jeudi 11 avril 2013
Le secrétaire permanent de la Commission des frontières du ministère de l'Intérieur, le professeur Dr Célestin Nguya-Ndila Malengana, a déclaré mercredi 10 avril à Matadi (Bas-Congo) que « c’est depuis 1960 que les frontières ne sont pas surveillées selon les normes » en RD Congo.
Réaffirmant que « les frontières sont comparables à la ligne rouge qu'on ne peut franchir à tout moment », il a relevé que « tout se passe comme si la surveillance des frontières nationales n'intéressait pas les autorités », lors de l’entretien que lui et sa délégation ont eue avec le gouverneur Jacques Mbadu Nsitu di Mavungu en présence du ministre provincial honoraire en charge de l’Intérieur Félicien Mbedi ya Kitembidi et du directeur de cabinet Maurice Vodikulwakidi Lumungi.
Composée d'experts du ministère national de l'Intérieur, cette délégation séjourne au Bas-Congo dans le cadre des « études et analyses sur des rapports liés respectivement à la gestion des frontières », conformément à toutes les correspondances expédiées à Kinshasa.
Le Bas-Congo (ouest de la RDC) est frontalier avec l’Angola et le Congo-Brazzaville. Les peuples de cette région de l’Afrique centrale, qui ont des origines communes, vivent dans les provinces frontalières de l’enclave de Cabinda, d’Uige et du Zaïre (Angola) ainsi du Kouilou et de la Bouenza (Congo). Ils se fréquentent régulièrement.
Gestion de la frontière commune
Compte tenu de l’importance de la mission de la Commission des frontières du ministère de l'Intérieur, le gouverneur Jacques Mbadu a mis à sa disposition quelques responsables provinciaux pour l'accompagner dans sa tâche.
Les experts venus de Kinshasa vont passer au peigne fin tous l’ensemble des problèmes liés à la gestion de la frontière commune avec les pays voisins au niveau du Bas-Congo.
En avril 2012, le gouvernement provincial du Bas-Congo avait procédé au renforcement des mesures d’immigration entre la RDC et l’Angola pour « limiter les mouvements migratoires irréguliers ».
Emmanuel Luzolo N'Zeka
Le Potentiel
Le secrétaire permanent de la Commission des frontières du ministère de l'Intérieur, le professeur Dr Célestin Nguya-Ndila Malengana, a déclaré mercredi 10 avril à Matadi (Bas-Congo) que « c’est depuis 1960 que les frontières ne sont pas surveillées selon les normes » en RD Congo.
Réaffirmant que « les frontières sont comparables à la ligne rouge qu'on ne peut franchir à tout moment », il a relevé que « tout se passe comme si la surveillance des frontières nationales n'intéressait pas les autorités », lors de l’entretien que lui et sa délégation ont eue avec le gouverneur Jacques Mbadu Nsitu di Mavungu en présence du ministre provincial honoraire en charge de l’Intérieur Félicien Mbedi ya Kitembidi et du directeur de cabinet Maurice Vodikulwakidi Lumungi.
Composée d'experts du ministère national de l'Intérieur, cette délégation séjourne au Bas-Congo dans le cadre des « études et analyses sur des rapports liés respectivement à la gestion des frontières », conformément à toutes les correspondances expédiées à Kinshasa.
Le Bas-Congo (ouest de la RDC) est frontalier avec l’Angola et le Congo-Brazzaville. Les peuples de cette région de l’Afrique centrale, qui ont des origines communes, vivent dans les provinces frontalières de l’enclave de Cabinda, d’Uige et du Zaïre (Angola) ainsi du Kouilou et de la Bouenza (Congo). Ils se fréquentent régulièrement.
Gestion de la frontière commune
Compte tenu de l’importance de la mission de la Commission des frontières du ministère de l'Intérieur, le gouverneur Jacques Mbadu a mis à sa disposition quelques responsables provinciaux pour l'accompagner dans sa tâche.
Les experts venus de Kinshasa vont passer au peigne fin tous l’ensemble des problèmes liés à la gestion de la frontière commune avec les pays voisins au niveau du Bas-Congo.
En avril 2012, le gouvernement provincial du Bas-Congo avait procédé au renforcement des mesures d’immigration entre la RDC et l’Angola pour « limiter les mouvements migratoires irréguliers ».
Emmanuel Luzolo N'Zeka
Le Potentiel

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