Vendredi, 19 Avril 2013
Notre pays est sanctionné comme un des mauvais élèves de la classe dans le secteur des industries extractives. Des pénalités plus lourdes lui sont brandies dans l’hypothèse où le manque de transparence persisterait au-delà du mois d’avril 2014.
Tout ceci arrive à la République Démocratique du Congo à cause de la disparition de 88 millions de dollars dans le paquet des recettes minières de l’exercice 2010.
En effet, c’est le constat fait par l’inspection Générale des Finances, qui n’a pu enregistrer que la cagnotte d’environ 720 millions de dollars américains. Qui a fait disparaître les 88 millions de dollars américains que continuent de rechercher les limiers locaux de l’ITIE (initiative pour la Transparence des Industries Extractives) ?
Pour le moment, c’est le mystère. Interpellée par des activistes de la Société Civile, la DGRAD (Direction Générale des Recettes Administratives et Domaniales) ne reconnaît pas être impliquée dans ce gros trou pratiqué dans les recettes déclarées par les industries minières.
L’affaire fait tellement grand bruit que tous les regards sont présentement tournés vers les ministres du Plan et de la Justice, en leurs qualités respectives de Coordonnateur du comité local de l’ITIE/RDC et de patronne de l’appareil judiciaire.
L’on attend à ce que l’un ou l’autre puisse saisir le Parquet Général de la. République du ténébreux dossier de la disparition de 88 millions de dollars américains, afin que s’ouvre une enquête sérieuse en vue de la découverte dé la vérité.
Une grande opération « mains propres » mérite d’être menée par la justice congolaise en vue de démanteler les réseaux maffieux qui saignent le Trésor public congolais depuis des années en provoquant l’évasion de plusieurs dizaines de millions de dollars américains.
Les placards des régies financières devraient être sérieusement revisités en vue de retrouver la trace de ces 88 millions de dollars perdus par la République. Les spécialistes des ponctions assassines sur les recettes de l’Etat devraient être tenus à l’oeil.
Scandale géologique nominal, la République Démocratique du Congo continue d’entretenir des îlots de richesses dans un océan de misère, en raison notamment de l’opacité qui enveloppe les revenus miniers.
Pendant que des individus s’enrichissent impunément, le pays et ses habitants baignent dans une pauvreté qui en fait d’éternels assistés de la planète « Terre ».
Le défi de la transparence dans le domaine minier exige d’être relevé au plus tôt, au risque de voir tout un peuple pénalisé pour des années à cause de la bêtise d’un petit cercle de jouisseurs.
Kimp
Notre pays est sanctionné comme un des mauvais élèves de la classe dans le secteur des industries extractives. Des pénalités plus lourdes lui sont brandies dans l’hypothèse où le manque de transparence persisterait au-delà du mois d’avril 2014.
Tout ceci arrive à la République Démocratique du Congo à cause de la disparition de 88 millions de dollars dans le paquet des recettes minières de l’exercice 2010.
En effet, c’est le constat fait par l’inspection Générale des Finances, qui n’a pu enregistrer que la cagnotte d’environ 720 millions de dollars américains. Qui a fait disparaître les 88 millions de dollars américains que continuent de rechercher les limiers locaux de l’ITIE (initiative pour la Transparence des Industries Extractives) ?
Pour le moment, c’est le mystère. Interpellée par des activistes de la Société Civile, la DGRAD (Direction Générale des Recettes Administratives et Domaniales) ne reconnaît pas être impliquée dans ce gros trou pratiqué dans les recettes déclarées par les industries minières.
L’affaire fait tellement grand bruit que tous les regards sont présentement tournés vers les ministres du Plan et de la Justice, en leurs qualités respectives de Coordonnateur du comité local de l’ITIE/RDC et de patronne de l’appareil judiciaire.
L’on attend à ce que l’un ou l’autre puisse saisir le Parquet Général de la. République du ténébreux dossier de la disparition de 88 millions de dollars américains, afin que s’ouvre une enquête sérieuse en vue de la découverte dé la vérité.
Une grande opération « mains propres » mérite d’être menée par la justice congolaise en vue de démanteler les réseaux maffieux qui saignent le Trésor public congolais depuis des années en provoquant l’évasion de plusieurs dizaines de millions de dollars américains.
Les placards des régies financières devraient être sérieusement revisités en vue de retrouver la trace de ces 88 millions de dollars perdus par la République. Les spécialistes des ponctions assassines sur les recettes de l’Etat devraient être tenus à l’oeil.
Scandale géologique nominal, la République Démocratique du Congo continue d’entretenir des îlots de richesses dans un océan de misère, en raison notamment de l’opacité qui enveloppe les revenus miniers.
Pendant que des individus s’enrichissent impunément, le pays et ses habitants baignent dans une pauvreté qui en fait d’éternels assistés de la planète « Terre ».
Le défi de la transparence dans le domaine minier exige d’être relevé au plus tôt, au risque de voir tout un peuple pénalisé pour des années à cause de la bêtise d’un petit cercle de jouisseurs.
Kimp
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire