lundi 8 novembre 2010

Attaque de Kikwit : «Joseph KABILA» et sa presse alimentaire s’en prennent à Honoré NGBANDA

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Joseph KABILA et Honore NGBANDA

Le gouvernement de «Kabila» n’a jamais su dire la vérité au peuple congolais. Depuis «l’affaire Général Munene», « Kabila » et ses ministres ne font que mentir au peuple congolais.
Dans un article paru il y a quelques jours, Michel Muhima Moto, un congolais de la diaspora a relayé auprès du public un message adressé dernièrement à « Kabila » par la population meurtrie de l’Est de la RDC, lors de son récent voyage à Butembo au mois de septembre dernier. Il était en effet écrit sur l’une des banderoles qui ont accueilli l’imposteur national : « Reprenez vos 5 chantiers et donnez-nous la sécurité en échange ».
Le fils de Kanambe et les collabos qui peuplent sa cour ont-ils pris la peine de méditer le profond message que véhiculait cette interpellation des kivutiens? Surement pas, car autrement ils ne se montreraient pas aussi irresponsables et ignares face aux événements qui se déroulent en ce moment dans la ville de Kikwit, dans la province du Bandundu. En effet, qu’ils soient de l’Est ou de l’Ouest, du Nord ou du Sud de la RDC, tous les congolais veulent d’abord pouvoir vivre en paix et en sécurité dans leurs pays. Ils veulent ensuite que leur souveraineté soit respectée sur tout l’étendue du territoire national.
Par conséquent, pour les véritables patriotes congolais, la fin de l’imposture qui prévaut au sommet des institutions de la République démocratique du Congo constitue donc une exigence mieux, une condition sine qua non avant toute chose. Ce que « Kabila » et les clients de sa mangeoire ne veulent pas comprendre, la jeunesse congolaise vient de le leur rappeler à Kikwit.

Psychose et chasse aux « infiltrés »

Depuis près d’une semaine, Kikwit, cette paisible ville de Bandundu tient la une de l’actualité en RDC. Tout a commencé le mardi 2 novembre 2010 lorsque les habitants de la commune de Lukeni brûlent vif un homme jugé suspect, car depuis un certain temps, des rumeurs courent la ville au sujet d’infiltrations diverses. L’atmosphère s’envenime le lendemain mercredi 3 novembre lorsqu’un commando attaque le camp militaire Colonel Ebeya dans la commune de Katanda, tue 3 soldats commis à la garde et s’empare des armes et des munitions du camp pour disparaître dans la nature. L’affaire se répand comme une trainée de poudre dans la ville au sein de la population. La panique s’installe. Le site Radiookapi.net qui est le seul média qui annonce cet événement fait aussi part des cas d'insécurité signalés dans plusieurs quartiers de la ville de Kikwit. Du côté des autorités politiques et militaires locales, silence radio. Le lendemain, on apprend que l’aéroport de Kikwit a été aussi la cible d’une attaque et des armes ont été encore emportées.
La panique gagne la population de la ville qui ne reçoit aucune communication officielle sur les origines de ces attaques ni sur les mesures prises pour sa protection. Au contraire, des témoins affirment avoir constaté la présence, dans les faubourgs de Kikwit, de militaires parlant une langue méconnue par les autochtones. Ainsi donc, face à l’indifférence avérée de l’autorité, et en signe de protestation, les jeunes s'organisent et veillent toute la nuit par groupe dans les différents quartiers de la ville. Et le lendemain, soit le jeudi 4 novembre, excédés, ayant compris qu’ils ne pouvaient plus rien attendre du pouvoir d’occupation complice, ces jeunes prennent d'assaut toutes les artères principales de la ville, qui avec une machette, qui avec un bâton, qui avec des pierres....(des Tungulu !) Ils parviennent ainsi à immobiliser toute activité et toute circulation. Cette manifestation de jeunes a été violemment réprimée, comme d’habitude. Elle s'est soldée par un mort par balle tirée par la police et 2 enfants grièvement blessés. Il s’en est suivi alors un pillage systématique et ciblé : le siège du PPRD (parti de « Kabila »), la maison et du bureau du Secrétaire exécutif du PPRD furent saccagés, ainsi que des cabines téléphoniques ambulantes.
Pendant que la situation sécuritaire se détériorait dans sa juridiction, le gouverneur de la province de Bandundu, abandonnant ses administrés dans l’incertitude et l’angoisse, a préféré plutôt se réfugier à Kinshasa, sous prétexte d’aller y chercher l’argent à la Présidence de la République pour préparer les funérailles des 3 soldats tués et «consoler leurs familles». Et c'est à partir de la capitale que le gouverneur reconnaîtra sur les antennes de radio Okapi, son impuissance à décrire la vraie situation qui prévalait à Kikwit ! Cependant, il a avoué publiquement que la population de Kikwit vit dans une véritable psychose due à des rumeurs persistantes portant sur la présence d’infiltrés dans la ville depuis quelques jours, mais il reconnaissait qu'il n'en avait pas encore la preuve.
Durant tout ce temps, tout le gouvernement à Kinshasa ne pipe aucun mot. Les quelques médias sérieux à Kinshasa et ceux de l’extérieur du pays se sont cependant penchés sur cet événement pour tenter de comprendre les origines profondes de ce malaise et du comportement des jeunes dont la majorité composée d’étudiants. C’est le cas par exemple de la radiotélévision chrétienne «Sango-Malamu» qui a réussi à interviewer en direct, lors de son journal télévisé de vendredi soir 5 novembre 2010, un témoin oculaire à Kikwit qui a confirmé la version que nous venons de vous livrer ci-dessus. De même RFI ce samedi 6 novembre 2010 au matin a joint au téléphone un témoin des événements à Kikwit qui a repris le même récit des événements.

L’APARECO persiste et signe : les troupes rwandaises sont à Menkao

Mais plutôt que de répondre aux interrogations de la population inquiète du Bandundu sur les véritables raisons de l’amplification de l’insécurité en RDC, et surement conscient du fait qu’aucun de leur mensonge supplémentaire visant à cacher le processus d’occupation en cours en RDC ne sera gober par les congolais, « Kabila » et les siens ont décidé de s’en prendre à Honoré Ngbanda. A quelques mois ( ?) des hypothétiques élections de 2011, ils ont choisi de tenter de faire taire à tout prix celui qui ne cesse de dénoncer leurs manoeuvres sordides depuis des années.
Après s’être voilés la face avec arrogance pendant des années sur l’impact des écrits de l’APARECO à l’intérieur du Pays, des kabilistes littéralement en pleurs sont sortis de leur torpeur pour crier à qui veut les entendre aujourd’hui qu’Honoré Ngbanda est en train d’influencer la population congolaise par ses écrits.
Le « Groupe l’Avenir », sur instruction de sa « haute hiérarchie » (« Joseph Kabila») s’en est donc violemment pris à l’APARECO et à son président, Monsieur Honoré Ngbanda-Nzambo, qu’il couvre de tous les péchés d’Israël. Mais personne n’est dupe. Qui ne sait pas aujourd’hui que le groupe l’Avenir n’a rien d’un média indépendant et qu’il est complètement au service de notre imposteur national ? Plusieurs de leurs articles sont rédigés ailleurs par des « nègres » de « Kabila » pour diffusion « sous signature » ! Leur crédibilité en tant que journalistes, il y a longtemps qu’ils y ont renoncé. C’est donc ainsi qu’ils ont produit un pamphlet dans lequel ils s’en prennent particulièrement à l’article de L’oeil du Patriote qui annonçait lundi 1er novembre l’arrivée des troupes rwandaises à l’aéroport de Ndjili et leur cantonnement à Menkao sur la route de Bandundu, à Mikondo en face de l’aéroport et à Kinshasa à côté du siège de l’OFIDA. Avec toutes les adresses données par L’oeil du patriote ceux qui doutent et veulent vérifier peuvent le faire aisément.
De plus, depuis que L’oeil du Patriote a signalé il y a quinze jours de cela, l’arrivée d’un bataillon mixte rwandais et tanzanien pour la protection du dictateur rwandais « Kabila », des témoignages fusent de partout pour attester et dénoncer l’augmentation subite de la pratique du viol à Kinshasa. Phénomène qui n’existait ni du temps de Mobutu, ni de celui M’Zee Laurent Désiré Kabila. Tous les observateurs reconnaissent que ces phénomènes viennent de prendre de l’ampleur ces derniers mois seulement. Comme les cancres du Groupe L’Avenir n’ont ni la force ni la capacité d’enquêter comme d’autres médias, nous relevons à leur intention quelques cas ci dessous:
 RFI a annoncé ce vendredi 5 novembre que l'ASHADO a fait un constat d’apparition du phénomène particulier de viol des femmes dans la capitale congolaise. Il a relevé 5 viols par semaine dans les zones de Masina et Kingasani depuis quelques jours. Nous faisons remarquer aux collabos de L’Avenir que Masina et Kingasani sont situés au pied de la montagne de Mikondo où on vient de loger les troupes rwandaises! C’est pitoyable et honteux que ce soit une presse étrangère qui se préoccupe du sort de nos compatriotes congolais au moment où notre prétendue élite n’a qu’une seule préoccupation : aduler le dictateur et l’occupant rwandais pour avoir accès à la mangeoire. Pitoyable !
 Sous le titre « Kinshsasa : violences sexuelles, le fléau s’empare de la capitale », un article du site internet de la
Radio Okapi du jeudi 4 novembre 2010, citant l’enquête de l’ONG « Synergie Congo » et les commentaires de son président, Monsieur Christopher Mutamba, affirme :
«Rien que pour septembre et octobre, nous sommes à plus d’une centaine des cas de viols. Il est temps de nous demander s’il y a une autorité dans cette ville. Au niveau de l’autorité politique, il n’y a personne qui peut dénoncer». Est-ce là une manipulation de Monsieur Honoré Ngbanda, selon L’Avenir? Ngbanda a-t-il commis un crime pour avoir annoncé aux Congolais les vagues d’arrivée secrète des tueurs rwandais qui importent à Kinshasa la pratique ignoble du viol qu’ils appliquent au Kivu depuis plus de dix ans ? Il n’est pire aveugle que celui qui ne veut pas voir !
 D’autre part, la rédaction de L’oeil du Patriote vient d’enregistrer le témoignage poignant et troublant d’une famille congolaise. Nous reproduisons in extenso le texte de ce message électronique, en prenant soin d’enlever l’identité de l’expéditeur pour des raisons évidentes :

Date: 2010/11/6 

Subject: Encore des militaires. 

To: apareco.rp@gmail.com 

Je suis un citoyen congolais habitant le Canada depuis une lurette, soit depuis 18 ans. Tout ce qui passe au pays me préoccupe. premierement parce que c'est mon pays d'origine que j'aime qu'il soit libéré de ces etrangers se disant bien "congorais"; deuxiemement parce que les membres de ma famille sont sur place.
Mais le fait étonnant est que le 31 Octobre 2010 mon neveux qui était gravement malade est mort aux environs de 06:00H et a été améné à la morgue. Toute la famille et les voisins se sont retrouvaient à son domicile à Massina Terminus pour l'ocasion.
Vers 02:30 - 03:00 H. du matin un groupe des militaires a fait irruption dans la parcelle en tirant en l'air et en distribuant des coups des poings, des matraques et des crosses de fusils. Les téléphones cellulaires et l'argent étaient confisqués sur le champ par menaces des armes.
Après, ils ont pris par force un groupe des femmes et des jeunes filles qu'ils ont conduit à l'écart afin d'assouvir leur désir sexuel; parmi elles il y avait trois filles du défunt. C'est aux environs de six heures que les victimes amenées par force sont rentrées en relatant ce qui leur est arrivé en pleurant. Ces faits ce sont passés à Kinshasa ou les patrouilles circulent jour et nuit!! Vive la démocratie avec Kabila, comme dirait Louis Michel le colonialiste moderne et donneur des leçons.

Des « nègres » de l’ANR au service du Groupe l’Avenir

Afin que les congolais soient définitivement fixés sur ce que vaut la feuille de choux appelée pompeusement « L’Avenir », L’oeil du patriote informe l’opinion que de source sure, le député Pius Mwabilu, chantre du kabilisme qui est à la tête de cet organe de « presse » ne rédige pas lui-même la plupart des écrits qui portent pourtant sa signature.
Depuis l’époque de Mobutu qui l’intéresse tant, ce sont d’autres personnes, comme Ntumba Matulu, qui lui écrivaient des articles qui portaient pompeusement sa signature. Mais aujourd’hui, grisé par l’euphorie du pouvoir, Pius Mwabilu oublie simplement que la RDC est occupée et qu’il n’en sera pas éternellement ainsi. Même si les « nègres » de l’ANR qui se sont spécialisés dans des montages grossiers contre Honoré Ngbanda lui imposent des articles (sans signature) à diffuser dans son journal, c’est lui qui en sera comptable demain devant le peuple congolais pour trahison! Monsieur Pius Mwabilu ne se préoccupe pas du respect de la déontologie inhérente à sa profession, ce qui lui importe c’est la pérennité du pouvoir rwandais qui lui donne accès à la mangeoire nationale. Il a choisi de défendre l’indéfendable quelque en soit le prix. Plutôt que de dénoncer les souffrances du peuple congolais en éclairant ses lecteurs sur les véritables raisons de celles –ci, il a choisi de rester au service de l’imposture, des crimes et des mensonges du dictateur rwandais « Joseph Kabila ».
Il n’est donc pas étonnant que son journal s’en prenne à l’APARECO et à son président, car nous ne défendons pas les mêmes valeurs. L’APARECO ne fait pas de la simple opposition contre le pouvoir d’occupation. Elle mène un combat de RESISTANCE contre les forces d’occupation et de prédation qui saignent la RDC! Et personne n’arrêtera ce combat dont le seul terme est la victoire!
Nous comprenons donc la réaction intempestive et maladroite de L’Avenir qui le matin, dans son pamphlet, a d’abord affirmé haut et fort que « ces gens-là ne méritent même pas qu’on cite leur nom », mais l’après-midi du même jour, le même organe avait déjà changé d’avis : il a repris ses cris et ses pleurs contre Honoré Ngbanda en y ajoutant même sa photo en grand et avec le titre pompeux : « Sur base de campagnes mensongères, Honoré Ngbanda : c’est lui qui attise le feu à Kikwit »! Qu’est-ce qui explique ce revirement à 180° en quelques heures si non la preuve que la panique a gagné le camp du pouvoir d’occupation? Eh oui le journal l’Avenir est à l’image de son mentor : «Kabila» le dictateur est agité et ne tient plus sur place. Il ne dort même plus deux nuits successives au même endroit.
Tenez, vendredi 5 novembre en pleine nuit, il a déménagé brusquement de sa ferme de Kingakati sur la route de Bandundu pour joindre l’autre bout de Kinshasa à Kinsuka, dans la ferme « Chez le conseiller » appartenant à son fidèle complice, Maître Jean Mbuyu. Celui-là même qui présida la messe noire lors de laquelle l’imposture fut instaurée dans notre pays après l’assassinat de Laurent Désiré Kabila.

La vérité: Ngbanda et Munene font trembler «Kabila» et ses collabos!

Le gouvernement de «Kabila» n’a jamais su dire la vérité au peuple congolais. Depuis «l’affaire Général Munene», « Kabila » et ses ministres ne font que mentir au peuple congolais. Il y a quelques semaines, son ministre perroquet Lambert Mende avait publiquement menti en annonçant pompeusement au peuple congolais l’arrestation du Général Munene. Mis au défit de le prouver par l’APARECO, Mende s’est honteusement rétracté. Aujourd’hui, c’est le vice-premier ministre et ministre de l’Intérieur, Monsieur Lumanu qui prend son relais et ment honteusement sur les antennes de RFI, affirmant qu’il s’agissait seulement d’une méprise de la population de Kikwit qui s’en est prise à deux congolais originaires du Kasaï. Selon le ministre, ces deux « kasaïens » auraient vécu longtemps dans la région, mais n’auraient pas bien maîtrisé le dialecte local ! Si tel était le cas, pourquoi tout ce temps passé à Kikwit ces « kasaïens » n’ont jamais été inquiétés pour leur méconnaissance de la langue locale ?
Le vice-premier ministre Lumanu ne sait pas lire le signe des temps. Il aurait mieux fait d’expliquer à l’opinion congolaise pourquoi les « émeutiers » n’ont saccagé et brûlé que le siège du PPRD (et non des autres partis politiques présents à Kikwit). Pourquoi ont-ils attaqué et tué le Secrétaire exécutif du PPRD à Kikwit et brûlé l’effigie officielle de «Kabila» ? Pourquoi le pouvoir d’occupation voudrait-t-il cacher la vérité en essayant de banaliser la tension qui règne à Kikwit et ailleurs? S’il s’agissait seulement d’une méprise de la population sur l’identité de deux originaires du Kasaï comme le prétend le gouvernement de Kinshasa, pourquoi l’Auditeur général des FARDC, le général Mponde, a-t-il signé ce week-end un mandat d’arrêt contre le Capitaine Kawala Nzwast du camp Colonel Ebeya (à Kikwit) et Consorts ? Pourquoi avoir confié l’exécution de ce mandat à la haute hiérarchie de la DEMIAP dont la délégation a quitté l’aéroport de Ndjili ce dimanche 7 novembre 2010 sous le commandement personnel du général Etumba, Chef d’état-major général des FARDC, lui-même coiffé du ministre de la Défense nationale ?
Tout ce branlebas, nous expliquent des sources très proches de « Kabila » et des différentes hiérarchies des services spécialisés, est dû à la conviction que se sont faites les autorités politiques et militaires autour de « Kabila » d’une jonction entre deux hommes : le général Faustin Munene et Monsieur Honoré Ngbanda. Les différentes réunions tenues à la ferme de Kingakati autour de Kanambe et au CNS le 25 octobre ont abouti à la conclusion que les deux hommes ont opéré une jonction pour en finir avec l’imposture et l’occupation. Mais ce qui rend fous « Kabila » et ses hommes, ce que ses services ne disposent d’aucune autre information concernant « ce danger » ! La paranoïa du raïs est à son comble : Tous les anciens agents et cadres des services ayant opéré sous la 2e République sont automatiquement « fichés » sur ordre de Kanambe! Ils sont tous suspectés de ravitailler les réseaux de Ngbanda au pays. Cette phobie a provoqué une véritable psychose : tous ceux qui lisent L’oeil du Patriote ou commente «l’affaire Munene » sont embarqués par les sbires de « Kabila » largués dans les cybercafés, les arrêts de bus, les wenze et autres lieux publics. Ce vendredi après-midi, quatre jeunes « parlementaires débout » ont été arrêtés par les sbires de « Kabila » au rond point « Victoire » à Matonge et emmenés vers une destination inconnue. Ceux qui ont réussi à s’échapper du filet nous ont communiqué l’identité de leurs quatre camarades arrêtés. Il s’agit de LUMBU Isaac, KATSHULU Albert, LULUNGULA Jules et LABLO Eddy. Nous demandons aux ONG de défense des droits de l’Homme et à la MONUSCO de s’enquérir du sort de ces enfants dont le seul crime est d’avoir voulu s’informer des réalités de leur pays !
Ce geste de désespoir des agents de l’ANR et de la DEMIAP pour étouffer L’oeil du Patriote est vain et ridicule. Sans effet ! Car L’oeil du Patriote est maintenant recherché et abondamment lu, non seulement par la grande majorité de la classe politique congolaise (y compris Kanambe lui-même!), mais il entre désormais partout, grâce aux centaines de jeunes patriotes bénévoles qui assurent la diffusion de ces écrits jusqu’aux confins de la RDC par des voies que ces agents spéciaux n’imaginent même pas. La jeunesse congolaise est désormais débout ! Vous ne saurez plus plier son échine. Naino esili te !
Par Candide OKEKE

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