Vendredi, 19 Avril 2013
Le rapport de l’UNICEF publié mercredi 17 avril révèle que « 43% des enfants sont atteints d’un retard de croissance en République démocratique du Congo, parmi les enfants de moins de 5 ans, la RDC a coupé le nombre de décès de 254 pour 1000 naissances vivantes à 158 pour 1000 entre 2001 et 2010 grâce à des investissements dans la lutte contre la sous-nutrition ».
Le rapport « Améliorer la nutrition de l’enfant : un objectif impératif et réalisable pour le progrès mondial » dit qu’« il est essentiel, pour vaincre le retard de croissance, de mettre l’accent sur la grossesse et les deux premières années de la vie d’un enfant ».
« Les retards de croissance ne concernent pas seulement la taille d’un enfant. Ils peuvent également s’accompagner d’un développement insuffisant du cerveau et des facultés cognitives.
Le retard de croissance peut priver un enfant de ses perspectives d’avenir et priver une nation de ses perspectives de développement », a expliqué Anthony Lake, directeur général de l’UNICEF.
Il a indiqué que « les données obtenues sur les progrès actuellement réalisés montrent que le moment est venu d’accélérer ces progrès ».
La lutte contre la sous-nutrition inclut les étapes clés allant des campagnes nationales massives de vitamine A et de déparasitage au renforcement de l'assistance nutritionnelle à travers les communautés.
Face cachée de la pauvreté
Selon le rapport de l’UNICEF, de véritables progrès sont actuellement réalisés dans la lutte contre les retards de croissance pour 165 millions d’enfants de moins de cinq ans, il est à la fois possible et impératif d’intensifier les progrès accomplis.
Il signale qu’« un enfant de moins de 5 ans sur quatre, à l’échelle mondiale, est atteint d’un retard de croissance du fait d’une sous-nutrition chronique à des stades décisifs de sa croissance, environ 80 % de tous les enfants atteints d’un retard de croissance vivent dans 14 pays seulement ».
Ce rapport met en évidence les succès remportés dans la mise en œuvre à grande échelle de programmes de nutrition et l’amélioration de politiques, programmes et modifications de comportement dans 11 pays : Ethiopie, Haïti, Inde, Népal, Pérou, Rwanda, RDC, Sri Lanka, Kirghizistan, République-Unie de Tanzanie et Viet Nam.
« Les dégâts que les retards de croissance causent sur le corps et le cerveau d’un enfant sont irréversibles. Ces retards réduisent leurs chances de réussite scolaire ainsi que leurs revenus à l’âge adulte.
Il s’agit d’une injustice souvent transmise de génération en génération qui nuit au développement national.
Le risque de succomber à des maladies infectieuses est également plus élevé pour les enfants atteints d’un retard de croissance que pour les autres », avertit l’UNICEF.
Le rapport de l’UNICEF publié mercredi 17 avril révèle que « 43% des enfants sont atteints d’un retard de croissance en République démocratique du Congo, parmi les enfants de moins de 5 ans, la RDC a coupé le nombre de décès de 254 pour 1000 naissances vivantes à 158 pour 1000 entre 2001 et 2010 grâce à des investissements dans la lutte contre la sous-nutrition ».
Le rapport « Améliorer la nutrition de l’enfant : un objectif impératif et réalisable pour le progrès mondial » dit qu’« il est essentiel, pour vaincre le retard de croissance, de mettre l’accent sur la grossesse et les deux premières années de la vie d’un enfant ».
« Les retards de croissance ne concernent pas seulement la taille d’un enfant. Ils peuvent également s’accompagner d’un développement insuffisant du cerveau et des facultés cognitives.
Le retard de croissance peut priver un enfant de ses perspectives d’avenir et priver une nation de ses perspectives de développement », a expliqué Anthony Lake, directeur général de l’UNICEF.
Il a indiqué que « les données obtenues sur les progrès actuellement réalisés montrent que le moment est venu d’accélérer ces progrès ».
La lutte contre la sous-nutrition inclut les étapes clés allant des campagnes nationales massives de vitamine A et de déparasitage au renforcement de l'assistance nutritionnelle à travers les communautés.
Face cachée de la pauvreté
Selon le rapport de l’UNICEF, de véritables progrès sont actuellement réalisés dans la lutte contre les retards de croissance pour 165 millions d’enfants de moins de cinq ans, il est à la fois possible et impératif d’intensifier les progrès accomplis.
Il signale qu’« un enfant de moins de 5 ans sur quatre, à l’échelle mondiale, est atteint d’un retard de croissance du fait d’une sous-nutrition chronique à des stades décisifs de sa croissance, environ 80 % de tous les enfants atteints d’un retard de croissance vivent dans 14 pays seulement ».
Ce rapport met en évidence les succès remportés dans la mise en œuvre à grande échelle de programmes de nutrition et l’amélioration de politiques, programmes et modifications de comportement dans 11 pays : Ethiopie, Haïti, Inde, Népal, Pérou, Rwanda, RDC, Sri Lanka, Kirghizistan, République-Unie de Tanzanie et Viet Nam.
« Les dégâts que les retards de croissance causent sur le corps et le cerveau d’un enfant sont irréversibles. Ces retards réduisent leurs chances de réussite scolaire ainsi que leurs revenus à l’âge adulte.
Il s’agit d’une injustice souvent transmise de génération en génération qui nuit au développement national.
Le risque de succomber à des maladies infectieuses est également plus élevé pour les enfants atteints d’un retard de croissance que pour les autres », avertit l’UNICEF.
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