1 janvier, 2014
Un soldat français à coté d’armes confisquées, tandis qu’un convoi de véhicules transportant des musulmans quitte la ville de Bangui, le 1er janvier 2014.
Des échanges de tirs mercredi à Bangui ont fat un mort et quinze blessés, dont trois enfants, créant la panique et faisant fuir des centaines de civils vers le camp de déplacés situé à proximité de l'aéroport, a constaté un journaliste de l'AFP.
Selon des témoignages de riverains, des affrontements ont éclaté en fin de matinée dans le 5e arrondissement de la capitale, proche de l'aéroport, entre ex-rebelles Séléka et milices chrétiennes anti-balaka.
Des tirs d'armes automatiques continus se rapprochaient du camp.
Un soldat burundais tente de calmer la tension alors qu’un groupe de musulmans armés de machettes crient des menaces contre un groupe de chrétiens, également armés, et qui détruisaient un commerce appartenant à un musulman, dans le 5e Arrondissement à Bangui, le 31 décembre 2013.
En une heure, 16 personnes dont trois enfants ont été amenées des quartiers voisins à l'hôpital improvisé par Médecins sans frontière dans le camp, tous blessés par balle ou victimes d'éclats de munitions.
Un adulte est décédé des suites de ses blessures.
"Ca n'arrête pas. Hier encore, on a reçu un bébé de six mois qui est décédé après avoir reçu une balle perdue", a déclaré à l'AFP un responsable local de MSF sur place.
A l'intérieur du camp, qui compte environ 100.000 déplacés, selon des estimations de responsables humanitaires, une tension extrêmement forte régnait suite à des rumeurs d'infiltration d'ex-Séléka.
Le personnel expatrié de MSF a du évacuer les lieux.
Les tueries intercommunautaires ont fait un millier de morts dans la capitale centrafricaine depuis le 5 décembre, date du début de l'intervention française.
Un enfant dans un camp pour personnes déplacées près de l'aéroport de Bangui, le 1er janvier 2014.
Un soldat français à coté d’armes confisquées, tandis qu’un convoi de véhicules transportant des musulmans quitte la ville de Bangui, le 1er janvier 2014.
Des échanges de tirs mercredi à Bangui ont fat un mort et quinze blessés, dont trois enfants, créant la panique et faisant fuir des centaines de civils vers le camp de déplacés situé à proximité de l'aéroport, a constaté un journaliste de l'AFP.
Selon des témoignages de riverains, des affrontements ont éclaté en fin de matinée dans le 5e arrondissement de la capitale, proche de l'aéroport, entre ex-rebelles Séléka et milices chrétiennes anti-balaka.
Des tirs d'armes automatiques continus se rapprochaient du camp.
Un soldat burundais tente de calmer la tension alors qu’un groupe de musulmans armés de machettes crient des menaces contre un groupe de chrétiens, également armés, et qui détruisaient un commerce appartenant à un musulman, dans le 5e Arrondissement à Bangui, le 31 décembre 2013.
En une heure, 16 personnes dont trois enfants ont été amenées des quartiers voisins à l'hôpital improvisé par Médecins sans frontière dans le camp, tous blessés par balle ou victimes d'éclats de munitions.
Un adulte est décédé des suites de ses blessures.
"Ca n'arrête pas. Hier encore, on a reçu un bébé de six mois qui est décédé après avoir reçu une balle perdue", a déclaré à l'AFP un responsable local de MSF sur place.
A l'intérieur du camp, qui compte environ 100.000 déplacés, selon des estimations de responsables humanitaires, une tension extrêmement forte régnait suite à des rumeurs d'infiltration d'ex-Séléka.
Le personnel expatrié de MSF a du évacuer les lieux.
Les tueries intercommunautaires ont fait un millier de morts dans la capitale centrafricaine depuis le 5 décembre, date du début de l'intervention française.
Un enfant dans un camp pour personnes déplacées près de l'aéroport de Bangui, le 1er janvier 2014.
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