouille davantage les relations diplomatiques entre Abidjan et Accra, déjà mises à mal par l’affaire Colonel Boniface Konan, du nom du commandant des fusiliers marins Fumaco ex-Fds rentré d’exil le 29 juillet dernier avec quatre officiers, avec l’assurance de ne pas être inculpé, mais qui ont fini par l’être par le procureur militaire d’Abidjan. Avant que ce dernier ne se dédise dans le sillage de son ministre de tutelle, Koffi Koffi Paul, en charge de la Défense.
Pour Accra, les autorités ivoiriennes n’ont pas le respect de la parole donnée, surtout que le retour de ces exilés militaires s’était fait avec l’accord du Président ghanéen Atta Mills.
Claude Millé Mandjro, correspondant permanent au Ghana
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