Mardi, 19 Novembre 2013
Le M23 utilisait une artillerie militaire d’origine russe. C’est le constat fait par les attachés militaires des ambassades en postes en Rd-Congo dans des territoires jadis occupés par ces ex rebelles à Tchanzu, Kibumba et Runyonyi. La délégation a été conduite la semaine passée par Julien Paluku, gouverneur du Nord-Kivu.
Ces attachés militaires ont été d’abord stupéfaits de voir l’artillerie militaire que possédait le M23. Puis, tous à l’unanimité, après l’analyse des munitions rencontrées sur terrain abandonnées par le M23, ils ont déduit que l’artillerie militaire du M23 provenait de la Russie -pays de Vladimir Poutine.
C’est le Rwanda qui les achetait pour armer Makenga et ses hommes, indique notre source. Les armes passées par le Rwanda avant d’être acheminées aux rebelles, précise la même source. Avant tout, les enquêteurs se sont déterminés de poursuivre avec les enquêtes le plus approfondies pour asseoir leur hypothèse.
«Nous n’allons pas directement accusé la Russie. Nous allons mener et poursuivre avec nos enquêtes les plus approfondies afin d’établir les responsabilités.
Et je vous garantie que le Conseil de sécurité des Nations unies sera saisi à ce sujet par un rapport que nous aurons à élaborer dans un bref délai. Mais de plus en plus, la piste Russie se dégage dans cette mini autopsie que nous venons de mener», affirme un délégué de la mission.
Sur place, précisément à Tchanzu où est passé la délégation, plus de trois cents tonnes de minutions des hommes de Makenga ont été récupérées par l’Armée régulière. Et plus de deux cent quatre-vingt sept éléments du M23 ont été arrêté dont certains d’entre eux envisagent de reprendre avec la vie active.
Dans le lot des munitions et équipements militaires récupérés par les FARDC dans les anciens fiefs du M23, nous citons: charroi automobile, armes, munitions, portent les mentions de l’Armée Patriotique Rwandaise -APR.
«Ce n’est pas normal qu’un mouvement rebelle comme le M23 puisse posséder pareilles munitions. Cela prouve à suffisance que le mouvement était soutenu pour agresser la Rd-Congo», s’est indigné un membre de la délégation du représentant du secrétaire général des nations unies en Rd-Congo, Martin Kobbler, devant un activiste des droits de l’homme du Nord-Kivu.
Et je vous garantie que le Conseil de sécurité des Nations unies sera saisi à ce sujet par un rapport que nous aurons à élaborer dans un bref délai. Mais de plus en plus, la piste Russie se dégage dans cette mini autopsie que nous venons de mener», affirme un délégué de la mission.
Sur place, précisément à Tchanzu où est passé la délégation, plus de trois cents tonnes de minutions des hommes de Makenga ont été récupérées par l’Armée régulière. Et plus de deux cent quatre-vingt sept éléments du M23 ont été arrêté dont certains d’entre eux envisagent de reprendre avec la vie active.
Dans le lot des munitions et équipements militaires récupérés par les FARDC dans les anciens fiefs du M23, nous citons: charroi automobile, armes, munitions, portent les mentions de l’Armée Patriotique Rwandaise -APR.
«Ce n’est pas normal qu’un mouvement rebelle comme le M23 puisse posséder pareilles munitions. Cela prouve à suffisance que le mouvement était soutenu pour agresser la Rd-Congo», s’est indigné un membre de la délégation du représentant du secrétaire général des nations unies en Rd-Congo, Martin Kobbler, devant un activiste des droits de l’homme du Nord-Kivu.
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Yves BUYA
Le M23 utilisait une artillerie militaire d’origine russe. C’est le constat fait par les attachés militaires des ambassades en postes en Rd-Congo dans des territoires jadis occupés par ces ex rebelles à Tchanzu, Kibumba et Runyonyi. La délégation a été conduite la semaine passée par Julien Paluku, gouverneur du Nord-Kivu.
Ces attachés militaires ont été d’abord stupéfaits de voir l’artillerie militaire que possédait le M23. Puis, tous à l’unanimité, après l’analyse des munitions rencontrées sur terrain abandonnées par le M23, ils ont déduit que l’artillerie militaire du M23 provenait de la Russie -pays de Vladimir Poutine.
C’est le Rwanda qui les achetait pour armer Makenga et ses hommes, indique notre source. Les armes passées par le Rwanda avant d’être acheminées aux rebelles, précise la même source. Avant tout, les enquêteurs se sont déterminés de poursuivre avec les enquêtes le plus approfondies pour asseoir leur hypothèse.
«Nous n’allons pas directement accusé la Russie. Nous allons mener et poursuivre avec nos enquêtes les plus approfondies afin d’établir les responsabilités.
Et je vous garantie que le Conseil de sécurité des Nations unies sera saisi à ce sujet par un rapport que nous aurons à élaborer dans un bref délai. Mais de plus en plus, la piste Russie se dégage dans cette mini autopsie que nous venons de mener», affirme un délégué de la mission.
Sur place, précisément à Tchanzu où est passé la délégation, plus de trois cents tonnes de minutions des hommes de Makenga ont été récupérées par l’Armée régulière. Et plus de deux cent quatre-vingt sept éléments du M23 ont été arrêté dont certains d’entre eux envisagent de reprendre avec la vie active.
Dans le lot des munitions et équipements militaires récupérés par les FARDC dans les anciens fiefs du M23, nous citons: charroi automobile, armes, munitions, portent les mentions de l’Armée Patriotique Rwandaise -APR.
«Ce n’est pas normal qu’un mouvement rebelle comme le M23 puisse posséder pareilles munitions. Cela prouve à suffisance que le mouvement était soutenu pour agresser la Rd-Congo», s’est indigné un membre de la délégation du représentant du secrétaire général des nations unies en Rd-Congo, Martin Kobbler, devant un activiste des droits de l’homme du Nord-Kivu.
Et je vous garantie que le Conseil de sécurité des Nations unies sera saisi à ce sujet par un rapport que nous aurons à élaborer dans un bref délai. Mais de plus en plus, la piste Russie se dégage dans cette mini autopsie que nous venons de mener», affirme un délégué de la mission.
Sur place, précisément à Tchanzu où est passé la délégation, plus de trois cents tonnes de minutions des hommes de Makenga ont été récupérées par l’Armée régulière. Et plus de deux cent quatre-vingt sept éléments du M23 ont été arrêté dont certains d’entre eux envisagent de reprendre avec la vie active.
Dans le lot des munitions et équipements militaires récupérés par les FARDC dans les anciens fiefs du M23, nous citons: charroi automobile, armes, munitions, portent les mentions de l’Armée Patriotique Rwandaise -APR.
«Ce n’est pas normal qu’un mouvement rebelle comme le M23 puisse posséder pareilles munitions. Cela prouve à suffisance que le mouvement était soutenu pour agresser la Rd-Congo», s’est indigné un membre de la délégation du représentant du secrétaire général des nations unies en Rd-Congo, Martin Kobbler, devant un activiste des droits de l’homme du Nord-Kivu.
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Yves BUYA
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