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Achille Mbembé, professeur d'histoire et de sciences politiques à l'université Witwatersrand de Johannesburg.
RFI
Par Sonia Rolley
« ... La Françafrique ? Je pense que c’est aux Africains eux-mêmes d’y mettre fin, de faire en sorte que les coûts politiques, diplomatiques, économiques d’une continuation de la Françafrique soient très élevés pour la France.
Achille Mbembé, professeur d'histoire et de sciences politiques à l'université Witwatersrand de Johannesburg.
RFI
Par Sonia Rolley
« ... La Françafrique ? Je pense que c’est aux Africains eux-mêmes d’y mettre fin, de faire en sorte que les coûts politiques, diplomatiques, économiques d’une continuation de la Françafrique soient très élevés pour la France.
C’est à cette condition que la France participera à une mise à terme de ce système de corruption réciproque. Ça ne viendra pas de Paris, ça ne viendra pas de l’Elysée, ça viendra d’une recomposition solide des forces progressistes en Afrique […] seules les forces africaines peuvent mettre fin à la Françafrique... »
Nous sommes à huit jours du second tour de la présidentielle en France. On ne parle pas beaucoup de politique étrangère dans cette campagne. Encore moins d'Afrique.
Nous sommes à huit jours du second tour de la présidentielle en France. On ne parle pas beaucoup de politique étrangère dans cette campagne. Encore moins d'Afrique.
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