4 juin, 2014
La RDC et le Congo discutent sur un nouvel accord de circulation entre leurs deux pays.
Après la vague d'expulsion de ressortissants de la RDC du Congo, une nouvelle convention sur la circulation des personnes a été proposée mardi lors d’une rencontre à Kinshasa entre des délégations des deux pays.
La convention devra être ratifiée par les assemblées nationales des Congo.
Le contenu de la convention n'a pas été rendu public, mais selon des sources officielles à Brazzaville, il prévoirait que toute personne munie d'un laissez-passer et d'un passeport puisse se rendre de l'autre côté du fleuve Congo pour 72 heures.
La seule condition est de rester dans la zone riveraine.
Pour des durées plus longues, le visa deviendrait obligatoire. Difficile de savoir pour le moment quel impact ce nouvel accord aura sur les expulsions.
Déjà plus de 130 mille citoyens de la RDC ont dû quitter le Congo depuis le mois d'avril. Brazzaville affirme que la grande majorité d'entre eux n'était pas en règle avec les services d'immigration.
Les expulsés affirment avoir été brutalisés par la police. Sur ces allégations de mauvais traitements, une commission d'enquête mixte sera mise en place.
La RDC et le Congo discutent sur un nouvel accord de circulation entre leurs deux pays.
Après la vague d'expulsion de ressortissants de la RDC du Congo, une nouvelle convention sur la circulation des personnes a été proposée mardi lors d’une rencontre à Kinshasa entre des délégations des deux pays.
La convention devra être ratifiée par les assemblées nationales des Congo.
Le contenu de la convention n'a pas été rendu public, mais selon des sources officielles à Brazzaville, il prévoirait que toute personne munie d'un laissez-passer et d'un passeport puisse se rendre de l'autre côté du fleuve Congo pour 72 heures.
La seule condition est de rester dans la zone riveraine.
Pour des durées plus longues, le visa deviendrait obligatoire. Difficile de savoir pour le moment quel impact ce nouvel accord aura sur les expulsions.
Déjà plus de 130 mille citoyens de la RDC ont dû quitter le Congo depuis le mois d'avril. Brazzaville affirme que la grande majorité d'entre eux n'était pas en règle avec les services d'immigration.
Les expulsés affirment avoir été brutalisés par la police. Sur ces allégations de mauvais traitements, une commission d'enquête mixte sera mise en place.
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