Mercredi, 05 Janvier 2011
=Sa mesure collective de grâce décrétée dernièrement relance le débat sur la campagne électorale anticipée orchestrée par sa famille politique=
Le Parti du Peuple pour la Reconstruction et la Démocratie -PPRD- et ses satellites regroupés au sein de l’Alliance de la Majorité Présidentielle ne démordent pas.
Aujourd’hui comme hier, ils restent déterminés à faire élire Joseph Kabila au premier tour de la présidentielle de 2011 annoncée en 2010
D’après des combinaisons faites par les laboratoires de recherches stratégiques de la famille politique à laquelle appartient le chef de l’Etat, les atouts qu’avait ce dernier face à ses concurrents à l’élection présidentielle de 2006 restent intacts pour lui permettre de remporter la palme de vainqueur en 2011.
Or, il nous revient qu’une analyse nous faites par Richard Ezulua Monzemba, opposant de son état, que l’environnement politique international qui aurait décidé d’imposer un président fort à la Rdc en lieu et place d’un Etat fort a quasiment changé. Le monde libre voulant laisser maintenant l’initiative au seul peuple souverain de ce pays !
Il nous revient également qu’avec a remontée irrésistible de forces acquises au changement radical sur la scène nationale la donne politique ayant prévalu lors de la présidentielle de 2006 a complètement changé aussi. Des leaders politiques les plus représentatifs de l’opinion nationale et ceux émergent au nom de la sève montante et novatrice de la société congolaise se sont déjà manifestés pour se disputer le pouvoir d’Etat au sommet !
Afin de marquer la rupture avec le passé désormais révolu, la théorie très payante du TRIANGLE NUCLEAIRE autrement appelée schéma des occidentaux pour sauver la Rdc de la débâcle générale serait déjà à son début d’application, à en croire cet analyste politique.
En effet, dans la perspective de l’élection présidentielle de 2011, Joseph Kabila, candidat unique proclamé par son parti et soutenu par les alliés de celui-ci, sera aux prises avec son ancien ailier principal Vital Kamerhe passé â l’opposition avec” armes et bagages “en province orientale, dans les deux Kivu et au Maniema voisin !
En déracinant tout ce qu’il aura planté de meilleur dans l’espace PPRD, le même Vital Kamerhe va “inquiéter” le Président de la République au Katanga où il s’assuré les services d’un puissant allié objectif en la personne de Jeannot Mwenze Kongolo très influent dans cette province et plus particulièrement au Nord de celle- ci.
Au centre du pays représenté par les deux Kasaï, le chef de l’Etat Joseph trouvera sur son chemin le leader incontesté de l’Udps Etienne Tshisekedi dont la popularité et l’influence grandissante dans cette partie du pays et ailleurs ne sont plus à démontrer. Rien qu’en se référant à la démonstration de forces dont ce dernier avait fait montre le 8décembre2010, on peut craindre que ce vétéran de la scène politique congolaise prenne le dessus sur le candidat de l’Alliance de la majorité présidentielle au premier tour de la présidentielle de l’année en cours.
En effet, en plus de sa haute stature politique et historique, le Président national de l’Udps développe un discours porteur d’espoir qui n’appellera pas de réplique de la part du pouvoir en place dont les congolais décrient la grave déficit en matières sociale et de droits fondamentaux de l’homme, fait observer le Président de PUNA. N’est-il pas vrai que l’exercice 2010 a montré ses limites dans les deux domaines, s’est-il interrogé.
Dans la partie occidentale de la République incluant l’Equateur, le Bas-Congo, le Bandundu et la ville-province de Kinshasa, le chef de l’Etat aura’ du mal ‘à investir un terrain passé sous le contrôle de l’opposition mais aussi autrement hanté par l’ombre omniprésent de Tshesekedi, Kamerhe, Kengo et autres Ne Muanda Nsemi déjà prêts lui barrer la route de la magistrature suprême du pays
Pour ce qui est de la mesure collective de grâce prise en faveur de personnes condamnées par décisions de justice, notre interlocuteur fait savoir que celle-ci sent à mille lieux l’odeur âcre de calculs électoralistes. Il souhaite cependant que le chef de l’Etat aille jusqu’au bout de sa logique de la lutte annoncée contre les antivaleurs qui marquent mortellement la société congolaise de notre temps.
En effet, des rapports officiels signalent la sursaturation de prisons du pays. Que faut-il faire pour les désengorger et les assainir si on ne peut pas les vider de leurs milliers de petits piqueurs de poches afin que les” Kuluna “ en cravate qui passent le plus clair de leur temps à fracturer impunément les caisses de l’Etat dans les entreprises publiques et les milieux du pouvoir puissant y trouvé de la place?
De toutes les façons, la position dans laquelle se trouve le chef de l’Etat serait inconfortable face aux enjeux du moment. Encerclé par des personnalités politiques ayant pignon sur rue dans la capitale et les régions de l’arrière-pays, sa liberté de manoeuvres serait très limitée pour sortir avec honneur et dignité, conclut notre interlocuteur.
D’après des combinaisons faites par les laboratoires de recherches stratégiques de la famille politique à laquelle appartient le chef de l’Etat, les atouts qu’avait ce dernier face à ses concurrents à l’élection présidentielle de 2006 restent intacts pour lui permettre de remporter la palme de vainqueur en 2011.
Or, il nous revient qu’une analyse nous faites par Richard Ezulua Monzemba, opposant de son état, que l’environnement politique international qui aurait décidé d’imposer un président fort à la Rdc en lieu et place d’un Etat fort a quasiment changé. Le monde libre voulant laisser maintenant l’initiative au seul peuple souverain de ce pays !
Il nous revient également qu’avec a remontée irrésistible de forces acquises au changement radical sur la scène nationale la donne politique ayant prévalu lors de la présidentielle de 2006 a complètement changé aussi. Des leaders politiques les plus représentatifs de l’opinion nationale et ceux émergent au nom de la sève montante et novatrice de la société congolaise se sont déjà manifestés pour se disputer le pouvoir d’Etat au sommet !
Afin de marquer la rupture avec le passé désormais révolu, la théorie très payante du TRIANGLE NUCLEAIRE autrement appelée schéma des occidentaux pour sauver la Rdc de la débâcle générale serait déjà à son début d’application, à en croire cet analyste politique.
En effet, dans la perspective de l’élection présidentielle de 2011, Joseph Kabila, candidat unique proclamé par son parti et soutenu par les alliés de celui-ci, sera aux prises avec son ancien ailier principal Vital Kamerhe passé â l’opposition avec” armes et bagages “en province orientale, dans les deux Kivu et au Maniema voisin !
En déracinant tout ce qu’il aura planté de meilleur dans l’espace PPRD, le même Vital Kamerhe va “inquiéter” le Président de la République au Katanga où il s’assuré les services d’un puissant allié objectif en la personne de Jeannot Mwenze Kongolo très influent dans cette province et plus particulièrement au Nord de celle- ci.
Au centre du pays représenté par les deux Kasaï, le chef de l’Etat Joseph trouvera sur son chemin le leader incontesté de l’Udps Etienne Tshisekedi dont la popularité et l’influence grandissante dans cette partie du pays et ailleurs ne sont plus à démontrer. Rien qu’en se référant à la démonstration de forces dont ce dernier avait fait montre le 8décembre2010, on peut craindre que ce vétéran de la scène politique congolaise prenne le dessus sur le candidat de l’Alliance de la majorité présidentielle au premier tour de la présidentielle de l’année en cours.
En effet, en plus de sa haute stature politique et historique, le Président national de l’Udps développe un discours porteur d’espoir qui n’appellera pas de réplique de la part du pouvoir en place dont les congolais décrient la grave déficit en matières sociale et de droits fondamentaux de l’homme, fait observer le Président de PUNA. N’est-il pas vrai que l’exercice 2010 a montré ses limites dans les deux domaines, s’est-il interrogé.
Dans la partie occidentale de la République incluant l’Equateur, le Bas-Congo, le Bandundu et la ville-province de Kinshasa, le chef de l’Etat aura’ du mal ‘à investir un terrain passé sous le contrôle de l’opposition mais aussi autrement hanté par l’ombre omniprésent de Tshesekedi, Kamerhe, Kengo et autres Ne Muanda Nsemi déjà prêts lui barrer la route de la magistrature suprême du pays
Pour ce qui est de la mesure collective de grâce prise en faveur de personnes condamnées par décisions de justice, notre interlocuteur fait savoir que celle-ci sent à mille lieux l’odeur âcre de calculs électoralistes. Il souhaite cependant que le chef de l’Etat aille jusqu’au bout de sa logique de la lutte annoncée contre les antivaleurs qui marquent mortellement la société congolaise de notre temps.
En effet, des rapports officiels signalent la sursaturation de prisons du pays. Que faut-il faire pour les désengorger et les assainir si on ne peut pas les vider de leurs milliers de petits piqueurs de poches afin que les” Kuluna “ en cravate qui passent le plus clair de leur temps à fracturer impunément les caisses de l’Etat dans les entreprises publiques et les milieux du pouvoir puissant y trouvé de la place?
De toutes les façons, la position dans laquelle se trouve le chef de l’Etat serait inconfortable face aux enjeux du moment. Encerclé par des personnalités politiques ayant pignon sur rue dans la capitale et les régions de l’arrière-pays, sa liberté de manoeuvres serait très limitée pour sortir avec honneur et dignité, conclut notre interlocuteur.
Antoine Botshili
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