le17 août 2011
Voie ferrée de l'Onatra au quartier Kingabwa/Limete à Kinshasa, le 01/03/2011.
La Voix des sans voix pour les droits de l’Homme (VSV) se dit préoccupée par vingt enlèvement opérés dans la nuit du mardi 9 août sur l’avenue Marais, quartier Funa, dans la commune de Limete, à Kinshasa.
Selon cette ONG, ce kidnapping a été opéré vers 2 heures du matin, par près de quarante hommes en tenue des FARDC, de la police nationale et de la Garde républicaine.
Le directeur exécutif de la VSV exige l’ouverture d’une enquête indépendante en vue de faire la lumière sur cet enlèvement.
« La VSV est très préoccupée par l’insécurité et surtout par la vie de vingt personnes enlevées par une quarantaine d’hommes lourdement armés à bord de trois véhicules », explique Doly Ibefo.
Selon les informations que détient cette ONG, les personnes enlevées sont détenues au cachot du bataillon PM (Police militaire) du camp Kokolo.
Doly Ibefo se dit inquiet du climat de terreur qui « se traduit par des enlèvements répétés, des arrestations arbitraires en cette période préélectorale »
C’est pourquoi, dit-il, la VSV demande l’ouverture d’une enquête indépendante, la libération des personnes enlevées ainsi que la prise en charge d’un bébé piétiné par un policier lors de l’enlèvement.
Voie ferrée de l'Onatra au quartier Kingabwa/Limete à Kinshasa, le 01/03/2011.
La Voix des sans voix pour les droits de l’Homme (VSV) se dit préoccupée par vingt enlèvement opérés dans la nuit du mardi 9 août sur l’avenue Marais, quartier Funa, dans la commune de Limete, à Kinshasa.
Selon cette ONG, ce kidnapping a été opéré vers 2 heures du matin, par près de quarante hommes en tenue des FARDC, de la police nationale et de la Garde républicaine.
Le directeur exécutif de la VSV exige l’ouverture d’une enquête indépendante en vue de faire la lumière sur cet enlèvement.
« La VSV est très préoccupée par l’insécurité et surtout par la vie de vingt personnes enlevées par une quarantaine d’hommes lourdement armés à bord de trois véhicules », explique Doly Ibefo.
Selon les informations que détient cette ONG, les personnes enlevées sont détenues au cachot du bataillon PM (Police militaire) du camp Kokolo.
Doly Ibefo se dit inquiet du climat de terreur qui « se traduit par des enlèvements répétés, des arrestations arbitraires en cette période préélectorale »
C’est pourquoi, dit-il, la VSV demande l’ouverture d’une enquête indépendante, la libération des personnes enlevées ainsi que la prise en charge d’un bébé piétiné par un policier lors de l’enlèvement.
Source: Direct.cd
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